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    UID:
    b3kat_BV041451493
    ISBN: 978-2-85-197175-3
    Uniform Title: Lehre vom Ähnlichen
    In: pages:120-122
    In: Walter Benjamin / cahier dirigé par Patricia Lavelle, Paris, 2013, S. 120 - 122, 978-2-85-197175-3
    Language: French
    Subjects: German Studies
    RVK:
    Author information: Rusch, Pierre 1959-
    Author information: Benjamin, Walter 1892-1940
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    UID:
    edoccha_9958092693402883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-215-9
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: LIVRE II: Du raisonnement -- AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR, par Louis Peisse, 1865 -- PRÉFACES de John Stuart Mill -- de la première édition, 1843 -- de la troisième édition -- de la sixième édition, 1865 -- INTRODUCTION, par John Stuart Mill -- 1. Une définition ne peut être que provisoire au début d'une recherche -- 2. La logique est-elle l'art et la science du Raisonnement? -- 3. Ou bien la science et l'art de la recherche de la vérité ? -- 4. La logique se rapporte aux inférences, et non aux vérités intuitives. -- 5. Rapports de la logique avec les autres sciences -- 6. Son utilité -- 7. Définition de la logique -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- LIVRE III: DE L'INDUCTION. -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- Chapitre I. De l'Inférence ou du Raisonnement en général. -- 1. Récapitulation des résultats du livre précédent -- 2. Des inférences ainsi improprement appelées -- 3. Des inférences proprement dites, distinguées en Inductions et Rai-sonnements (ratiocinations) -- Chapitre II. Du Raisonnement ou Syllogisme. -- 1. Analyse du syllogisme -- 2. Le dictum de omni et nullo n'est pas le fondement du raisonne-ment, il est simplement une proposition identique -- 3. Quel est l'axiome réellement fondamental du Raisonnement ? -- 4. Autre forme de l'axiome -- Chapitre III. Fonctions et Valeur Logique du Syllogisme. -- 1 . Le syllogisme est-il une petitio principii ? -- 2. Insuffisance de la théorie commune -- 3. Toute inférence est du particulier au particulier -- 4. Les propositions générales sont un enregistrement de ces inférences et les règles du syllogisme sont les règles de l'interprétation de l'enregistrement -- 5. Le syllogisme n'est pas le type du raisonnement ; il n'en est que la pierre de touche -- 6. Quel est réellement ce type ? -- 7. Rapport de l'Induction avec la Déduction -- 8. Réponse aux objections -- 9. De la Logique Formelle et son rapport avec la Logique de la Vérité -- Chapitre IV. Des Séries ou chaînes de Raisonnements et des sciences Déductives -- 1. A quelle fin les séries de raisonnements sont nécessaires -- 2. Une chaîne de raisonnements est une série d'inférences inductives -- 3. Inférences des particuliers aux particuliers au moyen de marques de marques -- 4. Pourquoi il y a des sciences déductives -- 5. Pourquoi d'autres sciences restent expérimentales -- 6. Des sciences expérimentales peuvent devenir déductives par les progrès de l'expérimentation -- 7. De quelle manière cela a lieu habituellement -- Chapitre V. De la Démonstration et des Vérités Nécessaires. -- 1. Les théorèmes de la géométrie sont des vérités nécessaires, en ce sens seulement qu'ils suivent nécessairement d'hypothèses -- 2. Ces hypothèses sont des faits réels dont quelques circonstances sont ou exagérées ou omises -- 3. Quelques-uns des premiers principes de la géométrie sont des axiomes, et ceux-là ne sont pas hypothétiques -- 4. - ils sont des vérités expérimentales -- 5. Réponse à une objection -- 6. Examen de l'opinion du docteur Whewell sur les axiomes -- Chapitre VI. Continuation du même sujet. -- 1. Toutes les sciences Déductives sont inductives -- 2. Les propositions de la science des nombres ne sont pas purement verbales; ce sont des généralisations de l'expérience -- 3. Dans quel sens elles sont hypothétiques -- 4. La propriété caractéristique de la science démonstrative est d'être hypothétique -- 5. Définition de l'évidence démonstrative -- Chapitre VII. Examen de quelques opinions opposées aux doctrines précédentes. -- 1. Doctrine du Postulat Universel -- 2. L'inconcevabilité d'une chose ne peut pas être considérée comme un résultat de l'expérience accumulée, ni être, à ce titre, un critère de vérité -- 3. Et ce critère n'est impliqué dans aucun procédé de la pensée -- 4. Opinion de Sir W. Hamilton sur le Principe de Contradiction et le Principe de l'Exclusion du Milieu -- LIVRE III : DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. Observations préliminaires sur l'Induction en général. -- 1. Importance d'une Logique Inductive -- 2. La logique de la science est aussi celle de la vie humaine et de la pratique -- Chapitre II. Des inductions ainsi improprement appelées. -- 1. Les vraies inductions distinguées des transformations -- 2. - ainsi que des opérations faussement appelées des inductions, en mathématiques -- 3. - et des descriptions -- 4. Examen de la théorie de l'induction du docteur Whewell -- 5. Suite et développement des remarques précédentes -- Chapitre III. Du fondement de l'induction. -- 1. Axiome de l'uniformité du cours de la Nature -- 2. Il n'est pas vrai dans tous les sens. - Induction per enumeratio-nem, simplicem -- 3. Position de la question de la Logique Inductive -- Chapitre IV. Des Lois de la Nature. -- 1. La régularité générale de la nature est un tissu de régularités partielles, appelées lois -- 2. L'induction scientifique doit être fondée sur des inductions spontanées préalables -- 3. Y a-t-il des inductions propres à servir de critère à toutes les autres ? -- Chapitre V. De la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi universelle des phénomènes successifs est la loi de Cau-salité -- 2. - C'est-à-dire la loi que chaque conséquent a un antécédent invariable -- 3. La cause d'un phénomène est l'assemblage de ses conditions -- 4. La distinction d'Agent et de Patient est illusoire -- 5. Ce n'est pas l'antécédent invariable qui est la cause, mais l'anté-cédent invariable inconditionnel -- 6. Une cause peut-elle être simultanée avec son effet ? -- 7. Du concept d'une Cause Permanente, d'un agent naturel primitif -- 8. Des uniformités de coexistence entre les effets de différentes causes permanentes ne sont pas des lois -- 9. Examen de la doctrine que la volition est une cause efficiente -- Chapitre VI. De la Composition des Causes. -- 1. Deux modes de l'action combinée des causes, le mécanique et le chimique -- 2. La composition des causes est la règle générale ; l'inverse est l'exception -- 3. Les effets sont-ils proportionnés à leurs causes ? -- Chapitre VII. De l'Observation et de l'Expérimentation. -- 1. Le premier pas dans la recherche inductive est la décomposition mentale des phénomènes complexes en leurs éléments -- 2. Le second est la séparation actuelle de ces éléments -- 3. Avantages de l'expérimentation sur l'observation -- 4. Avantages de l'observation sur l'expérimentation -- Chapitre VIII. Des Quatre Méthodes de Recherche Expérimentale. -- 1 . Méthode de Concordance -- 2. Méthode de Différence -- 3. Relation mutuelle de ces deux méthodes -- 4. Méthode-Unie de Concordance et de Différence -- 5. Méthode des Résidus -- 6. Méthode des Variations Concomitantes -- 7. Limitations de cette dernière méthode -- Chapitre IX. - Exemples divers des Quatre Méthodes. -- 1. Théorie de Liebig sur les poisons métalliques -- 2. Théorie de l'électricité d'induction -- 3. Théorie de la Rosée du docteur Wells -- 4. Théorie de la Rigidité cadavérique par le docteur Brown-Séquard -- 5. Exemples de la Méthode des Résidus -- 6. Objections du docteur Whewell aux quatre méthodes -- Chapitre X. De la Pluralité des Causes, et de l'Entremêlement des Effets. -- 1. Un effet peut avoir plusieurs causes -- 2. - d'où un défaut caractéristique de la Méthode de Concordance -- 3. Comment constater la Pluralité des Causes -- 4. Concours de causes ne produisant pas des effets composés -- 5. Difficultés de la recherche lorsque les effets des causes concou-rantes sont composés -- 6. Trois modes d'investigation des lois des effets complexes -- 7. La méthode d'observation pure inapplicable -- 8. La méthode expérimentale pure inapplicable -- Chapitre XI. De la Méthode Déductive. -- 1. , De l'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Ce que c'est qu'expliquer. Définition -- 2. Premier mode d'explication. Réduire la loi d'un effet complexe aux lois des causes concourantes et au fait de leur coexis-tence -- 3. Deuxième mode. , Trouver un lien intermédiaire dans la succes-sion -- 4. Les lois en lesquelles se résolvent d'autres lois sont toujours plus générales que les lois réduites -- 5. Troisième mode. Subsumer une loi moins générale à une loi plus générale -- 6. A quoi se réduit l'explication d'une loi de la nature -- Chapitre XIII. Exemples divers d'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Des théories générales des sciences -- 2. Exemples de théories chimiques -- 3. Exemple emprunté aux recherches du docteur Brown-Séquard sur le système nerveux -- 4. Exemples de la poursuite de l'étude de l'action des lois nouvelle-ment découvertes dans leurs manifestations complexes -- 5. Exemples de généralisations empiriques, confirmées ensuite et expliquées déductivement -- 6. Exemple pris dans la psychologie -- 7. Tendance de toutes les sciences à devenir déductives -- Chapitre XIV. Des limites de l'explication des lois de la Nature, et des hypothèses. -- 1. Toutes les successions dans la nature sont-elles réductibles à une seule loi ? -- 2. Les lois primaires ne peuvent pas être moins nombreuses que les sentiments -- 3. En quel sens les faits primitifs peuvent être expliqués -- 4. De l'usage propre des hypothèses scientifiques -- 5. Leur nécessité -- 6. Des hypothèses légitimes, et comment elles se distinguent des illégitimes -- 7. Certaines recherches en apparence hypothétiques sont en réalité inductives -- Chapitre XV. Des Effets Progressifs, et de l'Action Continue des Causes. -- 1. Comment un effet progressif résulte de la simple continuation de la cause -- 2. - et de la progressivité de la cause -- 3. Lois dérivées découlant d'une seule loi primaire -- Chapitre XVI. Des lois empiriques. -- 1 . Définition de la loi empirique -- 2. Les lois dérivées dépendent communément des Collocations -- 3. Les collocations des causes permanentes ne peuvent pas être ramenées à une loi -- 4. D'où il suit que les lois empiriques ne valent que dans les limites de l'expérience actuelle -- 5. Les généralisations par la Méthode de Concordance seule ne valent que comme lois empiriques -- 6. Signes auxquels une uniformité de succession observée peut être présumée réductible -- 7. Deux sortes de lois empiriques -- Chapitre XVII. Du Hasard et de son Élimination. -- 1. La preuve des lois empiriques dépend de la théorie du hasard -- 2. Définition et explication du hasard -- 3. Élimination du hasard -- 4. Découverte des phénomènes-Résidus par l'élimination du hasard -- 5. Théorie du hasard -- Chapitre XVIII. Du Calcul du Hasard. -- 1. Fondement de la théorie du hasard des mathématiciens -- 2. Théorie soutenable -- 3. Ses véritables fondements -- 4. Elle dépend en dernière analyse de la Causation -- 5. Théorème de la doctrine du hasard relatif à la recherche de la cause d'un événement donné -- 6. Comment il est applicable à l'élimination du hasard -- Chapitre XIX. De l'Extension des Lois Dérivées aux cas Adjacents. -- 1. Les lois dérivées, lorsqu'elles ne sont pas fortuites, sont presque toujours des contingences dépendant des collocations -- 2- Sur quels fondements elles peuvent être étendues à des cas hors des limites de l'expérience actuelle -- 3. Ces cas doivent être des cas adjacents -- Chapitre XX. De l'Analogie. -- 1. Sens divers du mot Analogie -- 2. Nature de la preuve par analogie -- 3. Circonstances dont dépend sa valeur -- Chapitre XXI. De la Preuve de la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi de causalité n'est pas fondée sur un instinct -- 2. Mais sur une induction par simple énumération -- 3. Dans quels cas cette induction est valable -- 4. Prévalence universelle de la loi de causalité. - Par quelles raisons elle est admissible -- Chapitre XXII. Des Uniformités de Coexistence non dépendantes de la Causation. -- 1. Uniformités