Your email was sent successfully. Check your inbox.

An error occurred while sending the email. Please try again.

Proceed reservation?

Export
  • 1
    In: SSRN Electronic Journal, Elsevier BV
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 1556-5068
    Language: English
    Publisher: Elsevier BV
    Publication Date: 2016
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 2
    In: VertigO, OpenEdition, ( 2012-06-05)
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 1492-8442
    URL: Issue
    Language: French
    Publisher: OpenEdition
    Publication Date: 2012
    detail.hit.zdb_id: 2160750-3
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 3
    Online Resource
    Online Resource
    CAIRN ; 2018
    In:  Projet Vol. 362, No. 1 ( 2018), p. 20-
    In: Projet, CAIRN, Vol. 362, No. 1 ( 2018), p. 20-
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 0033-0884 , 2108-6648
    Language: French
    Publisher: CAIRN
    Publication Date: 2018
    detail.hit.zdb_id: 2539782-5
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 4
    Online Resource
    Online Resource
    PERSEE Program ; 1998
    In:  Revue d'économie financière Vol. 48, No. 4 ( 1998), p. 125-155
    In: Revue d'économie financière, PERSEE Program, Vol. 48, No. 4 ( 1998), p. 125-155
    Abstract: Les « banques mixtes » qui ont soutenu l’expansion industrielle de la Belgique au XIXe siècle et au début du XXe siècle ont été scindées en 1934-35 en banques de dépôt d’une part et sociétés de portefeuille d’autre part. Cette réforme, introduite en temps de crise pour sauver le système bancaire de la déconfiture, a restreint le champ d’action des banques. L’économie de guerre et la montée de la dette publique aidant, celles-ci se sont largement tournées vers l’État qui devint pour longtemps le principal bénéficiaire de leurs crédits. Les banques ont été fréquemment accusées d’avoir peu soutenu la croissance économique d’après-guerre -ou tout au moins celle du secteur privé ; elles s’en sont défendu en faisant valoir le carcan réglementaire qui inhibait leurs initiatives. L’allégement de ce carcan au cours des années soixante a-t-il contribué à l’accélération de la croissance économique ? Ou serait-ce plutôt la croissance vigoureuse qui permit l’assouplissement des dispositions réglementaires ? Le système bancaire belge est resté longtemps à l’abri de la crise économique déclenchée dans les années soixante-dix, sans doute aidé par les bénéfices qu’il tirait de la montée de la dette publique. Mais depuis la fin des années quatre-vingt, la globalisation, la déréglementation et la désintermédiation forcent les banques à de nombreuses restructurations. Leur position oligopolistique dans le financement de la dette publique est ébranlée. En 1993, une réforme du statut bancaire inspirée par les directives européennes conduit à l’adoption du modèle allemand de banque universelle et clôt l’épisode historique de la « banque de dépôt ».
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 0987-3368
    Language: French
    Publisher: PERSEE Program
    Publication Date: 1998
    detail.hit.zdb_id: 2406683-7
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 5
    Online Resource
    Online Resource
    Wiley ; 2009
    In:  Oxford Bulletin of Economics and Statistics Vol. 52, No. 4 ( 2009-05-01), p. 437-449
    In: Oxford Bulletin of Economics and Statistics, Wiley, Vol. 52, No. 4 ( 2009-05-01), p. 437-449
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 0305-9049 , 1468-0084
    URL: Issue
    Language: English
    Publisher: Wiley
    Publication Date: 2009
    detail.hit.zdb_id: 1473788-7
    detail.hit.zdb_id: 215159-5
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 6
    Online Resource
    Online Resource
    Universite Catholique de Louvain ; 2018
    In:  Regards économiques ( 2018-10-12)
    In: Regards économiques, Universite Catholique de Louvain, ( 2018-10-12)
