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  • 1
    UID:
    almafu_BV045376294
    Format: 347 Seiten : , Illustrationen.
    Series Statement: Epistolaire no 44
    In: Epistolaire, yr:2018
    In: iss:44
    Language: French
    Subjects: Comparative Studies. Non-European Languages/Literatures
    RVK:
    Keywords: Brief ; Briefumschlag ; Aufsatzsammlung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Online Resource
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
    UID:
    edoccha_9958072958302883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-4123-5802-7
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Content: Le P. Teilhard de Chardin a dit un jour comment entre les deux notions conjuguées de structure génétique des faunes et de structure génétique des continents lui était apparue une troisième notion, celle de structure génétique de l'Humanité. Tout son effort fut alors consacré à l'édification d'une anthropogénèse, c'est-à-dire d'une science de l'homme mise en prolongement d'une science de la vie. Oeuvre immense, mais à la mesure d'un tel esprit. Une disparition prématurée, en pleine vigueur intellectuelle, l'a empêché de la mener à son terme. Mais il en a donne le dessin général, et sur quelques points fondamentaux, une forme achevée, en divers articles où il a fait passer, selon ses Propres expressions, le meilleur de son expérience et l'essence de sa vision. C'est un des aspects de l'anthropogenèse qui est approfondi dans le présent ouvrage, un aspect classique mais par lui renouvelé, le problème de la place de l'homme dans le cadre de la nature et la valeur qu'il y représente. Le P. Teilhard nous apporte le résultat de sa méditation personnelle et trace, en un magnifique tableau, cette « montée » vers l'homme qui est le sens profond de la cosmogénèse. La vie n'est point une combinaison fortuite d'éléments matériels, un accident de l'histoire du monde, mais la forme que prend la matière a un certain niveau de complexité. Elle nous introduit dans un ordre nouveau, que caractérisent des propriétés particulières, la biosphère. Celle-ci ne doit point être conçue comme une image purement spatiale, une simple enveloppe concentrique a la lithosphère et a t'hydrosphère, une sorte de cadre où la vie se trouve confirmée, mais comme une couche structurelle de notre planète, « un dispositif où transparaît la liaison qui rattache entre elles, au sein d'un même dynamisme cosmique, Biologie, Physique, Astronomie ». Très vite, la vie manifeste une de ses tendances fondamentales, la tendance à se ramifier en avançant. Plus et mieux que tout autre, le P. Teilhard de Chardin souligne l'importance de la notion de lignée, ou Phylum, véritable unité élémentaire de la biosphère. Et celle-ci se résout en une multitude de lignées ; elle offre une structure fibreuse. D'ailleurs la vie ne se continue pas pendant longtemps dans le même sens ; chaque lignée se trouve plus ou moins rapidement remplacée, et aussi, partiellement prolongée, Par une lignée latérale, de sorte que la structure fibreuse de la biosphère apparaît en même temps comme une structure écailleuse. À première vue, ce buisson de la vie donne l'impression d'une diversité défiant l'analyse, d'une profusion où l'on ne peut retrouver un ordre naturel. Et sur l'un de ces multiples rameaux, l'homme apparaît, selon -une mutation pareille à toutes les autres ; et l'on pourrait croire que sa supériorité, lentement acquise, n'a été qu'un accident de la vie. Mais avons-nous ainsi l'image véritable du phénomène ? N'y a-t-il point, dans ce foisonnement, des lignées privilégiées ? En quelle mesure, toutefois, avons-nous le droit d'introduire, dans un tel problème la notion de valeur ? À quoi répond le P. Teilhard. À partir d'une certaine complexité, la matière se « vitalise », et sur ce plan il y a émergence de qualités nouvelles. Les unes, comme l'assimilation et la reproduction, se retrouvent a peu près semblables à elles-mêmes, dans la grande série des animaux Métazoaires. Le psychisme constitue au contraire, dès les zones infra-humaines, un facteur de hiérarchie, une mesure du degré de vitalisation. C'est l'intensité du Psychisme qui définit les deux lignées majeures de Métazoaires : Arthropodes et Vertébrés, par le développement de l'instinct chez les premiers, de l'intelligence chez les seconds. Tout au long de la lignée des Vertébrés, la seule qui nous intéresse dans une perspective d'anthropogénèse, nous observons une cérébralisation croissante des Poissons aux Mammifères. Et chez ces derniers, un groupe, à ce point de vue, prime les autres, celui des Primates ; il représente un axe privilégié de l'évolution. Toutefois, dans ses divers rameaux, cet « effort » de la vie vers la cérébralisation s'arrête plus ou moins tôt, le psychisme n'arrivant point à franchir véritablement le seuil de la réflexion. En l'homme seul « la conscience brise la chaîne », en lui s'exprime pleinement la plus haute tendance du phénomène vital. Sans qu'il y ait rupture de continuité avec ce qui précède, l'avènement de l'homme marque un palier entièrement original, d'une importance égale à ce que fut l'apparition de la vie, et que l'on peut définir comme l'établissement sur la planète d'une sphère pensante, surimposée à la biosphère, la noosphère. En elle, l'immense effort de cérébralisation qui commença sur la terre juvénile, va s'achever, en direction de l'organisation collective ou socialisation. Certes, dans cette dernière partie de l'ouvrage, le P. Teilhard de Chardin paraîtra faire oeuvre de philosophe plus que d'homme de science, et beaucoup qui ont admiré le paléontologiste dans son interprétation de l'évolution du monde vivant, auront quelque peine à suivre l'auteur dans ses anticipations. Mais tous seront frappés de la pensée lucide et ferme, de la maîtrise intellectuelle, d'un des plus grands esprits qui furent jamais.