de coexistences qui résultent des lois de succession -- 2. Les propriétés primitives ou Génériques des choses sont des uniformités de coexistences -- 3. Quelques-unes sont dérivées, d'autres primitives -- 4. Il n'y a pas d'axiome universel de coexistence -- 5. De la preuve des uniformités de coexistence. - Sa mesure -- 6. La preuve des uniformités dérivées est celle des lois empiriques -- 7. Celle des primitives également -- 8. La preuve est d'autant plus forte que la loi est plus générale -- 9. Chaque Genre distinct doit être examiné -- Chapitre XXIII. Des Généralisations Approximatives, et de la Preuve Probable. -- 1. Les inférences dites probables reposent sur des généralisations approximatives -- 2. Les généralisations approximatives moins utiles dans la science que dans la vie -- 3. Dans quels cas on peut y recourir -- 4. Comment elles se prouvent -- 5. Précautions requises pour leur emploi -- 6. Les deux modes de combinaison des probabilités -- 7. Comment les généralisations approximatives peuvent être converties en des généralisations exactes équivalentes -- Chapitre XXIV. Des Autres Lois de la Nature. -- 1. Propositions énonçant la simple existence -- 2. La Ressemblance, considérée comme objet de science -- 3. Les axiomes et les théorèmes des mathématiques comprennent les principales lois de Ressemblance -- 4. - ainsi que les lois de l'ordre dans le lieu, et reposent sur l'induction par simple énumération -- 5. Les propositions de l'arithmétique énoncent les modes de formation d'un nombre donné -- 6. Les propositions de l'algèbre énoncent l'équivalent de différents modes de formation des nombres en général -- 7. Les propositions de la géométrie sont des lois du monde extérieur -- 8. Pourquoi la géométrie est presque entièrement déductive -- 9. Fonction des vérités mathématiques dans les autres sciences, et limites de cette fonction -- Chapitre XXV. Des Raisons de Non-Croyance. -- 1. Improbabilité et impossibilité -- 2. Examen de la doctrine de Hume sur les miracles -- 3. Le degré d'improbabilité, correspond à des différences dans la nature de la généralisation avec laquelle une assertion se trouve en désaccord -- 4. De ce que les chances étaient contre un fait, il n'est pas pour cela incroyable -- 5. Les coïncidences sont-elles moins croyables que d'autres faits ? -- 6. Examen d'une opinion de Laplace -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. De l'Observation et de la Description. -- 1. De l'observation. - Jusqu'à quel point elle est du ressort de la logique -- 2. Ce qui semble simple Observation est en grande partie Inférence -- 3. La relation d'une observation affirme plus de choses que n'en con-tient l'observation -- 4. - à savoir, un accord entre les phénomènes ; et la comparaison des phénomènes pour constater ces concordances est un préli-minaire de l'induction -- Chapitre II. De l'Abstraction et de la formation des Concepts. -- 1. La comparaison préliminaire à l'induction implique des conceptions générales -- 2. - mais il n'est pas besoin que ces conceptions préexistent -- 3. Un concept général, formé primitivement par la comparaison, devient lui-même le type de comparaison -- 4. Ce qu'il faut entendre par une Conception Appropriée -- 5. et par une Conception Claire -- 6. Autres éclaircissements sur ce sujet -- Chapitre III. De l'imposition des Noms comme auxiliaire de l'Induction. -- 1. Propriété fondamentale des noms comme instruments de la pensée -- 2. Les noms ne sont pas indispensables à l'induction -- 3. En quoi et comment ils servent à l'induction -- 4. Les noms généraux ne sont pas un simple artifice pour économiser les mots -- Chapitre IV. Conditions d'un langage Philosophique et Principes de la Définition. -- 1. La première condition d'un langage philosophique est une signifIcation déterminée et invariable de chaque nom général -- 2. Les noms d'un usage commun ont souvent une connotation vague -- 3. - que le logicien doit chercher à fixer avec la moins possible d'altération -- 4. Pourquoi la déf , De l'Histoire naturelle des Variations dans le Sens des Mots. -- 1. Comment des circonstances primitivement accidentelles finissent par s'incorporer dans la signification des mots -- 2. - et quelquefois en constituent toute la signification -- 3. , Tendance des mots à se généraliser -- 4. - et à se spécialiser -- Chapitre VI. Suite des considérations sur les conditions d'un Langage Philosophique. -- 1. Seconde condition d'un langage philosophique. - Un nom pour chaque signification importante -- 2. - c'est-à-dire premièrement une exacte Terminologie descriptive -- 3. Secondement, un nom pour chacun des résultats les plus impor-tants de l'abstraction scientifique -- 4. - Troisièmement, une Nomenclature ou système de noms de Genres -- 5. Nature particulière de la connotation des noms appartenant à une nomenclature -- 6. Dans quels cas le langage peut, ou ne peut pas, être employé mécaniquement -- Chapitre VII. De la Classification, comme auxiliaire de l'Induction -- 1. En quoi la classification dont il est ici traité diffère de la classification impliquée dans l'imposition des noms -- 2. Théorie des groupes naturels -- 3. Les groupes naturels sont-ils donnés par un type ou par définition ? -- 4. Les Genres sont des groupes naturels -- 5. Comment doivent être formés les hotus de Genres -- Chapitre VIII. De la Classification par Séries. -- 1 . Les groupes naturels pourraient être rangés en une série naturelle -- 2. - dans l'ordre des degrés du phénomène, principal -- 3. - ce qui implique l'admission d'une Espèce-Type -- 4. Comment seraient déterminées les divisions de la série -- 5. La zoologie offre le modèle le plus complet de la classification scientifique -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- Chapitre I. Des Sophismes en général. -- 1. La théorie des sophismes est une partie nécessaire de la logique -- 2. Des erreurs accidentelles ne sont pas des sophismes -- 3. Sources morales des erreurs. - Leur relation avec les sources intellectuelles -- Chapitre II. Classification des Sophismes. -- 1. Sur quels critères doit être fondée une classification des Sophismes -- 2. Cinq classes de sophismes -- 3. Le classement d'un sophisme dans une de ces divisions ou dans une autre est quelquefois arbitraire -- Chapitre III. Sophismes de simple Inspection ou Sophismes A priori -- 1. Caractère de cette classe de sophismes -- 2. Préjugé naturel qui fait prendre pour objectives des lois subjectives. - Exemples dans les Superstitions populaires -- 3. Préjugé naturel, que les choses pensées ensemble doivent exister ensemble et que ce qui est inconcevable doit être faux -- 4. Préjugé naturel d'attribuer une existence objective à des abstractions -- 5. Sophisme de la Raison Suffisante -- 6. Préjugé naturel qu'aux, distinctions exprimées par le correspondent des différences dans les choses -- 7. Préjugé, qu'un phénomène ne peut avoir qu'une seule cause -- 8. Préjugé, que les conditions d'un phénomène doivent ressembler au phénomène -- Chapitre IV. Sophismes d'Observation. -- 1. Non-observation et Mal-observation -- 2. Non-observation des cas, et non-observation des circonstances -- 3. Exemples de la première -- 4. - et de la seconde -- 5. Caractérisation de la mal-observation, et exemples -- Chapitre V. Sophismes de Généralisation. -- 1. Caractère de cette classe -- 2. Certaines généralisations sont toujours nécessairement défectueuses -- 3. Tentative de résoudre en un seul et même phénomène des phénomènes -- 4. - radicalement différents -- 5. Post hoc, ergo propter hoc; et le sophisme déductif correspondant -- 6. Sophisme par Fausses Analogies -- 7. Office des métaphores dans le raisonnement -- 8. Comment les sophismes de généralisation naissent d'une mauvaise classification -- Chapitre VI. Sophismes de Raisonnement. -- 1. Remarques préliminaires -- 2. Sophisme dans la conversion et l'équipollence des propositions -- 3. Sophisme dans l'opération syllogistique -- 4. Sophisme par le changement dés prémisse -- Chapitre VII. Sophismes par confusion. -- 1. Sophisme des Termes Ambigus -- 2. Sophisme de la Petitio principii -- 3. Sophisme de l'ignoratio elenchi -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- Chapitre I. Remarques préliminaires. -- 1. L'état arriéré des Sciences morales ne peut être amélioré que par l'application à ces sciences des méthodes des sciences physiques dûment étendues et généralisées -- 2. Jusqu'à quel point on peut l'entreprendre dans le présent ouvrage -- Chapitre II. De la Liberté et de la Nécessité. -- 1. Les actions humaines sont-elles soumises à la loi de causalité ? -- 2. Doctrine de la Nécessité Philosophique. - En quel sens elle est vraie -- 3. Impropriété et pernicieuse conséquence du mot Nécessité -- 4. Un motif n'est pas toujours l'attente ou la crainte d'un plaisir ou d'une peine -- Chapitre III. Qu'il y a, ou peut y avoir, une Science de la Nature Humaine. -- 1. Il peut y avoir des sciences qui ne sont pas des sciences exactes -- 2. A quel type scientifique se rapporte la science de la Nature Humaine ? -- Chapitre IV. Des Lois de l'Esprit, -- 1. Ce qu'il faut entendre par Lois de l'Esprit -- 2. Existe-t-il une science psychologique ? -- 3. Caractérisation des principales recherches de psychologie -- 4. Rapports des phénomènes mentaux et des conditions physiques -- Chapitre V. De l'Éthologie, ou Science de la Formation du Caractère. -- 1. Les lois empiriques de la Nature humaine -- 2. - Sont des généralisations purement approximatives. - Les lois de la formation du caractère sont universelles -- 3. Les lois de la formation du caractère ne peuvent pas être constatées par l'observation et par l'expérimentation -- 4. - Elles doivent être étudiées déductivement -- 5. Les principes de l'Éthologie sont les axiomata media de la science mentale -- 6. Caractérisation de l'Éthologie -- Chapitre VI. Considérations générales sur la Science Sociale. -- 1. Les phénomènes sociaux sont-ils un sujet de science ? -- 2. Ce que peut être la Science Sociale -- Chapitre VII. De la Méthode chimique ou Expérimentale dans la Science Sociale. -- 1. - Du point de vue des penseurs qui déduisent les théories politiques de l'expérience spécifique -- 2. - Dans la science sociale l'expérimentation est impossible -- 3. - la Méthode de Différence inapplicable -- 4. - et les Méthodes de Concordance et des Variations Concomitantes insuffisantes -- 5. La Méthode des Résidus insuffisante aussi, et présuppose la Déduction -- Chapitre VIII. De la Méthode Géométrique ou Abstraite. -- 1. Exposition de ce point de vue -- 2. Exemples de la Méthode Géométrique -- 3. Doctrine de l'Intérêt, de l'école de Bentham -- Chapitre IX. De la Méthode Physique, ou Déductive Concrète. -- 1. Des Méthodes Déductives, Directe et Inverse -- 2. Difficultés de la Méthode déductive directe dans la science sociale -- 3. Jusqu'à quel point les différentes branches de la science sociale peuvent être étudiées à part. - Caractérisation de l'économie politique -- 4. Éthologie Politique, ou science du caractère national -- 5. Les lois empiriques de la science sociale -- 6. De la Vérification dans la science -- Chapitre X. De la Méthode Déductive Inverse ou Historique. -- 1. Distinction de la science générale de la société et de la recherche sociologique spéciale -- 2. Ce qu'il faut entendre par un État de Société ? -- 3. La progressivité de l'Homme et de la Société -- 4. Les lois de succession des états sociaux ne peuvent être déterminées que par la Méthode Déductive Inverse -- 5. La statique Sociale, ou science des coexistences de phénomènes sociaux -- 6. La Dynamique sociale, ou science des successions de phénomènes sociaux -- 7. Avenir de la science sociologique -- Chapitre XI. Autres Éclaircissements sur la Science de l'Histoire. -- 1. La statique vérifie que les faits historiques sont régis par des uniformes -- 2. - ce qui n'implique point la non-intervention des causes Mo-rales -- 3. - ni l'inefficacité des caractères des individus et des actes des gouvernements -- 4. Exemples de l'importance historique des grands hommes et de l'action polit , Quel est l'office propre de règles d'Art ? -- 4. L'Art ne peut pas être Déductif -- 5. Tout Art consiste en des vérités de Science, disposées dans un ordre approprié à un usage pratique -- 6. , Téléologie, ou doctrine des Fins -- 7. Nécessité d'un type supérieur, ou premier principe -- 8. Conclusion.
