UID:
edoccha_9958092693402883
Format:
1 online resource.
ISBN:
1-55442-215-9
Series Statement:
Classiques des sciences sociales
Note:
LIVRE II: Du raisonnement -- AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR, par Louis Peisse, 1865 -- PRÉFACES de John Stuart Mill -- de la première édition, 1843 -- de la troisième édition -- de la sixième édition, 1865 -- INTRODUCTION, par John Stuart Mill -- 1. Une définition ne peut être que provisoire au début d'une recherche -- 2. La logique est-elle l'art et la science du Raisonnement? -- 3. Ou bien la science et l'art de la recherche de la vérité ? -- 4. La logique se rapporte aux inférences, et non aux vérités intuitives. -- 5. Rapports de la logique avec les autres sciences -- 6. Son utilité -- 7. Définition de la logique -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- LIVRE III: DE L'INDUCTION. -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- Chapitre I. De l'Inférence ou du Raisonnement en général. -- 1. Récapitulation des résultats du livre précédent -- 2. Des inférences ainsi improprement appelées -- 3. Des inférences proprement dites, distinguées en Inductions et Rai-sonnements (ratiocinations) -- Chapitre II. Du Raisonnement ou Syllogisme. -- 1. Analyse du syllogisme -- 2. Le dictum de omni et nullo n'est pas le fondement du raisonne-ment, il est simplement une proposition identique -- 3. Quel est l'axiome réellement fondamental du Raisonnement ? -- 4. Autre forme de l'axiome -- Chapitre III. Fonctions et Valeur Logique du Syllogisme. -- 1 . Le syllogisme est-il une petitio principii ? -- 2. Insuffisance de la théorie commune -- 3. Toute inférence est du particulier au particulier -- 4. Les propositions générales sont un enregistrement de ces inférences et les règles du syllogisme sont les règles de l'interprétation de l'enregistrement -- 5. Le syllogisme n'est pas le type du raisonnement ; il n'en est que la pierre de touche -- 6. Quel est réellement ce type ? -- 7. Rapport de l'Induction avec la Déduction -- 8. Réponse aux objections -- 9. De la Logique Formelle et son rapport avec la Logique de la Vérité -- Chapitre IV. Des Séries ou chaînes de Raisonnements et des sciences Déductives -- 1. A quelle fin les séries de raisonnements sont nécessaires -- 2. Une chaîne de raisonnements est une série d'inférences inductives -- 3. Inférences des particuliers aux particuliers au moyen de marques de marques -- 4. Pourquoi il y a des sciences déductives -- 5. Pourquoi d'autres sciences restent expérimentales -- 6. Des sciences expérimentales peuvent devenir déductives par les progrès de l'expérimentation -- 7. De quelle manière cela a lieu habituellement -- Chapitre V. De la Démonstration et des Vérités Nécessaires. -- 1. Les théorèmes de la géométrie sont des vérités nécessaires, en ce sens seulement qu'ils suivent nécessairement d'hypothèses -- 2. Ces hypothèses sont des faits réels dont quelques circonstances sont ou exagérées ou omises -- 3. Quelques-uns des premiers principes de la géométrie sont des axiomes, et ceux-là ne sont pas hypothétiques -- 4. - ils sont des vérités expérimentales -- 5. Réponse à une objection -- 6. Examen de l'opinion du docteur Whewell sur les axiomes -- Chapitre VI. Continuation du même sujet. -- 1. Toutes les sciences Déductives sont inductives -- 2. Les propositions de la science des nombres ne sont pas purement verbales; ce sont des généralisations de l'expérience -- 3. Dans quel sens elles sont hypothétiques -- 4. La propriété caractéristique de la science démonstrative est d'être hypothétique -- 5. Définition de l'évidence démonstrative -- Chapitre VII. Examen de quelques opinions opposées aux doctrines précédentes. -- 1. Doctrine du Postulat Universel -- 2. L'inconcevabilité d'une chose ne peut pas être considérée comme un résultat de l'expérience accumulée, ni être, à ce titre, un critère de vérité -- 3. Et ce critère n'est impliqué dans aucun procédé de la pensée -- 4. Opinion de Sir W. Hamilton sur le Principe de Contradiction et le Principe de l'Exclusion du Milieu -- LIVRE III : DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. Observations préliminaires sur l'Induction en général. -- 1. Importance d'une Logique Inductive -- 2. La logique de la science est aussi celle de la vie humaine et de la pratique -- Chapitre II. Des inductions ainsi improprement appelées. -- 1. Les vraies inductions distinguées des transformations -- 2. - ainsi que des opérations faussement appelées des inductions, en mathématiques -- 3. - et des descriptions -- 4. Examen de la théorie de l'induction du docteur Whewell -- 5. Suite et développement des remarques précédentes -- Chapitre III. Du fondement de l'induction. -- 1. Axiome de l'uniformité du cours de la Nature -- 2. Il n'est pas vrai dans tous les sens. - Induction per enumeratio-nem, simplicem -- 3. Position de la question de la Logique Inductive -- Chapitre IV. Des Lois de la Nature. -- 1. La régularité générale de la nature est un tissu de régularités partielles, appelées lois -- 2. L'induction scientifique doit être fondée sur des inductions spontanées préalables -- 3. Y a-t-il des inductions propres à servir de critère à toutes les autres ? -- Chapitre V. De la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi universelle des phénomènes successifs est la loi de Cau-salité -- 2. - C'est-à-dire la loi que chaque conséquent a un antécédent invariable -- 3. La cause d'un phénomène est l'assemblage de ses conditions -- 4. La distinction d'Agent et de Patient est illusoire -- 5. Ce n'est pas l'antécédent invariable qui est la cause, mais l'anté-cédent invariable inconditionnel -- 6. Une cause peut-elle être simultanée avec son effet ? -- 7. Du concept d'une Cause Permanente, d'un agent naturel primitif -- 8. Des uniformités de coexistence entre les effets de différentes causes permanentes ne sont pas des lois -- 9. Examen de la doctrine que la volition est une cause efficiente -- Chapitre VI. De la Composition des Causes. -- 1. Deux modes de l'action combinée des causes, le mécanique et le chimique -- 2. La composition des causes est la règle générale ; l'inverse est l'exception -- 3. Les effets sont-ils proportionnés à leurs causes ? -- Chapitre VII. De l'Observation et de l'Expérimentation. -- 1. Le premier pas dans la recherche inductive est la décomposition mentale des phénomènes complexes en leurs éléments -- 2. Le second est la séparation actuelle de ces éléments -- 3. Avantages de l'expérimentation sur l'observation -- 4. Avantages de l'observation sur l'expérimentation -- Chapitre VIII. Des Quatre Méthodes de Recherche Expérimentale. -- 1 . Méthode de Concordance -- 2. Méthode de Différence -- 3. Relation mutuelle de ces deux méthodes -- 4. Méthode-Unie de Concordance et de Différence -- 5. Méthode des Résidus -- 6. Méthode des Variations Concomitantes -- 7. Limitations de cette dernière méthode -- Chapitre IX. - Exemples divers des Quatre Méthodes. -- 1. Théorie de Liebig sur les poisons métalliques -- 2. Théorie de l'électricité d'induction -- 3. Théorie de la Rosée du docteur Wells -- 4. Théorie de la Rigidité cadavérique par le docteur Brown-Séquard -- 5. Exemples de la Méthode des Résidus -- 6. Objections du docteur Whewell aux quatre méthodes -- Chapitre X. De la Pluralité des Causes, et de l'Entremêlement des Effets. -- 1. Un effet peut avoir plusieurs causes -- 2. - d'où un défaut caractéristique de la Méthode de Concordance -- 3. Comment constater la Pluralité des Causes -- 4. Concours de causes ne produisant pas des effets composés -- 5. Difficultés de la recherche lorsque les effets des causes concou-rantes sont composés -- 6. Trois modes d'investigation des lois des effets complexes -- 7. La méthode d'observation pure inapplicable -- 8. La méthode expérimentale pure inapplicable -- Chapitre XI. De la Méthode Déductive. -- 1.
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De l'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Ce que c'est qu'expliquer. Définition -- 2. Premier mode d'explication. Réduire la loi d'un effet complexe aux lois des causes concourantes et au fait de leur coexis-tence -- 3. Deuxième mode.