    Note: Préface de Jean Piveteau--Avertissement, Paris, 10 janvier 1950--Introduction. Le Phénomène Humain--Chapitre I.--Place et signification de la vie dans l'univers. Un monde qui s'enroule.--1. Physique et Biologie : le problème--2. Lemme. Diverses formes d'arrangement de la Matière. Vraie et fausse Complexité--3. La Courbe de corpusculisation. Vie et Complexité--4. Mécanisme de la corpusculisation. Le Pas de la Vie--Formation des Atomes--Genèse des Molécules et des Protéines vivantes--5. Dynamisme de la Corpusculisation. L'expansion de Conscience--Chapitre II.--Le déploiement de la biosphère, de la ségrégation des anthropoïdes.--Observations préliminaires. La base de départ de la Vie : mono- ou poly-phylétisme ?--1. Caractères originels de la Biosphère--2. L'Arbre de la Vie. Forme générale--a. Les Monocellulaires--b. Les Multicellulaires--3. L'Arbre de la Vie. Recherche de la Flèche Complexification et Cérébralisation--a. Choix d'un nouveau paramètre de l'Évolution--b. La branche des Mammifères, axe principal d'enroulement cosmique--c. La famille des Anthropoïdes, axe terrestre de corpusculisation--4. La « tache anthropoïde » Pliocène sur la Biosphère--Chapitre III--L'apparition de l'homme : ou le pas de la réflexion--Introduction. Le Diptyque--1. L'Hominisation : une mutation pareille à toutes les autres dans ses apparences--a. le feuillet pithécanthrropien--b. Les autres feuillets--c. Le dessin d'ensemble--2. L'Hominisation : une mutation différente de toutes les autres dans ses développements--a. Extraordinaire puissance d'expansion--b. Extrême vitesse de différenciation--c. Persistance du pouvoir de germination phylétique--d. Coalescence des rameaux--Chapitre IV.--La formation de la noosphère.--1. La socialisation d'expansion : civilisation et individuation.--Introduction. Remarques préliminaires sur les notions de Noosphère et Planétisation--1.Peuplement de la Terre--Onde des Préhominiens--Onde aurignacienne--Onde néolithique--2. Civilisation--a.Nature biologique du phénomène--b.Effets de différenciation--c.Effets d'orthogénèse--3. Individuation--Chapitre V.--La formation de la noosphère--2. La socialisation de compression : totalisation et personnalisation. Directions d'avenir.--1. Une situation de fait : l'incoercible totalisation humaine et son mécanisme--a. Premier temps : compression ethnique.--b. Deuxième temps . organisation ethnico-technique--c. Troisième temps : augmentations concomitantes de conscience, de science et de rayon d'action--2. La seule interprétation cohérente du phénomène : un Monde qui converge--3. Effets et figures de convergence--a. ccroissement de l'Énergie libre et intensification de la Recherche--b. Rebondissement de l'évolution et Néo-cérébralisation--4. Limites supérieures de la Socialisation : Comment essayer de se représenter la fin d'un Monde--5. Réflexions finales sur l'aventure humaine : conditions et chances de succès--Table des Figures--Figure 1. Courbe naturelle des Complexités.--Figure 2. L'Arbre ou les Arborescences. de la Vie--Figure 3. Quelques étapes dans la cérébralisation des Vertébrés--Figure 4. Le développement du cerveau chez les Équidés d'après Edinger.--Figure 5. Le faisceau des Hominiens--Figure 6. L'enroulement crânien chez l'Homme à partir des Anthropoïdes d'après Weidenreich.