    Language: French
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  • 3
    UID:
    edocfu_9958092693402883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-215-9
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: LIVRE II: Du raisonnement -- AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR, par Louis Peisse, 1865 -- PRÉFACES de John Stuart Mill -- de la première édition, 1843 -- de la troisième édition -- de la sixième édition, 1865 -- INTRODUCTION, par John Stuart Mill -- 1. Une définition ne peut être que provisoire au début d'une recherche -- 2. La logique est-elle l'art et la science du Raisonnement? -- 3. Ou bien la science et l'art de la recherche de la vérité ? -- 4. La logique se rapporte aux inférences, et non aux vérités intuitives. -- 5. Rapports de la logique avec les autres sciences -- 6. Son utilité -- 7. Définition de la logique -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- LIVRE III: DE L'INDUCTION. -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- Chapitre I. De l'Inférence ou du Raisonnement en général. -- 1. Récapitulation des résultats du livre précédent -- 2. Des inférences ainsi improprement appelées -- 3. Des inférences proprement dites, distinguées en Inductions et Rai-sonnements (ratiocinations) -- Chapitre II. Du Raisonnement ou Syllogisme. -- 1. Analyse du syllogisme -- 2. Le dictum de omni et nullo n'est pas le fondement du raisonne-ment, il est simplement une proposition identique -- 3. Quel est l'axiome réellement fondamental du Raisonnement ? -- 4. Autre forme de l'axiome -- Chapitre III. Fonctions et Valeur Logique du Syllogisme. -- 1 . Le syllogisme est-il une petitio principii ? -- 2. Insuffisance de la théorie commune -- 3. Toute inférence est du particulier au particulier -- 4. Les propositions générales sont un enregistrement de ces inférences et les règles du syllogisme sont les règles de l'interprétation de l'enregistrement -- 5. Le syllogisme n'est pas le type du raisonnement ; il n'en est que la pierre de touche -- 6. Quel est réellement ce type ? -- 7. Rapport de l'Induction avec la Déduction -- 8. Réponse aux objections -- 9. De la Logique Formelle et son rapport avec la Logique de la Vérité -- Chapitre IV. Des Séries ou chaînes de Raisonnements et des sciences Déductives -- 1. A quelle fin les séries de raisonnements sont nécessaires -- 2. Une chaîne de raisonnements est une série d'inférences inductives -- 3. Inférences des particuliers aux particuliers au moyen de marques de marques -- 4. Pourquoi il y a des sciences déductives -- 5. Pourquoi d'autres sciences restent expérimentales -- 6. Des sciences expérimentales peuvent devenir déductives par les progrès de l'expérimentation -- 7. De quelle manière cela a lieu habituellement -- Chapitre V. De la Démonstration et des Vérités Nécessaires. -- 1. Les théorèmes de la géométrie sont des vérités nécessaires, en ce sens seulement qu'ils suivent nécessairement d'hypothèses -- 2. Ces hypothèses sont des faits réels dont quelques circonstances sont ou exagérées ou omises -- 3. Quelques-uns des premiers principes de la géométrie sont des axiomes, et ceux-là ne sont pas hypothétiques -- 4. - ils sont des vérités expérimentales -- 5. Réponse à une objection -- 6. Examen de l'opinion du docteur Whewell sur les axiomes -- Chapitre VI. Continuation du même sujet. -- 1. Toutes les sciences Déductives sont inductives -- 2. Les propositions de la science des nombres ne sont pas purement verbales; ce sont des généralisations de l'expérience -- 3. Dans quel sens elles sont hypothétiques -- 4. La propriété caractéristique de la science démonstrative est d'être hypothétique -- 5. Définition de l'évidence démonstrative -- Chapitre VII. Examen de quelques opinions opposées aux doctrines précédentes. -- 1. Doctrine du Postulat Universel -- 2. L'inconcevabilité d'une chose ne peut pas être considérée comme un résultat de l'expérience accumulée, ni être, à ce titre, un critère de vérité -- 3. Et ce critère n'est impliqué dans aucun procédé de la pensée -- 4. Opinion de Sir W. Hamilton sur le Principe de Contradiction et le Principe de l'Exclusion du Milieu -- LIVRE III : DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. Observations préliminaires sur l'Induction en général. -- 1. Importance d'une Logique Inductive -- 2. La logique de la science est aussi celle de la vie humaine et de la pratique -- Chapitre II. Des inductions ainsi improprement appelées. -- 1. Les vraies inductions distinguées des transformations -- 2. - ainsi que des opérations faussement appelées des inductions, en mathématiques -- 3. - et des descriptions -- 4. Examen de la théorie de l'induction du docteur Whewell -- 5. Suite et développement des remarques précédentes -- Chapitre III. Du fondement de l'induction. -- 1. Axiome de l'uniformité du cours de la Nature -- 2. Il n'est pas vrai dans tous les sens. - Induction per enumeratio-nem, simplicem -- 3. Position de la question de la Logique Inductive -- Chapitre IV. Des Lois de la Nature. -- 1. La régularité générale de la nature est un tissu de régularités partielles, appelées lois -- 2. L'induction scientifique doit être fondée sur des inductions spontanées préalables -- 3. Y a-t-il des inductions propres à servir de critère à toutes les autres ? -- Chapitre V. De la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi universelle des phénomènes successifs est la loi de Cau-salité -- 2. - C'est-à-dire la loi que chaque conséquent a un antécédent invariable -- 3. La cause d'un phénomène est l'assemblage de ses conditions -- 4. La distinction d'Agent et de Patient est illusoire -- 5. Ce n'est pas l'antécédent invariable qui est la cause, mais l'anté-cédent invariable inconditionnel -- 6. Une cause peut-elle être simultanée avec son effet ? -- 7. Du concept d'une Cause Permanente, d'un agent naturel primitif -- 8. Des uniformités de coexistence entre les effets de différentes causes permanentes ne sont pas des lois -- 9. Examen de la doctrine que la volition est une cause efficiente -- Chapitre VI. De la Composition des Causes. -- 1. Deux modes de l'action combinée des causes, le mécanique et le chimique -- 2. La composition des causes est la règle générale ; l'inverse est l'exception -- 3. Les effets sont-ils proportionnés à leurs causes ? -- Chapitre VII. De l'Observation et de l'Expérimentation. -- 1. Le premier pas dans la recherche inductive est la décomposition mentale des phénomènes complexes en leurs éléments -- 2. Le second est la séparation actuelle de ces éléments -- 3. Avantages de l'expérimentation sur l'observation -- 4. Avantages de l'observation sur l'expérimentation -- Chapitre VIII. Des Quatre Méthodes de Recherche Expérimentale. -- 1 . Méthode de Concordance -- 2. Méthode de Différence -- 3. Relation mutuelle de ces deux méthodes -- 4. Méthode-Unie de Concordance et de Différence -- 5. Méthode des Résidus -- 6. Méthode des Variations Concomitantes -- 7. Limitations de cette dernière méthode -- Chapitre IX. - Exemples divers des Quatre Méthodes. -- 1. Théorie de Liebig sur les poisons métalliques -- 2. Théorie de l'électricité d'induction -- 3. Théorie de la Rosée du docteur Wells -- 4. Théorie de la Rigidité cadavérique par le docteur Brown-Séquard -- 5. Exemples de la Méthode des Résidus -- 6. Objections du docteur Whewell aux quatre méthodes -- Chapitre X. De la Pluralité des Causes, et de l'Entremêlement des Effets. -- 1. Un effet peut avoir plusieurs causes -- 2. - d'où un défaut caractéristique de la Méthode de Concordance -- 3. Comment constater la Pluralité des Causes -- 4. Concours de causes ne produisant pas des effets composés -- 5. Difficultés de la recherche lorsque les effets des causes concou-rantes sont composés -- 6. Trois modes d'investigation des lois des effets complexes -- 7. La méthode d'observation pure inapplicable -- 8. La méthode expérimentale pure inapplicable -- Chapitre XI. De la Méthode Déductive. -- 1. , De l'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Ce que c'est qu'expliquer. Définition -- 2. Premier mode d'explication. Réduire la loi d'un effet complexe aux lois des causes concourantes et au fait de leur coexis-tence -- 3. Deuxième mode. , Trouver un lien intermédiaire dans la succes-sion -- 4. Les lois en lesquelles se résolvent d'autres lois sont toujours plus générales que les lois réduites -- 5. Troisième mode. Subsumer une loi moins générale à une loi plus générale -- 6. A quoi se réduit l'explication d'une loi de la nature -- Chapitre XIII. Exemples divers d'Explication des Lois de la Nature. -- 1. Des théories générales des sciences -- 2. Exemples de théories chimiques -- 3. Exemple emprunté aux recherches du docteur Brown-Séquard sur le système nerveux -- 4. Exemples de la poursuite de l'étude de l'action des lois nouvelle-ment découvertes dans leurs manifestations complexes -- 5. Exemples de généralisations empiriques, confirmées ensuite et expliquées déductivement -- 6. Exemple pris dans la psychologie -- 7. Tendance de toutes les sciences à devenir déductives -- Chapitre XIV. Des limites de l'explication des lois de la Nature, et des hypothèses. -- 1. Toutes les successions dans la nature sont-elles réductibles à une seule loi ? -- 2. Les lois primaires ne peuvent pas être moins nombreuses que les sentiments -- 3. En quel sens les faits primitifs peuvent être expliqués -- 4. De l'usage propre des hypothèses scientifiques -- 5. Leur nécessité -- 6. Des hypothèses légitimes, et comment elles se distinguent des illégitimes -- 7. Certaines recherches en apparence hypothétiques sont en réalité inductives -- Chapitre XV. Des Effets Progressifs, et de l'Action Continue des Causes. -- 1. Comment un effet progressif résulte de la simple continuation de la cause -- 2. - et de la progressivité de la cause -- 3. Lois dérivées découlant d'une seule loi primaire -- Chapitre XVI. Des lois empiriques. -- 1 . Définition de la loi empirique -- 2. Les lois dérivées dépendent communément des Collocations -- 3. Les collocations des causes permanentes ne peuvent pas être ramenées à une loi -- 4. D'où il suit que les lois empiriques ne valent que dans les limites de l'expérience actuelle -- 5. Les généralisations par la Méthode de Concordance seule ne valent que comme lois empiriques -- 6. Signes auxquels une uniformité de succession observée peut être présumée réductible -- 7. Deux sortes de lois empiriques -- Chapitre XVII. Du Hasard et de son Élimination. -- 1. La preuve des lois empiriques dépend de la théorie du hasard -- 2. Définition et explication du hasard -- 3. Élimination du hasard -- 4. Découverte des phénomènes-Résidus par l'élimination du hasard -- 5. Théorie du hasard -- Chapitre XVIII. Du Calcul du Hasard. -- 1. Fondement de la théorie du hasard des mathématiciens -- 2. Théorie soutenable -- 3. Ses véritables fondements -- 4. Elle dépend en dernière analyse de la Causation -- 5. Théorème de la doctrine du hasard relatif à la recherche de la cause d'un événement donné -- 6. Comment il est applicable à l'élimination du hasard -- Chapitre XIX. De l'Extension des Lois Dérivées aux cas Adjacents. -- 1. Les lois dérivées, lorsqu'elles ne sont pas fortuites, sont presque toujours des contingences dépendant des collocations -- 2- Sur quels fondements elles peuvent être étendues à des cas hors des limites de l'expérience actuelle -- 3. Ces cas doivent être des cas adjacents -- Chapitre XX. De l'Analogie. -- 1. Sens divers du mot Analogie -- 2. Nature de la preuve par analogie -- 3. Circonstances dont dépend sa valeur -- Chapitre XXI. De la Preuve de la Loi de Causalité Universelle. -- 1. La loi de causalité n'est pas fondée sur un instinct -- 2. Mais sur une induction par simple énumération -- 3. Dans quels cas cette induction est valable -- 4. Prévalence universelle de la loi de causalité. - Par quelles raisons elle est admissible -- Chapitre XXII. Des Uniformités de Coexistence non dépendantes de la Causation. -- 1. Uniformités de coexistences qui résultent des lois de succession -- 2. Les propriétés primitives ou Génériques des choses sont des uniformités de coexistences -- 3. Quelques-unes sont dérivées, d'autres primitives -- 4. Il n'y a pas d'axiome universel de coexistence -- 5. De la preuve des uniformités de coexistence. - Sa mesure -- 6. La preuve des uniformités dérivées est celle des lois empiriques -- 7. Celle des primitives également -- 8. La preuve est d'autant plus forte que la loi est plus générale -- 9. Chaque Genre distinct doit être examiné -- Chapitre XXIII. Des Généralisations Approximatives, et de la Preuve Probable. -- 1. Les inférences dites probables reposent sur des généralisations approximatives -- 2. Les généralisations approximatives moins utiles dans la science que dans la vie -- 3. Dans quels cas on peut y recourir -- 4. Comment elles se prouvent -- 5. Précautions requises pour leur emploi -- 6. Les deux modes de combinaison des probabilités -- 7. Comment les généralisations approximatives peuvent être converties en des généralisations exactes équivalentes -- Chapitre XXIV. Des Autres Lois de la Nature. -- 1. Propositions énonçant la