    Abstract: On le sait depuis toujours, le Produit intérieur brut (PIB) n’est pas un indicateur de bien-être ou de qualité de vie. C’est un agrégat monétaire qui évalue l’activité annuelle d’une nation sur des bases essentiellement marchandes. Toutefois, pendant des décennies, croissance du PIB et progrès des sociétés ont été largement assimilés, comme si la première était une condition nécessaire et suffisante à la réalisation du deuxième. Cette liaison est aujourd’hui amplement remise en cause. De nombreux travaux ont mis en évidence un décrochage de la qualité de la vie en regard d’une croissance continue du PIB : stagnation des indicateurs subjectifs de satisfaction de vie; dégradation des indicateurs objectifs de santé sociale et de bien-être économique; et surtout, sonnette d’alarme des indicateurs environnementaux. Récemment, des initiatives de grande envergure (Forum mondiaux de l’OCDE) ou très médiatisées (Commission Stiglitz) ont explicitement posé la question d’un «Au-delà du PIB» : si cet indicateur, utilisé comme moteur des politiques économiques, nous égare, n’y a-t-il pas urgence à en changer ? Comme le résume joliment Paul Krugman, quel intérêt d’avoir de la croissance s’il n’y a plus de planète ? Alors, comment réconcilier ce qui compte (la préservation de la nature et nos valeurs humaines) et ce que l’on compte (les indicateurs à l’aide desquels on gouverne) ? Les débats actuels sur ce sujet mettent en évidence trois impératifs : Mesurer des résultats plutôt qu’une production évaluée moné : les taux d’alphabétisation importent plus que les dépenses d’éducation sans prise en compte de leur efficacité; il n’y a pas lieu de valoriser deux fois des activités qui de facto se compensent (polluer et assainir, détruire et reconstruire, se rendre malade et se guérir). C’est une question de bon sens. Prendre en compte les patrimoines, dans leur diversité : on ne peut plus se contenter de valoriser les flux d’activité et de revenus (ce que fait le PIB) en ignorant les ponctions sur les stocks de richesse. La question se pose aujourd’hui avec acuité pour les ressources naturelles. Elle mérite d’être élargie à toutes les formes de richesse que nous avons reçues et : patrimoines culturels, sites et monuments, savoir accumulé. Il en va de notre responsabilité vis-à-vis des générations futures. Intégrer des questions de répartition : la croissance d’un revenu global peut être très inégalitaire. Un PIB par tête en hausse n’empêche pas certains revenus de baisser, ce qui crée dans la population le sentiment d’être trompé par les chiffres. Nos systèmes statistiques devraient aussi évaluer d’autres formes d’inégalité : accès à l’eau, à l’éducation; impact du réchauffement climatique. Equité et représentation démocratique sont ici en jeu. Remplacer le PIB est un exercice complexe et digne du plus grand intérêt. La complexité n’est pas tant d’ordre statistique : de nombreux indicateurs alternatifs ont été pensés, sous-pesés, calculés, publiés. On peut en faire l’inventaire. La complexité de l’exercice provient surtout du bousculement implicite des valeurs sur lesquelles une ou deux générations se sont construites. Chaque indicateur recèle une vision singulière du progrès. La question sous-jacente au choix de l’un d’entre eux n’est pas anodine : dans quel monde voulons-nous vivre ? Pour cette raison, elle ne peut être confiée aux seuls experts mais relève du débat démocratique. Elle est passionnante, car elle nous donne l’occasion de repenser et de ré-affirmer nos finalités. On aurait tort d’y voir une question réservée à quelques idéalistes, sous prétexte que la croissance du PIB est indispensable à la création d’emploi, à la survie des entreprises et à la santé des finances publiques. Les temps où toute croissance de l’activité et des revenus était bonne sont révolus. S’y accrocher est un combat d’arrière-garde. Aujourd’hui, l’urgence n’est plus d’élargir le gâteau mais de le cuisiner sans dégâts, d’améliorer sa qualité nutritive et de mieux le partager.