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Trouver un lien intermédiaire dans la succes-sion -- 4. Les lois en lesquelles se résolvent d'autres lois sont toujours plus générales que les lois réduites -- 5. Troisième mode. Subsumer une loi moins générale à une loi plus générale -- 6. A quoi se réduit l'explication d'une loi de la nature -- Chapitre XIII. Exemples divers d'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Des théories générales des sciences -- 2. Exemples de théories chimiques -- 3. Exemple emprunté aux recherches du docteur Brown-Séquard sur le système nerveux -- 4. Exemples de la poursuite de l'étude de l'action des lois nouvelle-ment découvertes dans leurs manifestations complexes -- 5. Exemples de généralisations empiriques, confirmées ensuite et expliquées déductivement -- 6. Exemple pris dans la psychologie -- 7. Tendance de toutes les sciences à devenir déductives -- Chapitre XIV. Des limites de l'explication des lois de la Nature, et des hypothèses. -- 1. Toutes les successions dans la nature sont-elles réductibles à une seule loi ? -- 2. Les lois primaires ne peuvent pas être moins nombreuses que les sentiments -- 3. En quel sens les faits primitifs peuvent être expliqués -- 4. De l'usage propre des hypothèses scientifiques -- 5. Leur nécessité -- 6. Des hypothèses légitimes, et comment elles se distinguent des illégitimes -- 7. Certaines recherches en apparence hypothétiques sont en réalité inductives -- Chapitre XV. Des Effets Progressifs, et de l'Action Continue des Causes. -- 1. Comment un effet progressif résulte de la simple continuation de la cause -- 2. - et de la progressivité de la cause -- 3. Lois dérivées découlant d'une seule loi primaire -- Chapitre XVI. Des lois empiriques. -- 1 . Définition de la loi empirique -- 2. Les lois dérivées dépendent communément des Collocations -- 3. Les collocations des causes permanentes ne peuvent pas être ramenées à une loi -- 4. D'où il suit que les lois empiriques ne valent que dans les limites de l'expérience actuelle -- 5. Les généralisations par la Méthode de Concordance seule ne valent que comme lois empiriques -- 6. Signes auxquels une uniformité de succession observée peut être présumée réductible -- 7. Deux sortes de lois empiriques -- Chapitre XVII. Du Hasard et de son Élimination. -- 1. La preuve des lois empiriques dépend de la théorie du hasard -- 2. Définition et explication du hasard -- 3. Élimination du hasard -- 4. Découverte des phénomènes-Résidus par l'élimination du hasard -- 5. Théorie du hasard -- Chapitre XVIII. Du Calcul du Hasard. -- 1. Fondement de la théorie du hasard des mathématiciens -- 2. Théorie soutenable -- 3. Ses véritables fondements -- 4. Elle dépend en dernière analyse de la Causation -- 5. Théorème de la doctrine du hasard relatif à la recherche de la cause d'un événement donné -- 6. Comment il est applicable à l'élimination du hasard -- Chapitre XIX. De l'Extension des Lois Dérivées aux cas Adjacents. -- 1. Les lois dérivées, lorsqu'elles ne sont pas fortuites, sont presque toujours des contingences dépendant des collocations -- 2- Sur quels fondements elles peuvent être étendues à des cas hors des limites de l'expérience actuelle -- 3. Ces cas doivent être des cas adjacents -- Chapitre XX. De l'Analogie. -- 1. Sens divers du mot Analogie -- 2. Nature de la preuve par analogie -- 3. Circonstances dont dépend sa valeur -- Chapitre XXI. De la Preuve de la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi de causalité n'est pas fondée sur un instinct -- 2. Mais sur une induction par simple énumération -- 3. Dans quels cas cette induction est valable -- 4. Prévalence universelle de la loi de causalité. - Par quelles raisons elle est admissible -- Chapitre XXII. Des Uniformités de Coexistence non dépendantes de la Causation. -- 1. Uniformités de coexistences qui résultent des lois de succession -- 2. Les propriétés primitives ou Génériques des choses sont des uniformités de coexistences -- 3. Quelques-unes sont dérivées, d'autres primitives -- 4. Il n'y a pas d'axiome universel