simple existence -- 2. La Ressemblance, considérée comme objet de science -- 3. Les axiomes et les théorèmes des mathématiques comprennent les principales lois de Ressemblance -- 4. - ainsi que les lois de l'ordre dans le lieu, et reposent sur l'induction par simple énumération -- 5. Les propositions de l'arithmétique énoncent les modes de formation d'un nombre donné -- 6. Les propositions de l'algèbre énoncent l'équivalent de différents modes de formation des nombres en général -- 7. Les propositions de la géométrie sont des lois du monde extérieur -- 8. Pourquoi la géométrie est presque entièrement déductive -- 9. Fonction des vérités mathématiques dans les autres sciences, et limites de cette fonction -- Chapitre XXV. Des Raisons de Non-Croyance. -- 1. Improbabilité et impossibilité -- 2. Examen de la doctrine de Hume sur les miracles -- 3. Le degré d'improbabilité, correspond à des différences dans la nature de la généralisation avec laquelle une assertion se trouve en désaccord -- 4. De ce que les chances étaient contre un fait, il n'est pas pour cela incroyable -- 5. Les coïncidences sont-elles moins croyables que d'autres faits ? -- 6. Examen d'une opinion de Laplace -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- Chapitre I. De l'Observation et de la Description. -- 1. De l'observation. - Jusqu'à quel point elle est du ressort de la logique -- 2. Ce qui semble simple Observation est en grande partie Inférence -- 3. La relation d'une observation affirme plus de choses que n'en con-tient l'observation -- 4. - à savoir, un accord entre les phénomènes ; et la comparaison des phénomènes pour constater ces concordances est un préli-minaire de l'induction -- Chapitre II. De l'Abstraction et de la formation des Concepts. -- 1. La comparaison préliminaire à l'induction implique des conceptions générales -- 2. - mais il n'est pas besoin que ces conceptions préexistent -- 3. Un concept général, formé primitivement par la comparaison, devient lui-même le type de comparaison -- 4. Ce qu'il faut entendre par une Conception Appropriée -- 5. et par une Conception Claire -- 6. Autres éclaircissements sur ce sujet -- Chapitre III. De l'imposition des Noms comme auxiliaire de l'Induction. -- 1. Propriété fondamentale des noms comme instruments de la pensée -- 2. Les noms ne sont pas indispensables à l'induction -- 3. En quoi et comment ils servent à l'induction -- 4. Les noms généraux ne sont pas un simple artifice pour économiser les mots -- Chapitre IV. Conditions d'un langage Philosophique et Principes de la Définition. -- 1. La première condition d'un langage philosophique est une signifIcation déterminée et invariable de chaque nom général -- 2. Les noms d'un usage commun ont souvent une connotation vague -- 3. - que le logicien doit chercher à fixer avec la moins possible d'altération -- 4. Pourquoi la déf , De l'Histoire naturelle des Variations dans le Sens des Mots. -- 1. Comment des circonstances primitivement accidentelles finissent par s'incorporer dans la signification des mots -- 2. - et quelquefois en constituent toute la signification -- 3. , Tendance des mots à se généraliser -- 4. - et à se spécialiser -- Chapitre VI. Suite des considérations sur les conditions d'un Langage Philosophique. -- 1. Seconde condition d'un langage philosophique. - Un nom pour chaque signification importante -- 2. - c'est-à-dire premièrement une exacte Terminologie descriptive -- 3. Secondement, un nom pour chacun des résultats les plus impor-tants de l'abstraction scientifique -- 4. - Troisièmement, une Nomenclature ou système de noms de Genres -- 5. Nature particulière de la connotation des noms appartenant à une nomenclature -- 6. Dans quels cas le langage peut, ou ne peut pas, être employé mécaniquement -- Chapitre VII. De la Classification, comme auxiliaire de l'Induction -- 1. En quoi la classification dont il est ici traité diffère de la classification impliquée dans l'imposition des noms -- 2. Théorie des groupes naturels -- 3. Les groupes naturels sont-ils donnés par un type ou par définition ? -- 4. Les Genres sont des groupes naturels -- 5. Comment doivent être formés les hotus de Genres -- Chapitre VIII. De la Classification par Séries. -- 1 . Les groupes naturels pourraient être rangés en une série naturelle -- 2. - dans l'ordre des degrés du phénomène, principal -- 3. - ce qui implique l'admission d'une Espèce-Type -- 4. Comment seraient déterminées les divisions de la série -- 5. La zoologie offre le modèle le plus complet de la classification scientifique -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- Chapitre I. Des Sophismes en général. -- 1. La théorie des sophismes est une partie nécessaire de la logique -- 2. Des erreurs accidentelles ne sont pas des sophismes -- 3. Sources morales des erreurs. - Leur relation avec les sources intellectuelles -- Chapitre II. Classification des Sophismes. -- 1. Sur quels critères doit être fondée une classification des Sophismes -- 2. Cinq classes de sophismes -- 3. Le classement d'un sophisme dans une de ces divisions ou dans une autre est quelquefois arbitraire -- Chapitre III. Sophismes de simple Inspection ou Sophismes A priori -- 1. Caractère de cette classe de sophismes -- 2. Préjugé naturel qui fait prendre pour objectives des lois subjectives. - Exemples dans les Superstitions populaires -- 3. Préjugé naturel, que les choses pensées ensemble doivent exister ensemble et que ce qui est inconcevable doit être faux -- 4. Préjugé naturel d'attribuer une existence objective à des abstractions -- 5. Sophisme de la Raison Suffisante -- 6. Préjugé naturel qu'aux, distinctions exprimées par le correspondent des différences dans les choses -- 7. Préjugé, qu'un phénomène ne peut avoir qu'une seule cause -- 8. Préjugé, que les conditions d'un phénomène doivent ressembler au phénomène -- Chapitre IV. Sophismes d'Observation. -- 1. Non-observation et Mal-observation -- 2. Non-observation des cas, et non-observation des circonstances -- 3. Exemples de la première -- 4. - et de la seconde -- 5. Caractérisation de la mal-observation, et exemples -- Chapitre V. Sophismes de Généralisation. -- 1. Caractère de cette classe -- 2. Certaines généralisations sont toujours nécessairement défectueuses -- 3. Tentative de résoudre en un seul et même phénomène des phénomènes -- 4. - radicalement différents -- 5. Post hoc, ergo propter hoc; et le sophisme déductif correspondant -- 6. Sophisme par Fausses Analogies -- 7. Office des métaphores dans le raisonnement -- 8. Comment les sophismes de généralisation naissent d'une mauvaise classification -- Chapitre VI. Sophismes de Raisonnement. -- 1. Remarques préliminaires -- 2. Sophisme dans la conversion et l'équipollence des propositions -- 3. Sophisme dans l'opération syllogistique -- 4. Sophisme par le changement dés prémisse -- Chapitre VII. Sophismes par confusion. -- 1. Sophisme des Termes Ambigus -- 2. Sophisme de la Petitio principii -- 3. Sophisme de l'ignoratio elenchi -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- Chapitre I. Remarques préliminaires. -- 1. L'état arriéré des Sciences morales ne peut être amélioré que par l'application à ces sciences des méthodes des sciences physiques dûment étendues et généralisées -- 2. Jusqu'à quel point on peut l'entreprendre dans le présent ouvrage -- Chapitre II. De la Liberté et de la Nécessité. -- 1. Les actions humaines sont-elles soumises à la loi de causalité ? -- 2. Doctrine de la Nécessité Philosophique. - En quel sens elle est vraie -- 3. Impropriété et pernicieuse conséquence du mot Nécessité -- 4. Un motif n'est pas toujours l'attente ou la crainte d'un plaisir ou d'une peine -- Chapitre III. Qu'il y a, ou peut y avoir, une Science de la Nature Humaine. -- 1. Il peut y avoir des sciences qui ne sont pas des sciences exactes -- 2. A quel type scientifique se rapporte la science de la Nature Humaine ? -- Chapitre IV. Des Lois de l'Esprit, -- 1. Ce qu'il faut entendre par Lois de l'Esprit -- 2. Existe-t-il une science psychologique ? -- 3. Caractérisation des principales recherches de psychologie -- 4. Rapports des phénomènes mentaux et des conditions physiques -- Chapitre V. De l'Éthologie, ou Science de la Formation du Caractère. -- 1. Les lois empiriques de la Nature humaine -- 2. - Sont des généralisations purement approximatives. - Les lois de la formation du caractère sont universelles -- 3. Les lois de la formation du caractère ne peuvent pas être constatées par l'observation et par l'expérimentation -- 4. - Elles doivent être étudiées déductivement -- 5. Les principes de l'Éthologie sont les axiomata media de la science mentale -- 6. Caractérisation de l'Éthologie -- Chapitre VI. Considérations générales sur la Science Sociale. -- 1. Les phénomènes sociaux sont-ils un sujet de science ? -- 2. Ce que peut être la Science Sociale -- Chapitre VII. De la Méthode chimique ou Expérimentale dans la Science Sociale. -- 1. - Du point de vue des penseurs qui déduisent les théories politiques de l'expérience spécifique -- 2. - Dans la science sociale l'expérimentation est impossible -- 3. - la Méthode de Différence inapplicable -- 4. - et les Méthodes de Concordance et des Variations Concomitantes insuffisantes -- 5. La Méthode des Résidus insuffisante aussi, et présuppose la Déduction -- Chapitre VIII. De la Méthode Géométrique ou Abstraite. -- 1. Exposition de ce point de vue -- 2. Exemples de la Méthode Géométrique -- 3. Doctrine de l'Intérêt, de l'école de Bentham -- Chapitre IX. De la Méthode Physique, ou Déductive Concrète. -- 1. Des Méthodes Déductives, Directe et Inverse -- 2. Difficultés de la Méthode déductive directe dans la science sociale -- 3. Jusqu'à quel point les différentes branches de la science sociale peuvent être étudiées à part. - Caractérisation de l'économie politique -- 4. Éthologie Politique, ou science du caractère national -- 5. Les lois empiriques de la science sociale -- 6. De la Vérification dans la science -- Chapitre X. De la Méthode Déductive Inverse ou Historique. -- 1. Distinction de la science générale de la société et de la recherche sociologique spéciale -- 2. Ce qu'il faut entendre par un État de Société ? -- 3. La progressivité de l'Homme et de la Société -- 4. Les lois de succession des états sociaux ne peuvent être déterminées que par la Méthode Déductive Inverse -- 5. La statique Sociale, ou science des coexistences de phénomènes sociaux -- 6. La Dynamique sociale, ou science des successions de phénomènes sociaux -- 7. Avenir de la science sociologique -- Chapitre XI. Autres Éclaircissements sur la Science de l'Histoire. -- 1. La statique vérifie que les faits historiques sont régis par des uniformes -- 2. - ce qui n'implique point la non-intervention des causes Mo-rales -- 3. - ni l'inefficacité des caractères des individus et des actes des gouvernements -- 4. Exemples de l'importance historique des grands hommes et de l'action polit , Quel est l'office propre de règles d'Art ? -- 4. L'Art ne peut pas être Déductif -- 5. Tout Art consiste en des vérités de Science, disposées dans un ordre approprié à un usage pratique -- 6. , Téléologie, ou doctrine des Fins -- 7. Nécessité d'un type supérieur, ou premier principe -- 8. Conclusion.
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    edoccha_9958095403202883
    Format: 1 online resource (52 pages).
    ISBN: 1-55441-363-X
    Series Statement: classiques des sciences sociales
    Note: Introduction -- Première partie : Les premiers stades psychologiques -- Chapitre I Le problème de l'intelligence élémentaire -- 1. L'intelligence en général -- 2. La place de l'intelligence élémentaire parmi les tendances -- 3. Les moyens d'étude -- Chapitre II Les actes réflexes et les actes perceptifs -- 1. La hiérarchie psychologique -- 2. Les actes réflexes -- 3. Les actes perceptifs -- 4. Les caractères des actes suspensifs -- Chapitre III Les conduites sociales -- 1. Les caractères des actes sociaux -- 2. Les deux éléments d'un acte social -- 3. Les cérémonies -- Chapitre IV Les sentiments et le jeu -- 1. Les sentiments, régulations de l'action -- 2. Le jeu -- 3. L'exploitation du jeu -- Deuxième partie : Les premiers objets intellectuels -- Chapitre I La direction du mouvement et la route -- 1. Les premières organisations du mouvement -- 2. La direction en avant -- 3. Le détour -- 4. Le renversement de la direction -- 5. La droite et la gauche -- 6. La route -- Chapitre II La position, la grande place du village -- 1. La notion de position -- 2. Les divers points de l'espace -- 3. Le point de vue -- Chapitre III La production, l'outil -- 1. Les caractères de l'outil -- 2. L'acte de la production -- 3. Le mécanisme psychologique de l'outil -- Chapitre IV La ressemblance, le portrait -- 1. Le problème de la ressemblance -- 2. Le rôle du portrait dans la ressemblance -- 3. La construction du portrait -- Chapitre V La psychologie de la forme -- 1. La théorie philosophique de la forme -- 2. La forme et la matière -- 3. La conduite de la forme.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    Format: 1 online resource (52 pages).