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
    UID:
    edocfu_9958072958302883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-4123-5802-7
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Content: Le P. Teilhard de Chardin a dit un jour comment entre les deux notions conjuguées de structure génétique des faunes et de structure génétique des continents lui était apparue une troisième notion, celle de structure génétique de l'Humanité. Tout son effort fut alors consacré à l'édification d'une anthropogénèse, c'est-à-dire d'une science de l'homme mise en prolongement d'une science de la vie. Oeuvre immense, mais à la mesure d'un tel esprit. Une disparition prématurée, en pleine vigueur intellectuelle, l'a empêché de la mener à son terme. Mais il en a donne le dessin général, et sur quelques points fondamentaux, une forme achevée, en divers articles où il a fait passer, selon ses Propres expressions, le meilleur de son expérience et l'essence de sa vision. C'est un des aspects de l'anthropogenèse qui est approfondi dans le présent ouvrage, un aspect classique mais par lui renouvelé, le problème de la place de l'homme dans le cadre de la nature et la valeur qu'il y représente. Le P. Teilhard nous apporte le résultat de sa méditation personnelle et trace, en un magnifique tableau, cette « montée » vers l'homme qui est le sens profond de la cosmogénèse. La vie n'est point une combinaison fortuite d'éléments matériels, un accident de l'histoire du monde, mais la forme que prend la matière a un certain niveau de complexité. Elle nous introduit dans un ordre nouveau, que caractérisent des propriétés particulières, la biosphère. Celle-ci ne doit point être conçue comme une image purement spatiale, une simple enveloppe concentrique a la lithosphère et a t'hydrosphère, une sorte de cadre où la vie se trouve confirmée, mais comme une couche structurelle de notre planète, « un dispositif où transparaît la liaison qui rattache entre elles, au sein d'un même dynamisme cosmique, Biologie, Physique, Astronomie ». Très vite, la vie manifeste une de ses tendances fondamentales, la tendance à se ramifier en avançant. Plus et mieux que tout autre, le P. Teilhard de Chardin souligne l'importance de la notion de lignée, ou Phylum, véritable unité élémentaire de la biosphère. Et celle-ci se résout en une multitude de lignées ; elle offre une structure fibreuse. D'ailleurs la vie ne se continue pas pendant longtemps dans le même sens ; chaque lignée se trouve plus ou moins rapidement remplacée, et aussi, partiellement prolongée, Par une lignée latérale, de sorte que la structure fibreuse de la biosphère apparaît en même temps comme une structure écailleuse. À première vue, ce buisson de la vie donne l'impression d'une diversité défiant l'analyse, d'une profusion où l'on ne peut retrouver un ordre naturel. Et sur l'un de ces multiples rameaux, l'homme apparaît, selon -une mutation pareille à toutes les autres ; et l'on pourrait croire que sa supériorité, lentement acquise, n'a été qu'un accident de la vie. Mais avons-nous ainsi l'image véritable du phénomène ? N'y a-t-il point, dans ce foisonnement, des lignées privilégiées ? En quelle mesure, toutefois, avons-nous le droit d'introduire, dans un tel problème la notion de valeur ? À quoi répond le P. Teilhard. À partir d'une certaine complexité, la matière se « vitalise », et sur ce plan il y a émergence de qualités nouvelles. Les unes, comme l'assimilation et la reproduction, se retrouvent a peu près semblables à elles-mêmes, dans la grande série des animaux Métazoaires. Le psychisme constitue au contraire, dès les zones infra-humaines, un facteur de hiérarchie, une mesure du degré de vitalisation. C'est l'intensité du Psychisme qui définit les deux lignées majeures de Métazoaires : Arthropodes et Vertébrés, par le développement de l'instinct chez les premiers, de l'intelligence chez les seconds. Tout au long de la lignée des Vertébrés, la seule qui nous intéresse dans une perspective d'anthropogénèse, nous observons une cérébralisation croissante des Poissons aux Mammifères. Et chez ces derniers, un groupe, à ce point de vue, prime les autres, celui des Primates ; il représente un axe privilégié de l'évolution. Toutefois, dans ses divers rameaux, cet « effort » de la vie vers la cérébralisation s'arrête plus ou moins tôt, le psychisme n'arrivant point à franchir véritablement le seuil de la réflexion. En l'homme seul « la conscience brise la chaîne », en lui s'exprime pleinement la plus haute tendance du phénomène vital. Sans qu'il y ait rupture de continuité avec ce qui précède, l'avènement de l'homme marque un palier entièrement original, d'une importance égale à ce que fut l'apparition de la vie, et que l'on peut définir comme l'établissement sur la planète d'une sphère pensante, surimposée à la biosphère, la noosphère. En elle, l'immense effort de cérébralisation qui commença sur la terre juvénile, va s'achever, en direction de l'organisation collective ou socialisation. Certes, dans cette dernière partie de l'ouvrage, le P. Teilhard de Chardin paraîtra faire oeuvre de philosophe plus que d'homme de science, et beaucoup qui ont admiré le paléontologiste dans son interprétation de l'évolution du monde vivant, auront quelque peine à suivre l'auteur dans ses anticipations. Mais tous seront frappés de la pensée lucide et ferme, de la maîtrise intellectuelle, d'un des plus grands esprits qui furent jamais.