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 2033-3013
    URL: Issue
    Language: Unknown
    Publisher: Universite Catholique de Louvain
    Publication Date: 2018
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 7
    Online Resource
    Online Resource
    Universite Catholique de Louvain ; 2018
    In:  Regards économiques ( 2018-10-12)
    In: Regards économiques, Universite Catholique de Louvain, ( 2018-10-12)
    Abstract: Le dicton populaire n’a cessé de le dire : l’argent ne fait pas le bonheur. Les enquêtes auprès de la population semblent le confirmer. Malgré une croissance économique continue, la "satisfaction de vie" moyenne des Occidentaux stagne depuis plusieurs décennies (voir les graphiques annexés). En Belgique, alors que le PIB réel par habitant a augmenté de 80 % depuis 1973, le niveau de satisfaction de vie moyen a diminué de 8,8 %. Pourquoi la croissance économique, tant recherchée, si peu remise en question, ne parvient-elle pas – ou plus – à augmenter le bien-être de l’homme ? Celui-ci n’est-il jamais satisfait de ce qu’il possède ? Lui en faut-il toujours plus ? Ou est-ce la croissance elle-même qui com­porte trop d’effets secondaires négatifs ? Qu’en disent les économistes ? Une large partie de la littérature économique laisse entendre que la satisfaction de la population croît avec le revenu réel. Dès lors les gouvernements et les grandes institutions peuvent inlassablement pro­clamer, au nom des peuples et de leur bien-être, que la croissance économique est un objectif prioritaire. Toutefois le développement d’un nouveau courant de recherches vient secouer les convictions traditionnelles. Ciblées sur l’explication de la satisfaction de vie, ces études apportent un fondement scientifique à deux constats de bons sens : toute richesse est relative, et la richesse n’est pas tout. Premièrement, la richesse a toujours une valeur relative. Relative par rapport au passé : chaque per­sonne s’habitue à ce qu’elle possède; elle revoit continuellement ses normes matérielles à la hausse et comble ainsi difficilement ses aspirations. Relative aussi par rapport à la richesse des autres : le bien-être que l’individu retire de son propre revenu dépend bien souvent du revenu du voisin; pour que le bien-être s’accroisse, il ne suffirait pas "d’avoir plus", encore faudrait-il "avoir plus que les autres". Ainsi l’ensemble de la population se laisse entraîner dans une course sans fin dont le but est fuyant. Deuxièmement, la richesse n’est pas tout. La stagnation de la satisfaction de vie, malgré la hausse des revenus, peut provenir de nombreux facteurs non-pécuniaires : la montée des inégalités; le chômage; la dégradation des conditions de travail (cadences, précarité); l’augmentation du stress, de l’anxiété et des cas de dépression; l’affaiblissement des liens familiaux et sociaux et du lien entre les citoyens et les institutions ou les mandataires politiques; la dégradation de l’environnement. Certains de ces facteurs sont étrangers à la croissance économique, d’autres au contraire sont générés par le type de croissance que nous avons connu. Les résultats qui ressortent de l’ensemble de ces études comportent deux implications fortes, qui vont de pair. D’une part, ils appellent le développement, au delà des enquêtes, d’indicateurs de bien-être, solides et fiables, susceptibles de compléter ou de corriger la traditionnelle comptabilité nationale, et de casser l’amalgame trop fréquent entre PIB et bien-être. D’autre part, ils révèlent l’urgence d’une réflexion sur la finalité de la croissance et sur son contenu : pourquoi et pour qui voulons nous plus de croissance ? Existe-t-il un consensus sur les objectifs poursuivis et est-on bien sûr que notre type de croissance les serve ? Tenter de répondre démocratiquement à ces questions pourrait être un premier pas vers une satisfaction de vie accrue.