    ISBN: 1-55441-363-X
    Series Statement: classiques des sciences sociales
    Note: Introduction -- Première partie : Les premiers stades psychologiques -- Chapitre I Le problème de l'intelligence élémentaire -- 1. L'intelligence en général -- 2. La place de l'intelligence élémentaire parmi les tendances -- 3. Les moyens d'étude -- Chapitre II Les actes réflexes et les actes perceptifs -- 1. La hiérarchie psychologique -- 2. Les actes réflexes -- 3. Les actes perceptifs -- 4. Les caractères des actes suspensifs -- Chapitre III Les conduites sociales -- 1. Les caractères des actes sociaux -- 2. Les deux éléments d'un acte social -- 3. Les cérémonies -- Chapitre IV Les sentiments et le jeu -- 1. Les sentiments, régulations de l'action -- 2. Le jeu -- 3. L'exploitation du jeu -- Deuxième partie : Les premiers objets intellectuels -- Chapitre I La direction du mouvement et la route -- 1. Les premières organisations du mouvement -- 2. La direction en avant -- 3. Le détour -- 4. Le renversement de la direction -- 5. La droite et la gauche -- 6. La route -- Chapitre II La position, la grande place du village -- 1. La notion de position -- 2. Les divers points de l'espace -- 3. Le point de vue -- Chapitre III La production, l'outil -- 1. Les caractères de l'outil -- 2. L'acte de la production -- 3. Le mécanisme psychologique de l'outil -- Chapitre IV La ressemblance, le portrait -- 1. Le problème de la ressemblance -- 2. Le rôle du portrait dans la ressemblance -- 3. La construction du portrait -- Chapitre V La psychologie de la forme -- 1. La théorie philosophique de la forme -- 2. La forme et la matière -- 3. La conduite de la forme.
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-214-0
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: LIVRE I: Des noms et des propositions -- AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR, par Louis Peisse, 1865 -- PRÉFACES de John Stuart Mill -- de la première édition, 1843 -- de la troisième édition -- de la sixième édition, 1865 -- INTRODUCTION, par John Stuart Mill -- 1. Une définition ne peut être que provisoire au début d'une recherche -- 2. La logique est-elle l'art et la science du Raisonnement? -- 3. Ou bien la science et l'art de la recherche de la vérité ? -- 4. La logique se rapporte aux inférences, et non aux vérités intuitives. -- 5. Rapports de la logique avec les autres sciences -- 6. Son utilité -- 7. Définition de la logique -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- LIVRE III: DE L'INDUCTION. -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- Chapitre I. De la nécessité de commencer par une Analyse du Langage. -- 1. Théorie des noms. Elle est une partie nécessaire de la logique. Pourquoi ? -- 2. Premier degré de l'analyse des Propositions. -- 3. Les Noms doivent être étudiés avant les Choses -- Chapitre II. Des Noms. -- 1. Les Noms sont les noms des choses, et non des idées. -- 2. Mots qui ne sont pas des noms, mais des parties de noms. -- 3. Noms Généraux et Singuliers. -- 4. Noms Concrets et Abstraits. -- 5. Noms Connotatifs et Non-connotatif ; -- 6. Noms Positifs et Négatifs -- 7. Noms Relatifs et Absolus -- 8. Noms Univoques et Équivoques. -- Chapitre III. Des choses désignées par les noms, -- 1. Nécessité d'une énumération des Choses Nommables. Les Catégories d'Aristote -- 2. Ambiguïté de la plupart des noms généraux -- 3. Sentiments ou états de conscience -- 4. Les sentiments doivent être distingués de leurs antécédents phy-siques. - Des perceptions -- 5. Volitions et actions -- 6. Substance et attribut -- 7. Le corps -- 8. L'esprit -- 9. Qualités -- 10. Relations -- 11. Ressemblance -- 12. Quantité -- 13. Tous les attributs des corps sont fondés sur des états de conscience. -- 14. Et de môme tous les attributs de l'esprit -- 15. Récapitulation -- Chapitre IV. Des propositions. -- 1. Nature et office de la Copule -- 2. Propositions Affirmatives et Négatives -- 3. Propositions Simples et Complexes -- 4. Propositions Universelles, Particulières et Singulières -- Chapitre V. De la signification des Propositions. -- 1. De la doctrine qu'une proposition est l'expression d'un rapport entre deux idées -- 2. Doctrine qu'elle est l'expression d'un rapport entre les significations de deux noms -- 3. Doctrine qu'elle consiste à rapporter une chose à une classe ou à l'en exclure -- 4. Ce qu'est réellement la proposition -- 5. Elle affirme (ou nie) une succession, une coexistence, une simple existence, une causation -- 6. Ou une ressemblance -- 7. Propositions à termes abstraits -- Chapitre VI. Des Propositions purement verbales. -- 1. Propositions Essentielles et Accidentelles -- 2. Les propositions Essentielles sont des propositions identiques -- 3. Les individus n'ont pas d'essence -- 4. Des propositions Réelles. Distinction d'avec les Verbales -- 5. Deux modes de représenter la signification de la proposition Réelle -- Chapitre VII. De la nature de la classification et les Cinq Prédicables. -- 1 . La classification. Sa connexion avec la Nomenclature -- 2. Les prédicables -- 3. Genre et Espèce -- 4. Les espèces ont une existence réelle dans la nature -- 5. Differentia -- 6. Des differentiae en vue des résultats généraux et en vue de résultats spéciaux et techniques -- 7. Proprium -- 8. Accidens -- Chapitre VIII. De la définition. -- 1. La définition. Ce que c'est -- 2. Peuvent être définis tous les noms dont la signification est susceptible d'analyse -- 3. La définition complète. Ce qui la distingue de la définition incomplète -- 4. - et de la Description -- 5. Ce qu'on appelle les Définitions de Choses sont des définitions de Noms impliquant la supposition de l'existence de Choses qui leur correspondent -- 6. Même alors que ces choses n'existent pas -- 7. Les définitions, bien que toujours nominales, sont fondées sur la connaissance de Choses correspondantes.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-214-0
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: LIVRE I: Des noms et des propositions -- AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR, par Louis Peisse, 1865 -- PRÉFACES de John Stuart Mill -- de la première édition, 1843 -- de la troisième édition -- de la sixième édition, 1865 -- INTRODUCTION, par John Stuart Mill -- 1. Une définition ne peut être que provisoire au début d'une recherche -- 2. La logique est-elle l'art et la science du Raisonnement? -- 3. Ou bien la science et l'art de la recherche de la vérité ? -- 4. La logique se rapporte aux inférences, et non aux vérités intuitives. -- 5. Rapports de la logique avec les autres sciences -- 6. Son utilité -- 7. Définition de la logique -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- LIVRE II : DU RAISONNEMENT. -- LIVRE III: DE L'INDUCTION. -- LIVRE IV: DES OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE L'INDUCTION. -- LIVRE V: DES SOPHISMES. -- LIVRE VI : DE LA LOGIQUE DES SCIENCES MORALES. -- LIVRE I : DES NOMS ET DES PROPOSITIONS. -- Chapitre I. De la nécessité de commencer par une Analyse du Langage. -- 1. Théorie des noms. Elle est une partie nécessaire de la logique. Pourquoi ? -- 2. Premier degré de l'analyse des Propositions. -- 3. Les Noms doivent être étudiés avant les Choses -- Chapitre II. Des Noms. -- 1. Les Noms sont les noms des choses, et non des idées. -- 2. Mots qui ne sont pas des noms, mais des parties de noms. -- 3. Noms Généraux et Singuliers. -- 4. Noms Concrets et Abstraits. -- 5. Noms Connotatifs et Non-connotatif ; -- 6. Noms Positifs et Négatifs -- 7. Noms Relatifs et Absolus -- 8. Noms Univoques et Équivoques. -- Chapitre III. Des choses désignées par les noms, -- 1. Nécessité d'une énumération des Choses Nommables. Les Catégories d'Aristote -- 2. Ambiguïté de la plupart des noms généraux -- 3. Sentiments ou états de conscience -- 4. Les sentiments doivent être distingués de leurs antécédents phy-siques. - Des perceptions -- 5. Volitions et actions -- 6. Substance et attribut -- 7. Le corps -- 8. L'esprit -- 9. Qualités -- 10. Relations -- 11. Ressemblance -- 12. Quantité -- 13. Tous les attributs des corps sont fondés sur des états de conscience. -- 14. Et de môme tous les attributs de l'esprit -- 15. Récapitulation -- Chapitre IV. Des propositions. -- 1. Nature et office de la Copule -- 2. Propositions Affirmatives et Négatives -- 3. Propositions Simples et Complexes -- 4. Propositions Universelles, Particulières et Singulières -- Chapitre V. De la signification des Propositions. -- 1. De la doctrine qu'une proposition est l'expression d'un rapport entre deux idées -- 2. Doctrine qu'elle est l'expression d'un rapport entre les significations de deux noms -- 3. Doctrine qu'elle consiste à rapporter une chose à une classe ou à l'en exclure -- 4. Ce qu'est réellement la proposition -- 5. Elle affirme (ou nie) une succession, une coexistence, une simple existence, une causation -- 6. Ou une ressemblance -- 7. Propositions à termes abstraits -- Chapitre VI. Des Propositions purement verbales. -- 1. Propositions Essentielles et Accidentelles -- 2. Les propositions Essentielles sont des propositions identiques -- 3. Les individus n'ont pas d'essence -- 4. Des propositions Réelles. Distinction d'avec les Verbales -- 5. Deux modes de représenter la signification de la proposition Réelle -- Chapitre VII. De la nature de la classification et les Cinq Prédicables. -- 1 . La classification. Sa connexion avec la Nomenclature -- 2. Les prédicables -- 3. Genre et Espèce -- 4. Les espèces ont une existence réelle dans la nature -- 5. Differentia -- 6. Des differentiae en vue des résultats généraux et en vue de résultats spéciaux et techniques -- 7. Proprium -- 8. Accidens -- Chapitre VIII. De la définition. -- 1. La définition. Ce que c'est -- 2. Peuvent être définis tous les noms dont la signification est susceptible d'analyse -- 3. La définition complète. Ce qui la distingue de la définition incomplète -- 4. - et de la Description -- 5. Ce qu'on appelle les Définitions de Choses sont des définitions de Noms impliquant la supposition de l'existence de Choses qui leur correspondent -- 6. Même alors que ces choses n'existent pas -- 7. Les définitions, bien que toujours nominales, sont fondées sur la connaissance de Choses correspondantes.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55441-451-2
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: Livre I: Aperçu préliminaire. -- Chapitre I : Introduction -- 1. L'économique est à la fois une étude de la richesse et une branche de l'étude de l'homme. L'histoire du monde a été dirigée par les forces religieuses et les forces économiques. - § 2. La question de savoir si la pauvreté est une chose nécessaire donne à l'économique un très haut intérêt. - § 3. La science, pour la plus grande part, est née depuis peu. - § 4. La caractéristique fondamentale de la vie moderne n'est pas la compétition, mais la liberté de l'industrie et du travail. - § 5. Étude préliminaire de la valeur. Conseils sur l'ordre à suivre pour la lecture de l'ouvrage -- Chapitre II : Les progrès de la liberté de l'industrie et du travail -- § 1. L'action des causes physiques est prédominante dans les civilisations primitives, et celles-ci ont nécessairement eu leur siège dans les climats chauds. Dans une civilisation primitive le progrès est lent; mais il y a progrès. - § 2. La propriété collective augmente la force de la coutume et fait obstacle aux changements. ,- § 3. Les Grecs mirent l'énergie septentrionale en contact avec la civilisation orientale. Modernes à bien des points de vue, ils regardaient l'industrie comme devant être laissée aux esclaves; leur éloignement pour tout travail continu fut une des principales causes de leur décadence. - § 4. La ressemblance apparente qui existe entre les conditions économiques du monde romain et du monde moderne est purement superficielle : on ne trouve pas dans le monde romain les problèmes sociaux-économiques modernes ; mais la philosophie stoïcienne et le cosmopolitisme des juristes romains postérieurs exerça une influence indirecte considérable sur la pensée et sur l'action économiques. - § 5. Les Germains furent lents à s'instruire au contact de ceux dont ils firent la conquête. Le savoir trouva asile chez les Arabes. - §§ 6. 