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    b3kat_BV039781543
    ISSN: 0040-3075
    In: Les temps modernes, Paris, 61(2006)641, S. 74 - 94, 0040-3075
    Language: French
    Subjects: German Studies
    RVK:
    Keywords: Benjamin, Walter 1892-1940 ; Horkheimer, Max 1895-1973 ; Briefsammlung
    Author information: Benjamin, Walter 1892-1940
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
    UID:
    edoccha_9958067924102883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-4123-6059-5
    Series Statement: Classiques des sciences sociales, ; 2977
    Note: Préface -- Introduction -- § I. Sens et portée de la Renaissance -- Elle est essentiellement créatrice, organisatrice -- § II. L'ère de la Renaissance -- Le Moyen-âge finit plusieurs fois avant de finir -- Il perdit au treizième siècle la faculté d'engendrer -- Le seizième siècle fut très peu et très mal préparé -- § III. L'organisation de l'ordre et l'énervation de l'individu, du douzième au quinzième siècle -- Mysticisme religieux et politique -- M. Guizot et M. Augustin Thierry -- § IV. Nobles origines du Moyen-âge. - Abaissement au treizième siècle -- Au neuvième siècle, les nécessités de la défense favorisèrent la liberté -- La Chanson de Roland -- Chute littéraire du treizième siècle -- § V. Des abdications successives de l'indépendance humaine -- État bâtard et équivoque du serf -- Tristes gaietés du Moyen-âge -- La commune se donne au roi -- Les gens du roi, la bourgeoisie -- Ni Marcel ni Louis XI ne trouvèrent d'hommes pour les soutenir -- § VI. De la création du peuple des sots -- Le sot est une création moderne, née surtout de la suffisance scolastique et du culte des mots -- Petit cercle légal où tourna le raisonnement -- Les demi-mystiques et l'art de délirer avec méthode -- Les scolastiques acceptent un Aristote arabe -- Leur enseignement hybride -- La machine à penser -- La gymnastique du néant -- § VII. Proscription de la nature -- Civilisation des Arabes -- Le Moyen-âge néglige Dieu-le-Père -- Le père est nul dans la famille idéale du Moyen-âge -- Anéantissement des sciences -- Les moines ont-ils conservé les manuscrits ? -- Salerne et Montpellier -- Roger Bacon emprisonné -- La proscription de la science crée la fausse science, les diseurs de riens -- § VIII. Prophétie de la Renaissance. - Évangile éternel -- L'abbaye du Paraclet ou du Saint-Esprit -- Les Vaudois, l'Évangile éternel -- Joachim de Flore -- L'âge du libre esprit, de science et d'enfance -- § IX. L'Évangile héroïque. - Jean et Jeanne. - Impuissance de Dante -- Impuissance de Dante, de Pétrarque et de nos légistes -- La langue et la patrie -- Jean Huss. Jeanne Darc -- Divorce permanent des deux Frances -- § X. L'architecture rationnelle et mathématique. - La déroute du gothique -- Solidité des monuments romains, fragilité du gothique -- Brunelleschi à Rome -- 1420. - Congrès des architectes à Florence -- Érection de Santa-Maria del Fiore -- § XI. Élans et rechutes. - Vinci. - L'imprimerie. - La Bible -- Faible influence de Brunelleschi, de Léonard de Vinci -- Le Bacchus, le Saint-Jean et la Joconde -- L'imprimerie fut d'abord peu utile -- La Bible embarrassa par la diversité infinie de ses doctrines et de ses types -- § XII. La farce de Pathelin. - La bourgeoisie. - L'ennui -- Pathelin et le petit Jehan de Saintré -- Bassesse du noble, laideur du bourgeois -- Au quinzième siècle la plaisanterie est usée -- Le serpent -- Culte de Diane et du Diable -- § XIII. La sorcellerie -- La vieille. -- Terreur qu'inspire la sorcière -- Marteau des sorcières -- L'auteur du Marteau, Sprenger -- Vaudoiserie d'Arras en 1460 -- Révolutions allemandes vers la fin du siècle -- Intrépidité dogmatique de Sprenger -- Arguments de la sorcière -- Sensibilité de l'inquisiteur -- Le Diable gagne du terrain -- Terreur et fureur -- La machine prier -- § XIV. Résumé de l'introduction -- Notes de l'introduction -- Sur Abailard -- En quoi il y eut progrès de 1300 à 1500 -- Terrorisme de l'an 1200 -- Sur les mœurs du treizième et du quatorzième siècle -- Qui a aboli l'esclavage -- Du livre de M. Hauréau sur la scolastique -- Du livre de M. Didron -- Civilisation arabe -- De la famille au Moyen-âge -- Dante ne fut jamais populaire -- La coupe au peuple -- Histoire du gothique au dix-neuvième siècle -- Sorcellerie des villes et des campagnes -- HISTOIRE DU SEIZIÈME SIÈCLE. -- Chapitre Ier. - La France, réunie sous Charles VIII, envahit l'Italie. -- Les États généraux de 1481 furent une réaction féodale -- Guerre folle et administration d'Anne de Beaujeu, la Bretagne réunie -- 1494. Invasion de l'Italie par les Français -- Celle des Espagnols était bien plus à craindre -- L'inquisition, l'expulsion des juifs -- Chapitre II. - Découverte de l'Italie. -- Mort morale