de coexistence -- 5. De la preuve des uniformités de coexistence. - Sa mesure -- 6. La preuve des uniformités dérivées est celle des lois empiriques -- 7. Celle des primitives également -- 8. La preuve est d'autant plus forte que la loi est plus générale -- 9. Chaque Genre distinct doit être examiné -- Chapitre XXIII. Des Généralisations Approximatives, et de la Preuve Probable. -- 1. Les inférences dites probables reposent sur des généralisations approximatives -- 2. Les généralisations approximatives moins utiles dans la science que dans la vie -- 3. Dans quels cas on peut y recourir -- 4. Comment elles se prouvent -- 5. Précautions requises pour leur emploi -- 6. Les deux modes de combinaison des probabilités -- 7. Comment les généralisations approximatives peuvent être converties en des généralisations exactes équivalentes -- Chapitre XXIV. Des Autres Lois de la Nature. -- 1. Propositions énonçant la simple existence -- 2. La Ressemblance, considérée comme objet de science -- 3. Les axiomes et les théorèmes des mathématiques comprennent les principales lois de Ressemblance -- 4. - ainsi que les lois de l'ordre dans le lieu, et reposent sur l'induction par simple énumération -- 5. Les propositions de l'arithmétique énoncent les modes de formation d'un nombre donné -- 6. Les propositions de l'algèbre énoncent l'équivalent de différents modes de formation des nombres en général -- 7. Les propositions de la géométrie sont des lois du monde extérieur -- 8. Pourquoi la géométrie est presque entièrement déductive -- 9. Fonction des vérités mathématiques dans les autres sciences, et limites de cette fonction -- Chapitre XXV. Des Raisons de Non-Croyance. -- 1. Improbabilité et impossibilité -- 2. Examen de la doctrine de Hume sur les miracles -- 3. Le degré d'improbabilité, correspond à des différences dans la nature de la généralisation avec laquelle une assertion se trouve en désaccord -- 4. De ce que les chances étaient contre un fait, il n'est pas pour cela incroyable -- 5. Les coïncidences sont-elles moins croyables que d'autres faits ? -- 6. Examen d'une opinion de Laplace -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. De l'Observation et de la Description. -- 1. De l'observation. - Jusqu'à quel point elle est du ressort de la logique -- 2. Ce qui semble simple Observation est en grande partie Inférence -- 3. La relation d'une observation affirme plus de choses que n'en con-tient l'observation -- 4. - à savoir, un accord entre les phénomènes ; et la comparaison des phénomènes pour constater ces concordances est un préli-minaire de l'induction -- Chapitre II. De l'Abstraction et de la formation des Concepts. -- 1. La comparaison préliminaire à l'induction implique des conceptions générales -- 2. - mais il n'est pas besoin que ces conceptions préexistent -- 3. Un concept général, formé primitivement par la comparaison, devient lui-même le type de comparaison -- 4. Ce qu'il faut entendre par une Conception Appropriée -- 5. et par une Conception Claire -- 6. Autres éclaircissements sur ce sujet -- Chapitre III. De l'imposition des Noms comme auxiliaire de l'Induction. -- 1. Propriété fondamentale des noms comme instruments de la pensée -- 2. Les noms ne sont pas indispensables à l'induction -- 3. En quoi et comment ils servent à l'induction -- 4. Les noms généraux ne sont pas un simple artifice pour économiser les mots -- Chapitre IV. Conditions d'un langage Philosophique et Principes de la Définition. -- 1. La première condition d'un langage philosophique est une signifIcation déterminée et invariable de chaque nom général -- 2. Les noms d'un usage commun ont souvent une connotation vague -- 3. - que le logicien doit chercher à fixer avec la moins possible d'altération -- 4. Pourquoi la déf
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De l'Histoire naturelle des Variations dans le Sens des Mots. -- 1. Comment des circonstances primitivement accidentelles finissent par s'incorporer dans la signification des mots -- 2. - et quelquefois en constituent toute la signification -- 3.