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 2033-3013
    URL: Issue
    Language: Unknown
    Publisher: Universite Catholique de Louvain
    Publication Date: 2018
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 8
    Online Resource
    Online Resource
    Universite Catholique de Louvain ; 2018
    In:  Regards économiques ( 2018-10-12)
    In: Regards économiques, Universite Catholique de Louvain, ( 2018-10-12)
    Abstract: Le dicton populaire n’a cessé de le dire : l’argent ne fait pas le bonheur. Les enquêtes auprès de la population semblent le confirmer. Malgré une croissance économique continue, la "satisfaction de vie" moyenne des Occidentaux stagne depuis plusieurs décennies (voir les graphiques annexés). En Belgique, alors que le PIB réel par habitant a augmenté de 80 % depuis 1973, le niveau de satisfaction de vie moyen a diminué de 8,8 %. Pourquoi la croissance économique, tant recherchée, si peu remise en question, ne parvient-elle pas – ou plus – à augmenter le bien-être de l’homme ? Celui-ci n’est-il jamais satisfait de ce qu’il possède ? Lui en faut-il toujours plus ? Ou est-ce la croissance elle-même qui com­porte trop d’effets secondaires négatifs ? Qu’en disent les économistes ? Une large partie de la littérature économique laisse entendre que la satisfaction de la population croît avec le revenu réel. Dès lors les gouvernements et les grandes institutions peuvent inlassablement pro­clamer, au nom des peuples et de leur bien-être, que la croissance économique est un objectif prioritaire. Toutefois le développement d’un nouveau courant de recherches vient secouer les convictions traditionnelles. Ciblées sur l’explication de la satisfaction de vie, ces études apportent un fondement scientifique à deux constats de bons sens : toute richesse est relative, et la richesse n’est pas tout. Premièrement, la richesse a toujours une valeur relative. Relative par rapport au passé : chaque per­sonne s’habitue à ce qu’elle possède; elle revoit continuellement ses normes matérielles à la hausse et comble ainsi difficilement ses aspirations. Relative aussi par rapport à la richesse des autres : le bien-être que l’individu retire de son propre revenu dépend bien souvent du revenu du voisin; pour que le bien-être s’accroisse, il ne suffirait pas "d’avoir plus", encore faudrait-il "avoir plus que les autres". Ainsi l’ensemble de la population se laisse entraîner dans une course sans fin dont le but est fuyant. Deuxièmement, la richesse n’est pas tout. La stagnation de la satisfaction de vie, malgré la hausse des revenus, peut provenir de nombreux facteurs non-pécuniaires : la montée des inégalités; le chômage; la dégradation des conditions de travail (cadences, précarité); l’augmentation du stress, de l’anxiété et des cas de dépression; l’affaiblissement des liens familiaux et sociaux et du lien entre les citoyens et les institutions ou les mandataires politiques; la dégradation de l’environnement. Certains de ces facteurs sont étrangers à la croissance économique, d’autres au contraire sont générés par le type de croissance que nous avons connu. Les résultats qui ressortent de l’ensemble de ces études comportent deux implications fortes, qui vont de pair. D’une part, ils appellent le développement, au delà des enquêtes, d’indicateurs de bien-être, solides et fiables, susceptibles de compléter ou de corriger la traditionnelle comptabilité nationale, et de casser l’amalgame trop fréquent entre PIB et bien-être. D’autre part, ils révèlent l’urgence d’une réflexion sur la finalité de la croissance et sur son contenu : pourquoi et pour qui voulons nous plus de croissance ? Existe-t-il un consensus sur les objectifs poursuivis et est-on bien sûr que notre type de croissance les serve ? Tenter de répondre démocratiquement à ces questions pourrait être un premier pas vers une satisfaction de vie accrue.
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 2033-3013
    URL: Issue
    Language: Unknown
    Publisher: Universite Catholique de Louvain
    Publication Date: 2018
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 9
    Online Resource
    Online Resource
    CAIRN ; 2007
    In:  Informations sociales Vol. n° 142, No. 6 ( 2007), p. 18-
    In: Informations sociales, CAIRN, Vol. n° 142, No. 6 ( 2007), p. 18-
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 0046-9459 , 2101-0374
    Language: French
    Publisher: CAIRN
    Publication Date: 2007
    detail.hit.zdb_id: 2455831-X
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
  • 10
    Online Resource
    Online Resource
    CAIRN ; 2005
    In:  Reflets et perspectives de la vie économique Vol. XLIV, No. 1 ( 2005), p. 129-
    In: Reflets et perspectives de la vie économique, CAIRN, Vol. XLIV, No. 1 ( 2005), p. 129-
    Type of Medium: Online Resource
    ISSN: 0034-2971 , 1782-1509
    Language: French
    Publisher: CAIRN
    Publication Date: 2005
    detail.hit.zdb_id: 2243690-X
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
    BibTip Others were also interested in ...
Close ⊗
This website uses cookies and the analysis tool Matomo. Further information can be found on the KOBV privacy pages