de l'Italie -- Charles VIII affranchit Pise, irrite Florence -- Chapitre III. - La découverte de Rome. Fornoue. (1495.) -- Caractère d'Alexandre VI et de ses prédécesseurs -- Son génie financier -- Les ministres du roi sauvent le pape -- Le roi à Naples. Retour et victoire -- Chapitre IV. - Résultats généraux. La France se caractérise. -- L'armée française adopte et défend Pise malgré le roi -- Chapitre V. - Vie et mort de Savonarole. (1494-1498.) -- Son imprudente générosité -- Tous les partis s'unissent contre lui -- Sa mort et celle de Charles VIII. (1498.) -- Chapitre VI. - Avènement de César Borgia. Louis XII. Alliance de Borgia et de Georges d'Amboise. (1498-1504.) -- Le journal d'Alexandre VI par Burchard -- Portraits de Georges d'Amboise et de Louis XII -- Belles réformes de Louis XII -- Le gouvernement de famille, Anne de Bretagne -- Conquête du Milanais, appui donné aux Borgia -- Louis XII et Ferdinand envahissent Naples -- Chapitre VII. - La chute de César Borgia. La déconfiture d'Amboise et de Louis XII. (1501-1503.) -- Les Légations et le Prince de Machiavel -- Terreur qu'inspirait Borgia, les noces de Lucrèce -- Mort d'Alexandre VI et chute de Borgia. (1503.) -- Chapitre VIII. - La France porte le dernier coup à l'Italie. (1504-1509.) Ligue de Cambrai -- Naissance de Charles-Quint et danger dont il menace l'Europe -- Anne veut lui donner la France. (1504.) -- Louis XII écrase Gènes et ligue l'Europe contre Venise. (1507.) -- Le Maximilien d'Albert Dürer -- Marguerite d'Autriche tient le fil des affaires de l'Europe -- Ce qu'était Venise -- Bataille d'Agnadel, un peuple brûlé vif -- On relève le drapeau vénitien -- Chapitre IX. - La punition de la France. Ligue sainte contre elle. (1510-1512.) -- Violence de Jules II -- Perfidie de Marguerite et de Maximilien, qui rappelle les Allemands le jour de la bataille -- Gaston de Foix -- L'armée française est sauvée par la loyauté d'un Allemand -- Chapitre X. - Bataille de Ravenne. Danger de la France. (1512-1514.) -- Première apparition de l'infanterie française -- L'armée victorieuse est licenciée -- Les Médicis, mort de Florence -- Danger de la France, défaites de Novare et de Guinegate -- Mariage et mort de Louis XII -- Chapitre XI. - La situation s'éclaircit. L'antiquité. Érasme. Les Estienne -- Les mérites de Louis XII, père du peuple -- La grande enquête pour la rédaction des Coutumes -- On imprime les Décrétales, le Corpus juris, Virgile, Homère, Aristote et Platon -- Les adages d'Érasme -- Gloire de l'imprimerie, les Estienne -- Chapitre XII. - La situation reste obscure encore. De Michel-Ange comme pro-phète -- Mystères du gouvernement royal. L'art s'individualise -- Michel-Ange et la chapelle Sixtine -- Les prophètes et les sibylles -- Chapitre XIII. - Charles-Quint -- Les tombeaux de Bruges, l'arbre de guerre -- Charles-Quint avait dans sa race trois folies, trois discordes -- Son monstrueux Empire -- La cour de Marguerite d'Autriche -- L'éducation de Charles-Quint -- Son ingratitude -- Chapitre XIV. - François Ier -- Son portrait par sa sœur -- Ses vers, son éducation -- La Marguerite des Marguerites -- François Ier appelé par l'Italie -- Chapitre XV. - Marignan. (1515) -- Nos passages des Alpes ont toujours été imprévus -- Passage de l'Argentière -- Mauvaise position et discordes de notre avinée -- Récits divers de la bataille -- Premier et second jour de la bataille 361 Belle retraite des Suisses -- Chapitre XVI. - Espérances de l'Europe. , François Ier repousse l'Italie et l'Allemagne -- Le roi pouvait ce qu'il voulait -- Ni l'Angleterre, ni l'Espagne, ni l'Empire ne l'eut arrêté -- Révolution imminente de l'Allemagne -- Prise que le roi avait sur l'Allemagne -- François Ier, gouverné par sa mère et Duprat, immole l'Italie, décourage l'Allemagne et s'allie au pape -- Chapitre XVII. - Caractère de ce premier âge de la Renaissance -- La Renaissance hésitait encore, mais un peuple nouveau était né -- Le grand duel des deux Antiquités jugé par la Nature -- Colomb, Luther et Copernik -- Rome grandit par ses défaites -- La Renaissance s'effraye d'elle-même -- Elle est une ère de bonté et d'humanité -- APPENDICE -- De la méthode et des sources -- Force des armées de Charles VIII et de Bonaparte -- Du procès d'Olivier-le-Daim, etc. -- Des États généraux de 1484 -- Des archives du Vatican -- De Trivulce -- De la maladie du seizième siècle -- De Savonarole, de Marguerite d'Autriche -- De l'époque où commence l'in-8o -- Des pièces de l'histoire de Louis XII -- De Michel-Ange et de la sculpture à venir -- De la gourmandise et de l'ingratitude de Charles-Quint -- Des traductions d'Ewerbeck -- Des Juifs, de Copernik -- De l'ornementation, de la Léda, etc. -- La bonté, source nouvelle de l'art -- Addition à la note sur les sources.