7. Le self-government par le peuple ne pouvait exister que dans les villes libres; elles furent les précurseurs de la civilisation moderne au point de vue industriel. - § 8. Influence de la chevalerie et de l'Église. Formation de grandes armées servant à ruiner les villes libres. Mais les espérances de progrès ressuscitent grâce à l'invention de l'imprimerie, à la Réforme et à la découverte du Nouveau Monde. - § 9. Le bénéfice des découvertes maritimes appartient en premier lieu à la péninsule hispanique, Mais bientôt il passa à la Hollande, à la France, et à l'Angleterre -- Chapitre III : Les progrès de la liberté de l'industrie et du travail (suite) -- § 1. Les Anglais montrèrent de bonne heure des signes de l'aptitude qu'ils possèdent pour l'action organisée. Le commerce a été chez eux la conséquence de leur activité dans la production et dans la navigation. L'organisation capitaliste de l'agriculture ouvrit la voie à celle de l'industrie. - §§ 2, 3. Influence de la Réforme. - § 4. Origine de la grande entreprise. Chez les Anglais la libre initiative avait une tendance naturelle vers la division du travail, qui se trouva favorisée par l'apparition au delà des mers de consommateurs ayant besoin, par grandes quantités, de marchandises simples. Tout d'abord les entrepreneurs se contentèrent d'organiser l'offre sans diriger le travail industriel : mais ensuite ils groupèrent dans des usines leur appartenant de grandes masses de travailleurs. - § 5. Depuis lors, le travail des ouvriers des manufactures se trouva loué en gros. La nouvelle organisation augmenta la production, mais elle fut accompagnée de grands maux, dont plusieurs cependant étaient dus à d'autres causes. - § 6. La guerre, les impôts, et la disette, abaissèrent les salaires réels. Mais le nouveau système a permis à l'Angleterre de triompher des armées françaises. - § 7. Progrès, durant le XIXe siècle. Le télégraphe et la presse permettent maintenant aux peuples de décider eux-mêmes des remèdes qui conviennent à leurs maux; et nous allons peu à peu vers des formes de collectivisme, qui seront supérieures aux formes anciennes parce qu'elles reposent sur le renforcement de l'individualité se soumettant à une discipline volontaire. - § 8. Influence des Américains, des Australiens, des Allemands, sur les Anglais. -- Chapitre IV : Le développement de la science économique -- § 1. La science économique moderne doit indirectement beaucoup à la pensée ancienne, mais directement fort peu. L'étude de l'économique fut stimulée par la découverte des mines et des routes commerciales du Nouveau Monde. Les entraves anciennes qui enserraient le commerce furent quelque peu relâchées par les Mercantilistes. - § 2. Les Physiocrates insistèrent sur cette idée que la politique restrictive est un régime artificiel et que la liberté est le régime naturel, ainsi que sur cette autre idée que le bien-être de la masse du peuple doit être le principal but de l'homme d'état. - § 3. Adam Smith développa la doctrine du libre échange, et trouva dans la théorie de la valeur un centre commun qui donne de l'unité à la science économique. - § 4. L'étude des faits fut entreprise par Young, Eden, Malthus, Tooke et d'autres. - § 5. Plusieurs des économistes anglais du début du siècle étaient portés vers les généralisations rapides et les raisonnements déductifs, mais il étaient très au courant de la vie des affaires et n'oublièrent pas d'étudier la condition des classes ouvrières. - §§ 6, 7. Ils ne tinrent pourtant pas assez compte de ce fait que le caractère de l'homme dépend des circonstances. Influence des aspirations socialistes et des études biologiques à ce point de vue. John Stuart Mill. Caractéristiques des travaux modernes. - § 8. Économistes des autres pays. -- Chapitre V : L'objet de l'économie politique -- §§ 1. 2. Une science sociale unifiée est désirable, mais irréalisable. Valeur des idées de Comte, faiblesse de ses négations. - §§ 3, 4. L'économie politique s'occupe principalement, mais non exclusivement, des mobiles susceptibles d'être mesurés en monnaie, et elle cherche généralement à dégager de larges résultats qui ne soient que peu affectés par les particularités individuelles. - § 5. L'habitude elle-même repose en grande partie sur un choix réfléchi. - §§ 6, 7. Les mobiles économiques ne sont pas exclusivement égoïstes. Le désir de gagner de l'argent n'exclut pas d'autres influences ; il peut lui-même être inspiré par des mobiles nobles. Les procédés économiques de mesure des actions pourront peu à peu s'appliquer à beaucoup d'actes de pure philanthropie. - § S. Les mobiles de l'action collective ont pour l'économiste une importance déjà grande et sans cesse croissante. - § 9. Les économistes envisagent la vie humaine surtout à un certain point de vue, mais c'est la vie d'un homme réel, et non celle d'un être imaginaire -- Chapitre VI : Méthodes d'étude. Nature de la loi économique -- § 1. En économie politique, presque à chaque pas, on a besoin à la fois de l'induction et de la déduction; l'école historique et l'école analytique se servent toutes deux de ces deux méthodes, mais à des degrés divers : aucune ne peut se passer de l'aide de l'autre. - §§ 2, 3, 4. La tâche de l'analyse et de la déduction en économie politique est souvent mal comprise ; elle ne consiste pas à forger de longes chaînes de raisonnement déductif. L'interprétation des faits du temps passé ou du temps présent exige souvent de subtiles analyses; et il en est toujours ainsi lorsqu'on recourt à elle pour se guider dans la vie pratique. Stratégie et tactique. - § 5. Le simple bon sens, avec ses seules ressources, peut souvent pousser l'analyse assez loin : mais il lui est rarement possible de découvrir les causes profondes, et notamment les causes des causes. Rôle du mécanisme scientifique. - 6. Les lois sociales n'énoncent que des tendances. Lois économiques. Le mot « norm , Toutes les théories scientifiques, et par conséquent les théories économiques elles aussi, supposent certaines conditions, et sont dans ce sens hypothétiques. - § 7. Science pure et science appliquée. , L'économie politique est une science plutôt qu'un art -- Chapitre VII : Résumé et conclusion -- § 1. Résumé. - § 2. Les études scientifiques ne doivent pas être dirigées en s'inspirant des buts pratiques auxquels elles concourent, mais de la nature des sujets dont elles traitent. - § 3. Principales circonstances qui stimulent l'intérêt des économistes anglais à notre époque, bien qu'elles ne rentrent pas dans le domaine de leur science. § 4. Principales questions de la science économique.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: Livre I: Aperçu préliminaire. -- Chapitre I : Introduction -- 1. L'économique est à la fois une étude de la richesse et une branche de l'étude de l'homme. L'histoire du monde a été dirigée par les forces religieuses et les forces économiques. - § 2. La question de savoir si la pauvreté est une chose nécessaire donne à l'économique un très haut intérêt. - § 3. La science, pour la plus grande part, est née depuis peu. - § 4. La caractéristique fondamentale de la vie moderne n'est pas la compétition, mais la liberté de l'industrie et du travail. - § 5. Étude préliminaire de la valeur. Conseils sur l'ordre à suivre pour la lecture de l'ouvrage -- Chapitre II : Les progrès de la liberté de l'industrie et du travail -- § 1. L'action des causes physiques est prédominante dans les civilisations primitives, et celles-ci ont nécessairement eu leur siège dans les climats chauds. Dans une civilisation primitive le progrès est lent; mais il y a progrès. - § 2. La propriété collective augmente la force de la coutume et fait obstacle aux changements. ,- § 3. Les Grecs mirent l'énergie septentrionale en contact avec la civilisation orientale. Modernes à bien des points de vue, ils regardaient l'industrie comme devant être laissée aux esclaves; leur éloignement pour tout travail continu fut une des principales causes de leur décadence. - § 4. La ressemblance apparente qui existe entre les conditions économiques du monde romain et du monde moderne est purement superficielle : on ne trouve pas dans le monde romain les problèmes sociaux-économiques modernes ; mais la philosophie stoïcienne et le cosmopolitisme des juristes romains postérieurs exerça une influence indirecte considérable sur la pensée et sur l'action économiques. - § 5. Les Germains furent lents à s'instruire au contact de ceux dont ils firent la conquête. Le savoir trouva asile chez les Arabes. - §§ 6. 7. Le self-government par le peuple ne pouvait exister que dans les villes libres; elles furent les précurseurs de la civilisation moderne au point de vue industriel. - § 8. Influence de la chevalerie et de l'Église. Formation de grandes armées servant à ruiner les villes libres. Mais les espérances de progrès ressuscitent grâce à l'invention de l'imprimerie, à la Réforme et à la découverte du Nouveau Monde. - § 9. Le bénéfice des découvertes maritimes appartient en premier lieu à la péninsule hispanique, Mais bientôt il passa à la Hollande, à la France, et à l'Angleterre -- Chapitre III : Les progrès de la liberté de l'industrie et du travail (suite) -- § 1. Les Anglais montrèrent de bonne heure des signes de l'aptitude qu'ils possèdent pour l'action organisée. Le commerce a été chez eux la conséquence de leur activité dans la production et dans la navigation. L'organisation capitaliste de l'agriculture ouvrit la voie à celle de l'industrie. - §§ 2, 3. Influence de la Réforme. - § 4. Origine de la grande entreprise. Chez les Anglais la libre initiative avait une tendance naturelle vers la division du travail, qui se trouva favorisée par l'apparition au delà des mers de consommateurs ayant besoin, par grandes quantités, de marchandises simples. Tout d'abord les entrepreneurs se contentèrent d'organiser l'offre sans diriger le travail industriel : mais ensuite ils groupèrent dans des usines leur appartenant de grandes masses de travailleurs. - § 5. Depuis lors, le travail des ouvriers des manufactures se trouva loué en gros. La nouvelle organisation augmenta la production, mais elle fut accompagnée de grands maux, dont plusieurs cependant étaient dus à d'autres causes. - § 6. La guerre, les impôts, et la disette, abaissèrent les salaires réels. Mais le nouveau système a permis à l'Angleterre de triompher des armées françaises. - § 7. Progrès, durant le XIXe siècle. Le télégraphe et la presse permettent maintenant aux peuples de décider eux-mêmes des remèdes qui conviennent à leurs maux; et nous allons peu à peu vers des formes de collectivisme, qui seront supérieures aux formes anciennes parce qu'elles reposent sur le renforcement de l'individualité se soumettant à une discipline volontaire. - § 8. Influence des Américains, des Australiens, des Allemands, sur les Anglais. -- Chapitre IV : Le développement de la science économique -- § 1. La science économique moderne doit indirectement beaucoup à la pensée ancienne, mais directement fort peu. L'étude de l'économique fut stimulée par la découverte des mines et des routes commerciales du Nouveau Monde. Les entraves anciennes qui enserraient le commerce furent quelque peu relâchées par les Mercantilistes. - § 2. Les Physiocrates insistèrent sur cette idée que la politique restrictive est un régime artificiel et que la liberté est le régime naturel, ainsi que sur cette autre idée que le bien-être de la masse du peuple doit être le principal but de l'homme d'état. - § 3. Adam Smith développa la doctrine du libre échange, et trouva dans la théorie de la valeur un centre commun qui donne de l'unité à la science économique. - § 4. L'étude des faits fut entreprise par Young, Eden, Malthus, Tooke et d'autres. - § 5. Plusieurs des économistes anglais du début du siècle étaient portés vers les généralisations rapides et les raisonnements déductifs, mais il étaient très au courant de la vie des affaires et n'oublièrent pas d'étudier la condition des classes ouvrières. - §§ 6, 7. Ils ne tinrent pourtant pas assez compte de ce fait que le caractère de l'homme dépend des circonstances. Influence des aspirations socialistes et des études biologiques à ce point de vue. John Stuart Mill. Caractéristiques des travaux modernes. - § 8. Économistes des autres pays. -- Chapitre V : L'objet de l'économie politique -- §§ 1. 2. Une science sociale unifiée est désirable, mais irréalisable. Valeur des idées de Comte, faiblesse de ses négations. - §§ 3, 4. L'économie politique s'occupe principalement, mais non exclusivement, des mobiles susceptibles d'être mesurés en monnaie, et elle cherche généralement à dégager de larges résultats qui ne soient que peu affectés par les particularités individuelles. - § 5. L'habitude elle-même repose en grande partie sur un choix réfléchi. - §§ 6, 7. Les mobiles économiques ne sont pas exclusivement égoïstes. Le désir de gagner de l'argent n'exclut pas d'autres influences ; il peut lui-même être inspiré par des mobiles nobles. Les procédés économiques de mesure des actions pourront peu à peu s'appliquer à beaucoup d'actes de pure philanthropie. - § S. Les mobiles de l'action collective ont pour l'économiste une importance déjà grande et sans cesse croissante. - § 9. Les économistes envisagent la vie humaine surtout à un certain point de vue, mais c'est la vie d'un homme réel, et non celle d'un être imaginaire -- Chapitre VI : Méthodes d'étude. Nature de la loi économique -- § 1. En économie politique, presque à chaque pas, on a besoin à la fois de l'induction et de la déduction; l'école historique et l'école analytique se servent toutes deux de ces deux méthodes, mais à des degrés divers : aucune ne peut se passer de l'aide de l'autre. - §§ 2, 3, 4. La tâche de l'analyse et de la déduction en économie politique est souvent mal comprise ; elle ne consiste pas à forger de longes chaînes de raisonnement déductif. L'interprétation des faits du temps passé ou du temps présent exige souvent de subtiles analyses; et il en est toujours ainsi lorsqu'on recourt à elle pour se guider dans la vie pratique. Stratégie et tactique. - § 5. Le simple bon sens, avec ses seules ressources, peut souvent pousser l'analyse assez loin : mais il lui est rarement possible de découvrir les causes profondes, et notamment les causes des causes. Rôle du mécanisme scientifique. - 6. Les lois sociales n'énoncent que des tendances. Lois économiques. Le mot « norm , Toutes les théories scientifiques, et par conséquent les théories économiques elles aussi, supposent certaines conditions, et sont dans ce sens hypothétiques. - § 7. Science pure et science appliquée. , L'économie politique est une science plutôt qu'un art -- Chapitre VII : Résumé et conclusion -- § 1. Résumé. - § 2. Les études scientifiques ne doivent pas être dirigées en s'inspirant des buts pratiques auxquels elles concourent, mais de la nature des sujets dont elles traitent. - § 3. Principales circonstances qui stimulent l'intérêt des économistes anglais à notre époque, bien qu'elles ne rentrent pas dans le domaine de leur science. § 4. Principales questions de la science économique.