    Note: Préface de Jean Piveteau--Avertissement, Paris, 10 janvier 1950--Introduction. Le Phénomène Humain--Chapitre I.--Place et signification de la vie dans l'univers. Un monde qui s'enroule.--1. Physique et Biologie : le problème--2. Lemme. Diverses formes d'arrangement de la Matière. Vraie et fausse Complexité--3. La Courbe de corpusculisation. Vie et Complexité--4. Mécanisme de la corpusculisation. Le Pas de la Vie--Formation des Atomes--Genèse des Molécules et des Protéines vivantes--5. Dynamisme de la Corpusculisation. L'expansion de Conscience--Chapitre II.--Le déploiement de la biosphère, de la ségrégation des anthropoïdes.--Observations préliminaires. La base de départ de la Vie : mono- ou poly-phylétisme ?--1. Caractères originels de la Biosphère--2. L'Arbre de la Vie. Forme générale--a. Les Monocellulaires--b. Les Multicellulaires--3. L'Arbre de la Vie. Recherche de la Flèche Complexification et Cérébralisation--a. Choix d'un nouveau paramètre de l'Évolution--b. La branche des Mammifères, axe principal d'enroulement cosmique--c. La famille des Anthropoïdes, axe terrestre de corpusculisation--4. La « tache anthropoïde » Pliocène sur la Biosphère--Chapitre III--L'apparition de l'homme : ou le pas de la réflexion--Introduction. Le Diptyque--1. L'Hominisation : une mutation pareille à toutes les autres dans ses apparences--a. le feuillet pithécanthrropien--b. Les autres feuillets--c. Le dessin d'ensemble--2. L'Hominisation : une mutation différente de toutes les autres dans ses développements--a. Extraordinaire puissance d'expansion--b. Extrême vitesse de différenciation--c. Persistance du pouvoir de germination phylétique--d. Coalescence des rameaux--Chapitre IV.--La formation de la noosphère.--1. La socialisation d'expansion : civilisation et individuation.--Introduction. Remarques préliminaires sur les notions de Noosphère et Planétisation--1.Peuplement de la Terre--Onde des Préhominiens--Onde aurignacienne--Onde néolithique--2. Civilisation--a.Nature biologique du phénomène--b.Effets de différenciation--c.Effets d'orthogénèse--3. Individuation--Chapitre V.--La formation de la noosphère--2. La socialisation de compression : totalisation et personnalisation. Directions d'avenir.--1. Une situation de fait : l'incoercible totalisation humaine et son mécanisme--a. Premier temps : compression ethnique.--b. Deuxième temps . organisation ethnico-technique--c. Troisième temps : augmentations concomitantes de conscience, de science et de rayon d'action--2. La seule interprétation cohérente du phénomène : un Monde qui converge--3. Effets et figures de convergence--a. ccroissement de l'Énergie libre et intensification de la Recherche--b. Rebondissement de l'évolution et Néo-cérébralisation--4. Limites supérieures de la Socialisation : Comment essayer de se représenter la fin d'un Monde--5. Réflexions finales sur l'aventure humaine : conditions et chances de succès--Table des Figures--Figure 1. Courbe naturelle des Complexités.--Figure 2. L'Arbre ou les Arborescences. de la Vie--Figure 3. Quelques étapes dans la cérébralisation des Vertébrés--Figure 4. Le développement du cerveau chez les Équidés d'après Edinger.--Figure 5. Le faisceau des Hominiens--Figure 6. L'enroulement crânien chez l'Homme à partir des Anthropoïdes d'après Weidenreich.
    Language: French
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