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
    UID:
    edocfu_9958067924102883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-4123-6059-5
    Series Statement: Classiques des sciences sociales, ; 2977
    Note: Préface -- Introduction -- § I. Sens et portée de la Renaissance -- Elle est essentiellement créatrice, organisatrice -- § II. L'ère de la Renaissance -- Le Moyen-âge finit plusieurs fois avant de finir -- Il perdit au treizième siècle la faculté d'engendrer -- Le seizième siècle fut très peu et très mal préparé -- § III. L'organisation de l'ordre et l'énervation de l'individu, du douzième au quinzième siècle -- Mysticisme religieux et politique -- M. Guizot et M. Augustin Thierry -- § IV. Nobles origines du Moyen-âge. - Abaissement au treizième siècle -- Au neuvième siècle, les nécessités de la défense favorisèrent la liberté -- La Chanson de Roland -- Chute littéraire du treizième siècle -- § V. Des abdications successives de l'indépendance humaine -- État bâtard et équivoque du serf -- Tristes gaietés du Moyen-âge -- La commune se donne au roi -- Les gens du roi, la bourgeoisie -- Ni Marcel ni Louis XI ne trouvèrent d'hommes pour les soutenir -- § VI. De la création du peuple des sots -- Le sot est une création moderne, née surtout de la suffisance scolastique et du culte des mots -- Petit cercle légal où tourna le raisonnement -- Les demi-mystiques et l'art de délirer avec méthode -- Les scolastiques acceptent un Aristote arabe -- Leur enseignement hybride -- La machine à penser -- La gymnastique du néant -- § VII. Proscription de la nature -- Civilisation des Arabes -- Le Moyen-âge néglige Dieu-le-Père -- Le père est nul dans la famille idéale du Moyen-âge -- Anéantissement des sciences -- Les moines ont-ils conservé les manuscrits ? -- Salerne et Montpellier -- Roger Bacon emprisonné -- La proscription de la science crée la fausse science, les diseurs de riens -- § VIII. Prophétie de la Renaissance. - Évangile éternel -- L'abbaye du Paraclet ou du Saint-Esprit -- Les Vaudois, l'Évangile éternel -- Joachim de Flore -- L'âge du libre esprit, de science et d'enfance -- § IX. L'Évangile héroïque. - Jean et Jeanne. - Impuissance de Dante -- Impuissance de Dante, de Pétrarque et de nos légistes -- La langue et la patrie -- Jean Huss. Jeanne Darc -- Divorce permanent des deux Frances -- § X. L'architecture rationnelle et mathématique. - La déroute du gothique -- Solidité des monuments romains, fragilité du gothique -- Brunelleschi à Rome -- 1420. - Congrès des architectes à Florence -- Érection de Santa-Maria del Fiore -- § XI. Élans et rechutes. - Vinci. - L'imprimerie. - La Bible -- Faible influence de Brunelleschi, de Léonard de Vinci -- Le Bacchus, le Saint-Jean et la Joconde -- L'imprimerie fut d'abord peu utile -- La Bible embarrassa par la diversité infinie de ses doctrines et de ses types -- § XII. La farce de Pathelin. - La bourgeoisie. - L'ennui -- Pathelin et le petit Jehan de Saintré -- Bassesse du noble, laideur du bourgeois -- Au quinzième siècle la plaisanterie est usée -- Le serpent -- Culte de Diane et du Diable -- § XIII. La sorcellerie -- La vieille. -- Terreur qu'inspire la sorcière -- Marteau des sorcières -- L'auteur du Marteau, Sprenger -- Vaudoiserie d'Arras en 1460 -- Révolutions allemandes vers la fin du siècle -- Intrépidité dogmatique de Sprenger -- Arguments de la sorcière -- Sensibilité de l'inquisiteur -- Le Diable gagne du terrain -- Terreur et fureur -- La machine prier -- § XIV. Résumé de l'introduction -- Notes de l'introduction -- Sur Abailard -- En quoi il y eut progrès de 1300 à 1500 -- Terrorisme de l'an 1200 -- Sur les mœurs du treizième et du quatorzième siècle -- Qui a aboli l'esclavage -- Du livre de M. Hauréau sur la scolastique -- Du livre de M. Didron -- Civilisation arabe -- De la famille au Moyen-âge -- Dante ne fut jamais populaire -- La coupe au peuple -- Histoire du gothique au dix-neuvième siècle -- Sorcellerie des villes et des campagnes -- HISTOIRE DU SEIZIÈME SIÈCLE. -- Chapitre Ier. - La France, réunie sous Charles VIII, envahit l'Italie. -- Les États généraux de 1481 furent une réaction féodale -- Guerre folle et administration d'Anne de Beaujeu, la Bretagne réunie -- 1494. Invasion de l'Italie par les Français -- Celle des Espagnols était bien plus à craindre -- L'inquisition, l'expulsion des juifs -- Chapitre II. - Découverte de l'Italie. -- Mort morale de l'Italie -- Charles VIII affranchit Pise, irrite Florence -- Chapitre III. - La découverte de Rome. Fornoue. (1495.) -- Caractère d'Alexandre VI et de ses prédécesseurs -- Son génie financier -- Les ministres du roi sauvent le pape -- Le roi à Naples. Retour et victoire -- Chapitre IV. - Résultats généraux. La France se caractérise. -- L'armée française adopte et défend Pise malgré le roi -- Chapitre V. - Vie et mort de Savonarole. (1494-1498.) -- Son imprudente générosité -- Tous les partis s'unissent contre lui -- Sa mort et celle de Charles VIII. (1498.) -- Chapitre VI. - Avènement de César Borgia. Louis XII. Alliance de Borgia et de Georges d'Amboise. (1498-1504.) -- Le journal d'Alexandre VI par Burchard -- Portraits de Georges d'Amboise et de Louis XII -- Belles réformes de Louis XII -- Le gouvernement de