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    [Place of publication not identified] :J.-M. Tremblay,
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    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-4123-7266-6
    Series Statement: Martinique
    Content: Lorsque je débarquai à la Martinique, par un clair matin de Septembre 1927, je n'imaginais certes point qu'elle m'offrirait, vingt ans après, l'occasion d'une double thèse de géographie. Une humeur vagabonde m'avait d'abord conduit en Finlande, à la recherche du culte de l'ours. Je me retrouvais quatre ans plus tard en Syrie avec l'intention avouée d'étudier les origines chrétiennes. Le hasard fit de moi le témoin d'aventures très contemporaines, comme la révolte et l'incendie de Damas en Octobre 1925. Après un an de France je repartais vers les Antilles dont je songeais à étudier l'histoire en même temps que le présent. Je me rendis un compte rapide de l'erreur d'appréciation alors commise. Les archives martiniquaises ont été soumises à tant de mauvais traitements qu'il y a presque lieu de s'étonner qu'elles n'aient pas entièrement disparu. Les documents essentiels sont à Paris. La plupart d'entre eux ont besoin d'être soumis à une critique serrée : la recherche de la vérité pure n'a jamais obsédé beaucoup les Antillais, ni même ceux qui étaient chargés de les administrer. J'en arrivai donc à penser que le mieux était sans doute de regarder le pays et ses habitants. Une éruption de la Montagne Pelée étant survenue, je pus me faire détacher pour six mois à l'Observatoire. Je trouvai également le moyen de me mêler quelque peu à la vie, voire même à la politique locale, ce qui ne plut pas outre mesure au gouverneur d'alors. Je rentrai dont en France à la fin de 1932 avec un volumineux paquet de notes que je réemportai avec moi lorsque je regagnai la colonie en 1937 comme chef du service de l'Instruction Publique. J'utilisai mes nouvelles fonctions, auxquelles vinrent s'ajouter celles de chef du service de l'Information en 1939, comme un moyen supplémentaire de courir le pays. Les Sentiers des hauteurs me conduisirent à des écoles de mornes que personne n'avait inspectées depuis de nombreuses années. J'eus également l'occasion d'exécuter quelques débuts de fouilles précolombiennes pour le compte du Musée de l'Homme en 1939 et 1940. Mais les évènements m'incitèrent alors à demander mon rappel et je quittai l'île en Février 1941. Depuis la Libération une abondante correspondance me tient au courant de ce qui se passe là-bas. C'est le résultat de cette expérience que j'ai essayé de traduire dans le livre que je présente aujourd'hui. Je l'ai conçu tout naturellement sous la forme classique d'une étude régionale : la Martinique est une île de petites dimensions : il est possible de la parcourir en entier, d'en saisir à peu près tous les rouages visibles ou cachés, d'y étudier en un mot cette action réciproque de la nature sur l'homme et de l'homme sur la nature qui est le cœur même de la géographie. Je me suis efforcé en toute sincérité de prendre la vraie mesure du pays sans trop m'inquiéter des barrières que d'aucuns veulent poser entre des disciplines voisines, alors que le réel est continu. Cela m'a conduit par exemple à insister sur les précolombiens ou sur la vie Martiniquaise. Ai-je besoin de dire que je n'en éprouve aucun remords ? J'ai fortement abrégé le manuscrit primitif, sur lequel j'ai soutenu mes thèses. Je me suis efforcé de l'alléger de beaucoup de discussions techniques et de la plupart des « preuves » statistiques qui l'alourdissaient. On pourra souligner au passage l'emploi d'apparence abusif qu'il m'est arrivé de faire de la première personne et des majuscules. J'ai tenu à montrer sur le premier point qu'il s'agissait alors d'enquêtes personnelles, ce qui en marque d'office les limites. Sur le second, j'ai fini, après beaucoup d'hésitations, par céder à la tradition locale qui tend à tout individualiser, personnaliser. Rivière-Pilote, Rivière-Madame, Rivière-Salée, par exemple, sont des expressions indissolubles et toujours employées comme telles. « L'Usine » est une entité mythique. Il en est presque de même pour certains services administratifs, celui des Travaux Publics en particulier. On me pardonnera donc d'avoir à mon tour sacrifié à ce qui n'est peut-être qu'une survivance très lointaine de l'animisme primitif. Il me faudrait un chapitre entier pour nommer et remercier tous mes collaborateurs bénévoles. Un livre comme celui-ci est pour beaucoup le résultat d'un large effort collectif dont l'auteur n'est que le meneur de jeu et le metteur en œuvre. Qu'on me permette de citer d'abord ceux qui ne sont plus, mon cher collègue Boutin, directeur de l'Observatoire, avec lequel j'ai vécu dans une telle communauté de pensées pendant l'éruption de 1929-1932 que je ne sais plus, dans les chapitres consacrés au volcan, ce qui doit lui être attribué et ce qui me revient en propre, M. Legros, qui a guidé mes premiers pas à la Martinique et fait connaître la Savane des Pétrifications en même temps qu'il me fournissait sur l'histoire récente et les quimboiseurs d'inestimables renseignements, Me Magallon-Graineau, conseiller général de Basse-Pointe, longtemps rapporteur du budget, qui fut pour moi, vingt ans durant, le plus fidèle et le plus sûr des amis, le bon chanoine Tostivint enfin qui se plaisait à éclaircir pour l'indigne disciple que j'étais les « Grandes énigmes de l'antique Madinina ». Je dois une particulière reconnaissance à M. Kervégant, chef du Service de l'Agriculture et à son adjoint M. Berté qui m'ont fourni et continuent à me fournir avec un amical dévouement et une compétence qui n'est jamais en défaut tous les renseignements dont je puis avoir besoin. Des chapitres entiers n'auraient pu être écrits sans leur aide constante. J'ai disserté sur le tourisme, et bien d'autres choses encore, avec M.-L. Calvert, l'un des hommes les plus avertis et l'un de mes plus fidèles compagnons de Martinique. Le P. Delawarde a participé a toutes les recherches précolombiennes que j'ai pu faire en même temps qu'il m'apportait le plus précieux concours pour l'étude de cette vie paysanne dont il a projeté dans son livre une image d'une ressemblance si exacte et pourtant idéale. J'ai recueilli du Dr Montestruc, directeur de l'Institut Pasteur, avec qui j'ai tant de fois couru les mornes du Sud, les plus précieuses données sur l'anthropologie et la géographie médicale de l'île. MM. Labat, Lorieau et Midas ont avec moi exploré et observé la montagne. MM. Romer et Frolow m'ont ouvert les archives du nouveau service de Météorologie et de Physique du Globe. Le Dr Rose-Rosette a presque fait de moi un théoricien de l'élevage martiniquais, assaisonnant ses leçons de ces délicieuses histoires créoles que nul ne raconte aussi bien que lui. MM. Saint-Olympe et Tenitri m'ont dévoilé les arcanes des Contributions Indirectes, M. Destrehem celles des Douanes. Puis-je dire aussi combien est grande ma dette vis-à-vis de mes collaborateurs du Service de l'Instruction Publique dont beaucoup étaient déjà mes amis lors de mon premier séjour ? J'ai passé chez M. Saldès à Sainte-Marie ma dernière soirée de Martinique, le 8 février 1941. Grâce à lui, je suis presque citoyen du bourg, comme de la « Rue Mulâtre ». Au Gros-Morne d'abord, puis sous les cocotiers de l'Anse-Mitan quelles longues causeries avec M. Roselly et le cercle d'amis sûrs qu'il se plaît à réunir autour de lui ! M. F. Vildrin, secrétaire de l'I. P., a toujours été pour moi le conseiller le plus écouté et le plus averti. J'ai d'abord connu MM. Réjon et Symphor au syndicat des instituteurs. L'un est aujourd'hui maire de Trinité et l'autre du Robert. Ils siègent tous deux au Conseil Général que le second a présidé [1]. Me sera-t-il permis de dire que malgré la déférence que je dois à leurs hautes fonctions c'est l'amitié qui de beaucoup, chez moi, l'emporte à leur égard et que je me souviens toujours avec émotion de nos mémorables « sorties » au Vert-Pré ou aux îlets du Robert ? J'ai agité avec eux presque toutes les questions intéressant la Martinique et utilisé systématiquement leurs écrits. M. V. Sévère, ancien député maire de Fort-de-France, a toujours suivi mes travaux avec sympathie. M.