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Tendance des mots à se généraliser -- 4. - et à se spécialiser -- Chapitre VI. Suite des considérations sur les conditions d'un Langage Philosophique. -- 1. Seconde condition d'un langage philosophique. - Un nom pour chaque signification importante -- 2. - c'est-à-dire premièrement une exacte Terminologie descriptive -- 3. Secondement, un nom pour chacun des résultats les plus impor-tants de l'abstraction scientifique -- 4. - Troisièmement, une Nomenclature ou système de noms de Genres -- 5. Nature particulière de la connotation des noms appartenant à une nomenclature -- 6. Dans quels cas le langage peut, ou ne peut pas, être employé mécaniquement -- Chapitre VII. De la Classification, comme auxiliaire de l'Induction -- 1. En quoi la classification dont il est ici traité diffère de la classification impliquée dans l'imposition des noms -- 2. Théorie des groupes naturels -- 3. Les groupes naturels sont-ils donnés par un type ou par définition ? -- 4. Les Genres sont des groupes naturels -- 5. Comment doivent être formés les hotus de Genres -- Chapitre VIII. De la Classification par Séries. -- 1 . Les groupes naturels pourraient être rangés en une série naturelle -- 2. - dans l'ordre des degrés du phénomène, principal -- 3. - ce qui implique l'admission d'une Espèce-Type -- 4. Comment seraient déterminées les divisions de la série -- 5. La zoologie offre le modèle le plus complet de la classification scientifique -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- Chapitre I. Des Sophismes en général. -- 1. La théorie des sophismes est une partie nécessaire de la logique -- 2. Des erreurs accidentelles ne sont pas des sophismes -- 3. Sources morales des erreurs. - Leur relation avec les sources intellectuelles -- Chapitre II. Classification des Sophismes. -- 1. Sur quels critères doit être fondée une classification des Sophismes -- 2. Cinq classes de sophismes -- 3. Le classement d'un sophisme dans une de ces divisions ou dans une autre est quelquefois arbitraire -- Chapitre III. Sophismes de simple Inspection ou Sophismes A priori -- 1. Caractère de cette classe de sophismes -- 2. Préjugé naturel qui fait prendre pour objectives des lois subjectives. - Exemples dans les Superstitions populaires -- 3. Préjugé naturel, que les choses pensées ensemble doivent exister ensemble et que ce qui est inconcevable doit être faux -- 4. Préjugé naturel d'attribuer une existence objective à des abstractions -- 5. Sophisme de la Raison Suffisante -- 6. Préjugé naturel qu'aux, distinctions exprimées par le correspondent des différences dans les choses -- 7. Préjugé, qu'un phénomène ne peut avoir qu'une seule cause -- 8. Préjugé, que les conditions d'un phénomène doivent ressembler au phénomène -- Chapitre IV. Sophismes d'Observation. -- 1. Non-observation et Mal-observation -- 2. Non-observation des cas, et non-observation des circonstances -- 3. Exemples de la première -- 4. - et de la seconde -- 5. Caractérisation de la mal-observation, et exemples -- Chapitre V. Sophismes de Généralisation. -- 1. Caractère de cette classe -- 2. Certaines généralisations sont toujours nécessairement défectueuses -- 3. Tentative de résoudre en un seul et même phénomène des phénomènes -- 4. - radicalement différents -- 5. Post hoc, ergo propter hoc; et le sophisme déductif correspondant -- 6. Sophisme par Fausses Analogies -- 7. Office des métaphores dans le raisonnement -- 8. Comment les sophismes de généralisation naissent d'une mauvaise classification -- Chapitre VI. Sophismes de Raisonnement. -- 1. Remarques préliminaires -- 2. Sophisme dans la conversion et l'équipollence des propositions -- 3. Sophisme dans l'opération syllogistique -- 4. Sophisme par le changement dés prémisse -- Chapitre VII. Sophismes par confusion. -- 1. Sophisme des Termes Ambigus -- 2. Sophisme de la Petitio principii -- 3. Sophisme de l'ignoratio elenchi -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- Chapitre I. Remarques préliminaires. -- 1. L'état arriéré des Sciences morales ne peut être amélioré que par l'application à ces sciences des méthodes des sciences physiques dûment étendues