famille, Anne de Bretagne -- Conquête du Milanais, appui donné aux Borgia -- Louis XII et Ferdinand envahissent Naples -- Chapitre VII. - La chute de César Borgia. La déconfiture d'Amboise et de Louis XII. (1501-1503.) -- Les Légations et le Prince de Machiavel -- Terreur qu'inspirait Borgia, les noces de Lucrèce -- Mort d'Alexandre VI et chute de Borgia. (1503.) -- Chapitre VIII. - La France porte le dernier coup à l'Italie. (1504-1509.) Ligue de Cambrai -- Naissance de Charles-Quint et danger dont il menace l'Europe -- Anne veut lui donner la France. (1504.) -- Louis XII écrase Gènes et ligue l'Europe contre Venise. (1507.) -- Le Maximilien d'Albert Dürer -- Marguerite d'Autriche tient le fil des affaires de l'Europe -- Ce qu'était Venise -- Bataille d'Agnadel, un peuple brûlé vif -- On relève le drapeau vénitien -- Chapitre IX. - La punition de la France. Ligue sainte contre elle. (1510-1512.) -- Violence de Jules II -- Perfidie de Marguerite et de Maximilien, qui rappelle les Allemands le jour de la bataille -- Gaston de Foix -- L'armée française est sauvée par la loyauté d'un Allemand -- Chapitre X. - Bataille de Ravenne. Danger de la France. (1512-1514.) -- Première apparition de l'infanterie française -- L'armée victorieuse est licenciée -- Les Médicis, mort de Florence -- Danger de la France, défaites de Novare et de Guinegate -- Mariage et mort de Louis XII -- Chapitre XI. - La situation s'éclaircit. L'antiquité. Érasme. Les Estienne -- Les mérites de Louis XII, père du peuple -- La grande enquête pour la rédaction des Coutumes -- On imprime les Décrétales, le Corpus juris, Virgile, Homère, Aristote et Platon -- Les adages d'Érasme -- Gloire de l'imprimerie, les Estienne -- Chapitre XII. - La situation reste obscure encore. De Michel-Ange comme pro-phète -- Mystères du gouvernement royal. L'art s'individualise -- Michel-Ange et la chapelle Sixtine -- Les prophètes et les sibylles -- Chapitre XIII. - Charles-Quint -- Les tombeaux de Bruges, l'arbre de guerre -- Charles-Quint avait dans sa race trois folies, trois discordes -- Son monstrueux Empire -- La cour de Marguerite d'Autriche -- L'éducation de Charles-Quint -- Son ingratitude -- Chapitre XIV. - François Ier -- Son portrait par sa sœur -- Ses vers, son éducation -- La Marguerite des Marguerites -- François Ier appelé par l'Italie -- Chapitre XV. - Marignan. (1515) -- Nos passages des Alpes ont toujours été imprévus -- Passage de l'Argentière -- Mauvaise position et discordes de notre avinée -- Récits divers de la bataille -- Premier et second jour de la bataille 361 Belle retraite des Suisses -- Chapitre XVI. - Espérances de l'Europe. , François Ier repousse l'Italie et l'Allemagne -- Le roi pouvait ce qu'il voulait -- Ni l'Angleterre, ni l'Espagne, ni l'Empire ne l'eut arrêté -- Révolution imminente de l'Allemagne -- Prise que le roi avait sur l'Allemagne -- François Ier, gouverné par sa mère et Duprat, immole l'Italie, décourage l'Allemagne et s'allie au pape -- Chapitre XVII. - Caractère de ce premier âge de la Renaissance -- La Renaissance hésitait encore, mais un peuple nouveau était né -- Le grand duel des deux Antiquités jugé par la Nature -- Colomb, Luther et Copernik -- Rome grandit par ses défaites -- La Renaissance s'effraye d'elle-même -- Elle est une ère de bonté et d'humanité -- APPENDICE -- De la méthode et des sources -- Force des armées de Charles VIII et de Bonaparte -- Du procès d'Olivier-le-Daim, etc. -- Des États généraux de 1484 -- Des archives du Vatican -- De Trivulce -- De la maladie du seizième siècle -- De Savonarole, de Marguerite d'Autriche -- De l'époque où commence l'in-8o -- Des pièces de l'histoire de Louis XII -- De Michel-Ange et de la sculpture à venir -- De la gourmandise et de l'ingratitude de Charles-Quint -- Des traductions d'Ewerbeck -- Des Juifs, de Copernik -- De l'ornementation, de la Léda, etc. -- La bonté, source nouvelle de l'art -- Addition à la note sur les sources.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    edocfu_9958102445602883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-026-1
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: PREMIÈRE PARTIE -- Période Mérovingienne -- Livre I. Les Événements -- Chapitre I. La mainmise des Francs sur la Gaule -- Clovis - Les sources -- L'expansion des Francs avant Clovis -- Les premières guerres -- La guerre contre les Alamans et le baptême de Clovis -- La première guerre franque contre les Burgondes -- Conquête de l'Aquitaine sur les Visigoths -- La cérémonie de Saint-Martin de Tours -- Annexion du royaume des Ripuaires -- Dernières années de Clovis - Le Concile d'Orléans -- Signification historique de Clovis -- Chapitre II. Les Fils de Clovis (511-561) -- Les luttes intestines -- Les conquêtes des fils de Clovis -- Chapitre III. Les Mérovingiens de la mort de Clotaire Ier à la mort de Clotaire II (561-629) -- Les petits-fils de Clovis (561-595) -- Les arrière-petits-fils de Clovis - Clotaire II (595-629) -- Chapitre IV. La politique extérieure de 585 à 629 -- Chapitre V. Le règne de Dagobert(629-639) -- Chapitre VI. Le gouvernement des maires du Palais de 639 à 721 -- A. Luttes de la Neustrie et de l'Austrasie (639 à 687) -- B. Triomphe de l'Austrasie - Pépin de Herstal et sa