    Content: Lagrosillière qui a représenté la Martinique au Parlement de longues, années durant m'a permis de retourner dans son pays en 1937. Il m'a introduit dans les milieux les plus variés et m'a fait largement profiter de son expérience unique des hommes et des choses des Antilles. La bienveillance administrative ne m'a point fait défaut, à mon second séjour tout au moins. MM. les gouverneurs Alberti, Allys, Spitz et Bressolles se sont personnellement intéressés à mes efforts. Les bureaux du gouvernement m'étaient largement ouverts, que ce fût celui des communes, dirigé par M. A. Wiltord, ou celui des finances où je trouvais en M. E. Sylvestre, aujourd'hui député de l'Union Française, un guide aimable autant qu'averti. J'ai entretenu les meilleures relations avec les commandants supérieurs des troupes qui se sont succédé, en particulier avec le colonel Vialle. Ai-je besoin de rappeler la large hospitalité créole dont j'ai usé et abusé ? Les premières fouilles précolombiennes que j'ai tentées l'ont été chez M. Jean de Reynal au Prêcheur qui, en même temps qu'il nous hébergeait, le P. Delawarde, ma femme et moi, se montrait un connaisseur aussi expérimenté que sûr. Nous avons continué au Paquemar, chez M. Guy de Reynal, à Sainte-Marie, chez M. Lafosse, à Vivé, chez M. F. Clerc. Je voudrais dire enfin le dévouement constant de ceux qui m'ont accompagné dans mes courses à travers l'île, même lorsqu'elles présentaient quelques risques : mon vieux complice Popo, qui connaît beaucoup mieux la Pelée et la Savane des Pétrifications que les « guides » plus ou moins officiels recrutés par les touristes et le citoyen Astarté qui fit passer la voiture que j'avais à ma disposition par les plus invraisemblables chemins de la colonie. M. Veille, a pris quelques-unes des plus belles photographies reproduites dans cet ouvrage. Au moment où j'écris ces lignes je n'ai encore été avisé que très officieusement des concours qui me seront accordés pour la publication de mon livre ou des souscriptions qui seront consenties, mais j'ai déjà la certitude que je ne serai point abandonné à mes faibles forces ... Qu'il me soit permis de remercier plus particulièrement M. Ch.-A. Julien, député de l'Union Française, et M. Laborde, attaché au ministère de l'Éducation Nationale, M. Robequain, professeur à la Sorbonne, auquel je suis redevable en outre de tant de judicieux avis, M. A. Charton, directeur de l'Enseignement au ministère de la France d'Outre-Mer, ainsi que la Commission du Centenaire de la Révolution de 1848. Ma reconnaissance n'est pas moins vive envers le Conseil Général et les autorités préfectorales de la Martinique, dont je sais que l'appui, cette fois encore, ne me fera pas défaut [2]. Elle l'est aussi à l'égard des Nouvelles Éditions Latines qui n'ont pas hésité à courir l'aventure que représente, dans les circonstances actuelles, l'impression et la diffusion d'un ouvrage tel que celui-ci. Mais ma dette est surtout grande vis-à-vis de ceux qui ont été mes maîtres et mes guides dans un domaine où il y a vingt ans je n'avançais encore que d'un pas presque de néophyte. L'amitié de M. Barrabé, que j'ai retrouvé en mission dans l'île lors de mon arrivée en 1927, m'a frotté d'un peu de géologie. M. Arsandaux, chef de la mission « péléenne » en 1929, m'a appris à regarder le volcan et ses alentours pendant les quatre mois qu'il est resté dans l'île. Je lui dois le plus bel exemple aussi d'indépendance vis-à-vis des contingences locales, quelles que puissent en être les conséquences. Le Docteur Rivet, de passage à la Martinique m'a décidé à entreprendre des fouilles précolombiennes et fait mettre à ma disposition les crédits nécessaires. Sa haute bienveillance m'a ouvert le Musée de l'Homme où j'ai toujours trouvé guide et appui auprès de MM. Reichlen et Leroi-Gourhan. Je n'aurais jamais pu mettre sur pied le chapitre précolombien sans cette aide constamment renouvelée. Mes recherches sur le peuplement m'ont de même été grandement facilitées par l'accueil que j'ai reçu au ministère de la France d'Outre-Mer de la part des archivistes successifs que j'y ai connus, en particulier MM. P. Roussier et Laroche. Ce travail enfin a été entrepris et commencé d'accord avec M. A. Demangeon dont j'avais été vers 1920 l'élève en Sorbonne. Je ne dirai jamais trop tout ce que j'ai dû à ce maître éminent. Après sa mort j'ai poursuivi et terminé l'ouvrage sous la direction de M. le recteur Allix dont l'appui, les conseils et les encouragements ne m'ont jamais fait défaut depuis sept ans écoulés. Le meilleur de ce livre lui revient. Qu'il veuille bien trouver ici l'hommage de ma profonde et respectueuse gratitude.
    Note: PREMIÈRE PARTIE -- GÉOGRAPHIE PHYSIQUE -- CHAPITRE I. - Généralités -- Situation, superficie, forme et relief. Vue d'ensemble sur le pays martiniquais -- CHAPITRE II. - L'architecture du sol -- Vue d'ensemble. - La zone sédimentaire. - Théories actuelles sur la structure des Petites Antilles. - La zone volcanique. -- CHAPITRE III. - La dernière éruption de la Montagne Pelée (1929-1932) -- Rappel des faits antérieurs. - Les modifications topographiques après l'éruption de 1902. - Résumé de l'éruption de 1929-1932 et de ses diverses phases. - Trognon central ou nouveau dôme. - Les nuées. - Les effets des nuées, érosion et comblement. - Théorie et mécanisme des nuées. - Conséquences pratiques de la théorie des nuées : prévision des éruptions et protection des lieux habités. -- CHAPITRE IV. - Les terrains volcaniques -- Les dépôts de nuées. - Les anciens centres d'éruption. - Les coulées. - Ponces, cendres et lapilli. -- CHAPITRE V. - La destruction du relief -- Les processus de décomposition. - L'érosion. -- CHAPITRE VI. - Morphologie -- Les niveaux d'érosion. - Le compartimentage de l'île et son évolution morphologique. - Les mouvements récents et la plaine du Lamentin. - Les côtes et leur évolution. - La théorie de W.-M. Davis. - Critique de la théorie de W.-M. Davis. - L'évolution contemporaine : subsidence dans le Nord, exondation progressive dans le Sud-Est. -- CHAPITRE VII. - Le Climat -- La température. - Les. - Les pluies. - Les perturbations. - Les saisons à la Martinique. -- CHAPITRE VIII. - Les eaux -- Lacs et marais. - Les sources thermales. - Les sources ordinaires. - Les nappes souterraines. - Les rivières et leurs bassins. - Débits et crues. - L'érosion. -- CHAPITRE IX. - La végétation -- Puissance de la végétation. - Variété des espèces et noms vernaculaires. - Les grandes divisions botaniques. - Zone maritime et littorale. - La végétation du bas pays. - 500 mètres. - La zone des grands bois et la zone des sommets. - Affinités et endémisme de la flore martiniquaise. - L'acclimatation d'espèces nouvelles. - Le rôle de la forêt martiniquaise et la pérennité des sources. - La forêt, les inondations et les glissements de terrain. - La dégradation des sols, le défrichement et le problème du Sud. - Reboisement, exploitation rationnelle et colonisation. -- DEUXIÈME PARTIE -- GÉOGRAPHIE HUMAINE -- CHAPITRE 1. - Le peuplement -- 1. - Les Précolombiens : Les recherches archéologiques effectuées à la Martinique. - Le problème des « cupules ». - Les fouilles du Prêcheur. - Étude sommaire du matériel retrouvé à l'Anse Belleville. - Les fouilles de Sainte-Marie. - La poterie de Sainte-Marie, comparaison avec celle de Sainte-Anne. - La transmission par les femmes d'anciennes traditions Igneri. - État actuel des recherches à la Martinique. - La civilisation précolombienne de la Martinique. -- 2. - Le peuplement depuis 1635. - Les Caraïbes et les premiers colons. - Les « engagés ». - Les femmes. - De l'origine des colons. - Noirs, mulâtres et esclaves. - Le mélange des races. - L'évolution démographique jusqu'en 1848. - La suppression de l'esclavage et l'immigration. - La situation actuelle. - L'onomastique. -- CHAPITRE II. - L'occupation et la possession du sol -- Les premiers colons et le régime des concessions. - Les cinquante pas géométriques. - Les progrès de l'occupation du sol et le « terrier » de 1671. - Petite et grande propriété. Le développement des « habitations » jusqu'en 1848. - Les tendances au morcellement et à la concentration depuis 1848. - La question du cadastre. - La répartition actuelle des biens fonds. - La toponymie. -- CHAPITRE III. - L'habitat -- L'évolution historique. - La limite d'altitude. - Indépendance de l'habitat martiniquais vis-à-vis de nombreux facteurs géographiques : exposition, nature du sol, rivières et nappes d'eau. - Zones de dispersion, « gens casés » et limites de quartiers. - Tendance actuelle à la concentration. - Les agglomérations : villages de pécheurs, centres ruraux et groupements de « type urbain ». - Fort-de-France. -- CHAPITRE IV. - Les maisons -- Cases, maisonnettes et « ajoupas ». - Vieilles demeures, maisons de maître et habitations urbaines. -- CHAPITRE V. - L'agriculture -- 1. - Généralités, Cultures vivrières. - Les sols. - Les cultures et leur répartition. - Les cultures vivrières et leur évolution. Le pays vivrier, son outillage, ses traditions. Manioc, ignames, « choux », patates et autres cultures vivrières. - Les arbres fruitiers. - L'exploitation de la forêt. - L'élevage, ses origines, la répartition actuelle au bétail. - Les problèmes passés et présents. - L'industrie laitière. - Les équidés. - Le petit bétail et les volailles. -- 2. - Les cultures d'exportation. -- A. - Les cultures secondaires. - Leur répartition. - Disparition des cultures anciennement pratiquées. - L'encouragement officiel aux cultures secondaires. - Vanillier et cotonnier. - L'ananas. - Le café. - Le cacao. - Le bananier. - Perspectives et essais. -- B. - La canne à sucre. - Son importance actuelle. - La préparation du sol et la culture. - La récolte. - Les rendements. - La répartition des terres à cannes. - La question du Sud. - Perspectives. -- CHAPITRE VI. - L'industrie -- Les origines de l'industrie du sucre et du rhum. - Les sucreries « père Labat ». Le commerce des sucres sous l'Ancien Régime. - Les revenus d'une habitation sucrière, La fondation et le développement des « Usines Centrales ». - L'outillage. - La fabrication. - La force motrice et le chauffage. - L'organisation de l'usine et le personnel, L'industrie du rhum, les origines. - De 1850 au contingentement. - La fabrication du rhum. - La « bonification » des rhums. - Le « coefficient d'impuretés ». - La production. - Les industries annexes. - Autres industries. - Les facteurs de transformation : électrification et transports. -- CHAPITRE VII. - L'artisanat -- Le bâtiment. - Les principaux corps de métiers. - La poterie. - La vannerie. - La pêche. - Conclusion. -- CHAPITRE VIII. - Le commerce -- Généralités, Les ports. - Le petit cabotage. - Le problème des chemins de fer et les routes. - L'entretien. - La circulation automobile. - Le commerce intérieur, ses éléments. - Hôtels et tourisme. - Vue d'ensemble sur le commerce intérieur. - Le commerce extérieur. - Les principaux produits importés, leur répartition. - Les fournisseurs. - Les exportations, leur nature et leur répartition. - Le volume total des échanges. - L'organisation du commerce d'importation et d'exportation. - Balance commerciale et balance des comptes. - La guerre et ses premières conséquences. -- CHAPITRE IX. - L'économie Martiniquaise -- Rappel de l'évolution historique : système d'économie dirigée. - Les colons et les pouvoirs publics. La structure au budget local. - Le « privilège » martiniquais, les prises sucrières et l'évolution des fortunes. - Le régime du contingentement et ses origines. - Les premières conséquences du contingentement, son extension aux rhums destinés à la consommation locale et aux sucres. - La répartition des contingents accordés à la colonie. - Les conséquences « corporatives » du contingentement. - L'économie de la canne à sucre. - L'actuelle concentration des fortunes. - La prépondérance des blancs créoles. Les leaders de l'économie. - Le système bancaire. - La stratigraphie sociale. - Économie de guerre et perspectives. -- CHAPITRE X. - La démographie -- Les difficultés du problème : insuffisance et erreurs des recensements. - Exposé de la méthode suivie dans ce chapitre. - La population de la Martinique d'après les recensements et l'invraisemblance des chiffres ainsi obtenus. - Évaluation de la population réelle de la Martinique. , Autres méthodes conduisant au même résultat. Taux corrigés de natalité, mortalité et nuptialité. - Classement professionnel de la population. - La répartition territoriale. - La pression démographique. -- CHAPITRE XI. - La vie Martiniquaise -- Justification de ce chapitre. - La permanence de la nature. - L'irrationnel à la Martinique. Les « quimboiseurs » et leur rôle. - La « mentalité prélogique ». - La politique. - La musique et la danse, le Carnaval. - Fêtes et cérémonies publiques et privées, enterrements, mariages, etc. Les duels, la recherche des honneurs. - La vie dans le présent, le sentiment de la mort, les passions. - La question de couleur. - L'unité Martiniquaise. -- CONCLUSION -- ANNEXES -- Tableau des précipitations dans quatorze stations de la Martinique. -- Tableau de la variation mensuelle des précipitations suivant les années choisies. -- Présages des phénomènes météorologiques, d'après Moreau de Jonnès. -- Liste chronologique des cyclones à la Martinique, de 1635 à nos jours. -- Estat du procez verbal des terres de l'Isle de la Martinique (1671), extrait. -- Commerce de la Martinique en 1939. -- Principales denrées alimentaires importées pendant la décade de 1929 à 1938. -- Quantités (en kilos) de sucre brut (98-99°) fabriquées par les usines de la colonie. -- Production du rhum (55°) par les usines anciennes et les distilleries industrielles, de 1930 à1939. -- Variation en prix de la tonne de cannes contingentées pour quelques usines de la Martinique. -- Prix de la tonne de cannes contingentées depuis 1940. -- Tableau de la navigation en 1938 et de 1940 à 1944. -- BIBLIOGRAPHIE DÉTAILLÉE -- NOTE ADDITIONNELLE.
    Language: French
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