et généralisées -- 2. Jusqu'à quel point on peut l'entreprendre dans le présent ouvrage -- Chapitre II. De la Liberté et de la Nécessité. -- 1. Les actions humaines sont-elles soumises à la loi de causalité ? -- 2. Doctrine de la Nécessité Philosophique. - En quel sens elle est vraie -- 3. Impropriété et pernicieuse conséquence du mot Nécessité -- 4. Un motif n'est pas toujours l'attente ou la crainte d'un plaisir ou d'une peine -- Chapitre III. Qu'il y a, ou peut y avoir, une Science de la Nature Humaine. -- 1. Il peut y avoir des sciences qui ne sont pas des sciences exactes -- 2. A quel type scientifique se rapporte la science de la Nature Humaine ? -- Chapitre IV. Des Lois de l'Esprit, -- 1. Ce qu'il faut entendre par Lois de l'Esprit -- 2. Existe-t-il une science psychologique ? -- 3. Caractérisation des principales recherches de psychologie -- 4. Rapports des phénomènes mentaux et des conditions physiques -- Chapitre V. De l'Éthologie, ou Science de la Formation du Caractère. -- 1. Les lois empiriques de la Nature humaine -- 2. - Sont des généralisations purement approximatives. - Les lois de la formation du caractère sont universelles -- 3. Les lois de la formation du caractère ne peuvent pas être constatées par l'observation et par l'expérimentation -- 4. - Elles doivent être étudiées déductivement -- 5. Les principes de l'Éthologie sont les axiomata media de la science mentale -- 6. Caractérisation de l'Éthologie -- Chapitre VI. Considérations générales sur la Science Sociale. -- 1. Les phénomènes sociaux sont-ils un sujet de science ? -- 2. Ce que peut être la Science Sociale -- Chapitre VII. De la Méthode chimique ou Expérimentale dans la Science Sociale. -- 1. - Du point de vue des penseurs qui déduisent les théories politiques de l'expérience spécifique -- 2. - Dans la science sociale l'expérimentation est impossible -- 3. - la Méthode de Différence inapplicable -- 4. - et les Méthodes de Concordance et des Variations Concomitantes insuffisantes -- 5. La Méthode des Résidus insuffisante aussi, et présuppose la Déduction -- Chapitre VIII. De la Méthode Géométrique ou Abstraite. -- 1. Exposition de ce point de vue -- 2. Exemples de la Méthode Géométrique -- 3. Doctrine de l'Intérêt, de l'école de Bentham -- Chapitre IX. De la Méthode Physique, ou Déductive Concrète. -- 1. Des Méthodes Déductives, Directe et Inverse -- 2. Difficultés de la Méthode déductive directe dans la science sociale -- 3. Jusqu'à quel point les différentes branches de la science sociale peuvent être étudiées à part. - Caractérisation de l'économie politique -- 4. Éthologie Politique, ou science du caractère national -- 5. Les lois empiriques de la science sociale -- 6. De la Vérification dans la science -- Chapitre X. De la Méthode Déductive Inverse ou Historique. -- 1. Distinction de la science générale de la société et de la recherche sociologique spéciale -- 2. Ce qu'il faut entendre par un État de Société ? -- 3. La progressivité de l'Homme et de la Société -- 4. Les lois de succession des états sociaux ne peuvent être déterminées que par la Méthode Déductive Inverse -- 5. La statique Sociale, ou science des coexistences de phénomènes sociaux -- 6. La Dynamique sociale, ou science des successions de phénomènes sociaux -- 7. Avenir de la science sociologique -- Chapitre XI. Autres Éclaircissements sur la Science de l'Histoire. -- 1. La statique vérifie que les faits historiques sont régis par des uniformes -- 2. - ce qui n'implique point la non-intervention des causes Mo-rales -- 3. - ni l'inefficacité des caractères des individus et des actes des gouvernements -- 4. Exemples de l'importance historique des grands hommes et de l'action polit
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Quel est l'office propre de règles d'Art ? -- 4. L'Art ne peut pas être Déductif -- 5. Tout Art consiste en des vérités de Science, disposées dans un ordre approprié à un usage pratique -- 6.
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Téléologie, ou doctrine des Fins -- 7. Nécessité d'un type supérieur, ou premier principe -- 8. Conclusion.
Language:
French
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