succession (687-721) -- Chapitre VII. Charles Martel et la fin de l'ère mérovingienne -- Livre II. Transformation de la Gaule en France -- Chapitre I. La Gaule se détache de Rome -- Chapitre II. De l'apport germanique dans le peuplement de la Gaule aux Ve et VIe siècles -- A. Ce qu'apprennent les noms de lieu -- B. Ce qu'apprend l'archéologie funéraire -- Chapitre III. Les influences germaniques : -- A. Dans l'onomastique -- B. Dans la langue courante -- C. Le bilinguisme -- Chapitre IV. Le patriotisme gallo-franc -- Livre III. Les institutions. L'Église. La civilisation. La société et les mœurs. Transformation des rapports sociaux -- Chapitre I. Les Institutions : -- 1° Apogée de la royauté -- A. Le roi -- B. L'administration du royaume : Au Centre - Administration locale -- C. L'armée -- D. Les finances : Les recettes - Les dépenses -- E. La vie juridique et politique -- 2° Décadence de la royauté -- A. Affaiblissement politique -- B. Décadence et disparition de l'impôt -- C. Indiscipline et ruine de l'armée -- D. La royauté déconsidérée - Sa ruine -- E. Tyrannie des maires du Palais -- Chapitre II. L'Église -- A. L'Épiscopat -- B. Le monachisme -- C. Décadence de l'Église -- D. L'Église et 1'État -- Chapitre III. La civilisation -- A. La vie économique -- B. L'Art -- L'Architecture - La sculpture - Le bronze - La mosaïque - La peinture murale - Vitraux - Tissus - Orfèvrerie et joaillerie - L'écriture, la calligraphie et l'enluminure -- C. La langue et les lettres -- Coup d'œil d'ensemble - La poésie classique - L'Histoire : Grégoire de Tours - L'Hagiographie - La langue - Le public - Poésie et prose rythmiques - La littérature populaire -- Chapitre IV. La société et les mœurs -- Rois et reines - Les grands. Les Maires du Palais - Le clergé - Le peuple - Les superstitions et les vices -- Chapitre V. Transformation des rapports sociaux. Préparation à l'ère vassalique et féodale -- Patronage et bienfait dans le passé - Continuation et extension - Le bénéfice - La commendation guerrière - Conclusion -- DEUXIÈME PARTIE -- Période Carolingienne -- Livre I. Les Evénements -- Chapitre I. Carloman et Pépin -- A. Jusqu'à la retraite de Carloman -- B. Pépin roi -- Le sacre - Fondation de l'Etat pontifical - Conquête de l'Aquitaine et de la Septimanie -- Chapitre II. Charlemagne jusqu'au couronnement impérial -- Les débuts -- Les affaires d'Italie -- Les affaires de Germanie -- Les affaires d'Europe centrale et septentrionale -- Les affaires d'Espagne -- Chapitre III. L'événement du 25 décembre 800 -- Chapitre IV. Les dernières années (800-814) : -- Le concept d'Empire -- L'homme - Le chef d'Etat -- Jugement final -- La légende -- Chapitre V. Le règne de Louis le Pieux -- Les premiers temps -- Les révoltes - Ebranlement de l'Empire -- Chapitre VI. La succession de Louis le Pieux (840-843) -- Du partage de l'Empire au traité de Verdun -- Le traité de Verdun -- Chapitre VII. Le premier roi de France, le règne de Charles le Chauve -- La conquête du pouvoir de 840 à 845 -- Apparition des Normands -- Troubles en Aquitaine. Défaites en Bretagne. Les colloques de Meerssen (845-851) -- Chapitre VIII. Les Normands sur la Loire et la Seine (852-862) -- La lutte contre les Normands de la Loire et de la Seine -- La grande invasion (856-861) -- Chapitre IX. Alternances d'affermissement et d'affaiblissement du pouvoir. La succession de Lothaire et de Louis II. Charles le Chauve empereur (862-877). La personne et le règne -- Alternances -- La succession de Lothaire II -- La succession de Louis II -- Charles le Chauve empereur -- La personne et le règne -- Chapitre X. La succession de Charles le Chauve (877-887) -- Louis II le Bègue -- Louis III et Carloman -- Charles le Gros - Le siège de Paris par les Normands -- Chapitre XI. Dissolution de l'Empire carolingien -- Le règne d'Eudes (888-898) -- Chapitre XII. Le règne de Charles III, le Simple (898-923) -- Les premières années -- La fondation de la Normandie et l'apport scandinave -- L'acquisition de la Lotharingie -- Chapitre XIII. Les règnes de Robert Ier (923) et de Raoul de Bourgogne (923-936) -- Robert Ier -- Raoul de Bourgogne -- Chapitre XIV. Louis IV d'Outre-mer et Hugues le Grand -- Les premières années -- Louis IV et la crise normande -- Rétablissement de Louis IV -- Chapitre XV. Lothaire, Louis V et Hugues Capet (954-987) -- Jusqu'à la mort de Hugues le Grand (954-956) -- La tutelle des Ottoniens -- Lothaire contre Otton II -- Lothaire et la Lorraine - Sa mort -- Louis V et Hugues Capet -- Chapitre XVI. Le changement de dynastie. Le règne de Hugues Capet (987-996) -- L'avènement -- Charles de Lorraine -- Les conflits avec la Papauté et avec l'Empire -- Histoire intérieure (991 à 996) -- Livre II. Les classes sociales. Les institutions. L'Église. Transformation -- de la vie politique et sociale. La civilisation carolingienne : la vie économique, artistique, intellectuelle. -- Chapitre I. Les classes sociales -- Chapitre II. Les institutions -- Caractère de la royauté -- La législation -- Organisation du pouvoir -- Le conseil -- L'assemblée générale -- L'administration locale -- Les missi dominici -- Organisation de la justice -- Des voies de recours -- Les assises des missi -- Les ressources matérielles du pouvoir - Les finances -- Le domaine -- L'armée -- Les institutions urbaines -- Chapitre III. L'Église -- Sa fortune -- La séparation des menses -- La réforme morale, religieuse, intellectuelle -- A. La propagation de la foi -- B. Rétablissement de la hiérarchie -- C. Réforme des mœurs et de l'instruction du clergé -- D. Les controverses théologiques sous Charlemagne -- E. Le sacerdoce contre la royauté -- F. Les controverses théologiques sous Charles le Chauve -- G. Faux capitulaires. Fausses décrétales -- H. Séparation des églises de Gaule et de Germanie -- I. Réapparition du manichéisme -- Déchéance de l'Eglise -- A. Les causes -- B. Services rendus par l'Eglise malgré sa déchéance -- C. Symptômes de régénération -- Chapitre IV. Transformation de la vie politique et sociale -- Prétendues innovations de cette période -- Les changements réels -- Les Carolingiens et la vassalité -- Antinomie du principe monarchique et du principe vassalique -- La vassalité n'est pas la seule cause de la ruine de la monarchie -- Envahissement de l'esprit vassalique -- Renversement des rapports entre le patronage et le bienfait -- Conclusion -- Chapitre V. La civilisation carolingienne : La vie économique -- A. L'agriculture -- B. Le commerce -- C. L'industrie -- D. Monnaie - Poids et mesures -- E. Les villes -- Chapitre VI. , La civilisation carolingienne : La vie artistique -- Considérations préalables - L'architecture religieuse - La décoration - L'architecture civile et militaire - La peinture - Le vitrail - Le retour au relief - Le métal - Les statuettes de bois - Le travail du bronze - L'ivoirerie - La glyptique - Terre cuite et stuc - Sculpture en marbre et en pierre - Les étoffes - La calligraphie - L'Enluminure - La musique - La musique instrumentale -- Chapitre VII. , La civilisation carolingienne : La vie intellectuelle -- La Renaissance, le but visé -- La pré-renaissance, l'appel aux étrangers -- Intensité de la production littéraire -- Apogée de la Renaissance sous Charles le Chauve -- Les genres littéraires : Les œuvres en prose : -- Livres scolaires - Ateliers de copie. Bibliothèques - Théologie et philosophie - Le droit - L'Historiographie - La biographie - L'Hagiographie - Les épistoliers - Les traités politiques -- Les genres littéraires : Les œuvres en vers : -- Renaissance du vers classique - Les meilleurs poètes -- Quelques genres : -- L'Épopée - Vies de saints et de saintes - Autres genres - Versification et poésie -- Les derniers temps de la Renaissance carolingienne dans les lettres : -- Etat de l'Europe - Ce qu'on enseignait - La versification rythmique - La séquence - Le trope - De quelques écoles et de quelques maîtres - Gerbert - Richter - Abbon - Transmission du savoir -- Apparition de la langue française. La littérature en langue vulgaire -- Livre III. -- Chapitre I. La France au début de la période capétienne -- L'An Mille: légende et réalité -- Les grandes principautés vassales du roi de France -- Le domaine propre du roi -- Coup d'œil sur la situation et l'avenir de la dynastie capétienne et sur le sentiment national -- Bibliographie choisie -- Période mérovingienne -- Période carolingienne.
    Language: French
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
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    edoccha_9958102445602883
    Format: 1 online resource.
    ISBN: 1-55442-026-1
    Series Statement: Classiques des sciences sociales
    Note: PREMIÈRE PARTIE -- Période Mérovingienne -- Livre I. Les Événements -- Chapitre I. La mainmise des Francs sur la Gaule -- Clovis - Les sources -- L'expansion des Francs avant Clovis -- Les premières guerres -- La guerre contre les Alamans et le baptême de Clovis -- La première guerre franque contre les Burgondes -- Conquête de l'Aquitaine sur les Visigoths -- La cérémonie de Saint-Martin de Tours -- Annexion du royaume des Ripuaires -- Dernières années de Clovis - Le Concile d'Orléans -- Signification historique de Clovis -- Chapitre II. Les Fils de Clovis (511-561) -- Les luttes intestines -- Les conquêtes des fils de Clovis -- Chapitre III. Les Mérovingiens de la mort de Clotaire Ier à la mort de Clotaire II (561-629) -- Les petits-fils de Clovis (561-595) -- Les arrière-petits-fils de Clovis - Clotaire II (595-629) -- Chapitre IV. La politique extérieure de 585 à 629 -- Chapitre V. Le règne de Dagobert(629-639) -- Chapitre VI. Le gouvernement des maires du Palais de 639 à 721 -- A. Luttes de la Neustrie et de l'Austrasie (639 à 687) -- B. Triomphe de l'Austrasie - Pépin de Herstal et sa succession (687-721) -- Chapitre VII. Charles Martel et la fin de l'ère mérovingienne -- Livre II. Transformation de la Gaule en France -- Chapitre I. La Gaule se détache de Rome -- Chapitre II. De l'apport germanique dans le peuplement de la Gaule aux Ve et VIe siècles -- A. Ce qu'apprennent les noms de lieu -- B. Ce qu'apprend l'archéologie funéraire -- Chapitre III. Les influences germaniques : -- A. Dans l'onomastique -- B. Dans la langue courante -- C. Le bilinguisme -- Chapitre IV. Le patriotisme gallo-franc -- Livre III. Les institutions. L'Église. La civilisation. La société et les mœurs. Transformation des rapports sociaux -- Chapitre I. Les Institutions : -- 1° Apogée de la royauté -- A. Le roi -- B. L'administration du royaume : Au Centre - Administration locale -- C. L'armée -- D. Les finances : Les recettes - Les dépenses -- E. La vie juridique et politique -- 2° Décadence de la royauté -- A. Affaiblissement politique -- B. Décadence et disparition de l'impôt -- C. Indiscipline et ruine de l'armée -- D. La royauté déconsidérée - Sa ruine -- E. Tyrannie des maires du Palais -- Chapitre II. L'Église -- A. L'Épiscopat -- B. Le monachisme -- C. Décadence de l'Église -- D. L'Église et 1'État -- Chapitre III. La civilisation -- A. La vie économique -- B. L'Art -- L'Architecture - La sculpture - Le bronze - La mosaïque - La peinture murale - Vitraux - Tissus - Orfèvrerie et joaillerie - L'écriture, la calligraphie et l'enluminure -- C. La langue et les lettres -- Coup d'œil d'ensemble - La poésie classique - L'Histoire : Grégoire de Tours - L'Hagiographie - La langue - Le public - Poésie et prose rythmiques - La littérature populaire -- Chapitre IV. La société et les mœurs -- Rois et reines - Les grands. Les Maires du Palais - Le clergé - Le peuple - Les superstitions et les vices -- Chapitre V. Transformation des rapports sociaux. Préparation à l'ère vassalique et féodale -- Patronage et bienfait dans le passé - Continuation et extension - Le bénéfice - La commendation guerrière - Conclusion -- DEUXIÈME PARTIE -- Période Carolingienne -- Livre I. Les Evénements -- Chapitre I. Carloman et Pépin -- A. Jusqu'à la retraite de Carloman -- B. Pépin roi -- Le sacre - Fondation de l'Etat pontifical - Conquête de l'Aquitaine et de la Septimanie -- Chapitre II. Charlemagne jusqu'au couronnement impérial -- Les débuts -- Les affaires d'Italie -- Les affaires de Germanie -- Les affaires d'Europe centrale et septentrionale -- Les affaires d'Espagne -- Chapitre III. L'événement du 25 décembre 800 -- Chapitre IV. Les dernières années (800-814) : -- Le concept d'Empire -- L'homme - Le chef d'Etat -- Jugement final -- La légende -- Chapitre V. Le règne de Louis le Pieux -- Les premiers temps -- Les révoltes - Ebranlement de l'Empire -- Chapitre VI. La succession de Louis le Pieux (840-843) -- Du partage de l'Empire au traité de Verdun -- Le traité de Verdun -- Chapitre VII. Le premier roi de France, le règne de Charles le Chauve -- La conquête du pouvoir de 840 à 845 -- Apparition des Normands -- Troubles en Aquitaine. Défaites en Bretagne. Les colloques de Meerssen (845-851) -- Chapitre VIII. Les Normands sur la Loire et la Seine (852-862) -- La lutte contre les Normands de la Loire et de la Seine -- La grande invasion (856-861) -- Chapitre IX. Alternances d'affermissement et d'affaiblissement du pouvoir. La succession de Lothaire et de Louis II. Charles le Chauve empereur (862-877). La personne et le règne -- Alternances -- La succession de Lothaire II -- La succession de Louis II -- Charles le Chauve empereur -- La personne et le règne -- Chapitre X. La succession de Charles le Chauve (877-887) -- Louis II le Bègue -- Louis III et Carloman -- Charles le Gros - Le siège de Paris par les Normands -- Chapitre XI. Dissolution de l'Empire carolingien -- Le règne d'Eudes (888-898) -- Chapitre XII. Le règne de Charles III, le Simple (898-923) -- Les premières années -- La fondation de la Normandie et l'apport scandinave -- L'acquisition de la Lotharingie -- Chapitre XIII. Les règnes de Robert Ier (923) et de Raoul de Bourgogne (923-936) -- Robert Ier -- Raoul de Bourgogne -- Chapitre XIV. Louis IV d'Outre-mer et Hugues le Grand -- Les premières années -- Louis IV et la crise normande -- Rétablissement de Louis IV -- Chapitre XV. Lothaire, Louis V et Hugues Capet (954-987) -- Jusqu'à la mort de Hugues le Grand (954-956) -- La tutelle des Ottoniens -- Lothaire contre Otton II -- Lothaire et la Lorraine - Sa mort -- Louis V et Hugues Capet -- Chapitre XVI. Le changement de dynastie. Le règne de Hugues Capet (987-996) -- L'avènement -- Charles de Lorraine -- Les conflits avec la Papauté et avec l'Empire -- Histoire intérieure (991 à 996) -- Livre II. Les classes sociales. Les institutions. L'Église. Transformation -- de la vie politique et sociale. La civilisation carolingienne : la vie économique, artistique, intellectuelle. -- Chapitre I. Les classes sociales -- Chapitre II. Les institutions -- Caractère de la royauté -- La législation -- Organisation du pouvoir -- Le conseil -- L'assemblée générale -- L'administration locale -- Les missi dominici -- Organisation de la justice -- Des voies de recours -- Les assises des missi -- Les ressources matérielles du pouvoir - Les finances -- Le domaine -- L'armée -- Les institutions urbaines -- Chapitre III. L'Église -- Sa fortune -- La séparation des menses -- La réforme morale, religieuse, intellectuelle -- A. La propagation de la foi -- B. Rétablissement de la hiérarchie -- C. Réforme des mœurs et de l'instruction du clergé -- D. Les controverses théologiques sous Charlemagne -- E. Le sacerdoce contre la royauté -- F. Les controverses théologiques sous Charles le Chauve -- G. Faux capitulaires. Fausses décrétales -- H. Séparation des églises de Gaule et de Germanie -- I. Réapparition du manichéisme -- Déchéance de l'Eglise -- A. Les causes -- B. Services rendus par l'Eglise malgré sa déchéance -- C. Symptômes de régénération -- Chapitre IV. Transformation de la vie politique et sociale -- Prétendues innovations de cette période -- Les changements réels -- Les Carolingiens et la vassalité -- Antinomie du principe monarchique et du principe vassalique -- La vassalité n'est pas la seule cause de la ruine de la monarchie -- Envahissement de l'esprit vassalique -- Renversement des rapports entre le patronage et le bienfait -- Conclusion -- Chapitre V. La civilisation carolingienne : La vie économique -- A. L'agriculture -- B. Le commerce -- C. L'industrie -- D. Monnaie - Poids et mesures -- E. Les villes -- Chapitre VI. , La civilisation carolingienne : La vie artistique -- Considérations préalables - L'architecture religieuse - La décoration - L'architecture civile et militaire - La peinture - Le vitrail - Le retour au relief - Le métal - Les statuettes de bois - Le travail du bronze - L'ivoirerie - La glyptique - Terre cuite et stuc - Sculpture en marbre et en pierre - Les étoffes - La calligraphie - L'Enluminure - La musique - La musique instrumentale -- Chapitre VII. , La civilisation carolingienne : La vie intellectuelle -- La Renaissance, le but visé -- La pré-renaissance, l'appel aux étrangers -- Intensité de la production littéraire -- Apogée de la Renaissance sous Charles le Chauve -- Les genres littéraires : Les œuvres en prose : -- Livres scolaires - Ateliers de copie. Bibliothèques - Théologie et philosophie - Le droit - L'Historiographie - La biographie - L'Hagiographie - Les épistoliers - Les traités politiques -- Les genres littéraires : Les œuvres en vers : -- Renaissance du vers classique - Les meilleurs poètes -- Quelques genres : -- L'Épopée - Vies de saints et de saintes - Autres genres - Versification et poésie -- Les derniers temps de la Renaissance carolingienne dans les lettres : -- Etat de l'Europe - Ce qu'on enseignait - La versification rythmique - La séquence - Le trope - De quelques écoles et de quelques maîtres - Gerbert - Richter - Abbon - Transmission du savoir -- Apparition de la langue française. La littérature en langue vulgaire -- Livre III. -- Chapitre I. La France au début de la période capétienne -- L'An Mille: légende et réalité -- Les grandes principautés vassales du roi de France -- Le domaine propre du roi -- Coup d'œil sur la situation et l'avenir de la dynastie capétienne et sur le sentiment national -- Bibliographie choisie -- Période mérovingienne -- Période carolingienne.
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    UID:
    gbv_1832271552
    Format: 1 Online-Ressource (472 p.)
    ISBN: 9782862727578 , 9782862724836
    Series Statement: Le XIXe siècle en représentation(s)
    Content: Siècle du passage à l'économie libérale et à la société industrielle, le xxie siècle voit en France la création littéraire et artistique prendre tous les caractères d'une « production » - pensée avant même notre entrée, au xxie siècle, dans l'ère de l'immatérialité numérique -, comme celle de « produits immatériels ». Les belles-lettres et les beaux-arts doivent alors et sans retour s'adapter à ce nouveau système d'échanges et de valeurs, viser un public de masse, trouver leur place dans le premier des médias modernes qu'est la presse périodique (journaux et revues). En même temps, l'État postrévolutionnaire invente et instaure la pratique spécifiquement française de la politique culturelle à des fins d'autolégitimation, d'identité nationale et d'instruction publique. Il définit juridiquement la propriété intellectuelle. C'est ainsi que s'organise un marché contrôlé et régulé de l'immatériel, dont les principes et les effets ne manquent pas de susciter réflexion et critiques chez les contemporains. Quant aux poètes, romanciers, dramaturges, compositeurs d'opéra, peintres, etc., tous, de créateurs devenus « producteurs », et contraints de se redéployer par rapport au nouveau cadre, ils l'acceptent, le contournent ou le combattent selon des stratégies très diverses. Ainsi, d'une manière ou d'une autre, cette situation finit-elle par s'inscrire dans l'énonciation, dans la poétique et dans la thématique de ce qu'ils persistent à vouloir nommer leurs œuvres. Bon gré, mal gré, elle les stimule à un renouvellement des formes et des genres. À travers les contributions d'une trentaine de spécialistes du xixe siècle, l'histoire culturelle et l'histoire de l'art joignent leurs approches à celles de l'histoire littéraire pour proposer des études de cas et construire une vision d'ensemble. L'ouvrage se focalise plus spécialement sur un certain nombre de témoins et d'acteurs centraux, tels Balzac, George Sand, Baudelaire, Vallès, Mallarmé, Courbet, qui permettent de dégager des phénomènes transversaux non dépourvus d'analogies avec la période de mutations actuelle
    Note: French
    Language: Undetermined
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  • 7
    UID:
    gbv_1832298574
    Format: 1 Online-Ressource (285 p.)
    ISBN: 9791030006735 , 9782867817984
    Series Statement: Études africaines et créoles
    Content: La conscience linguistique qui attache l'auteur à l'idiome du terroir explique non seulement le sens qu'il attribue aux mots de la langue et aux choses de la vie mais aussi la sensibilité exacerbée qu'il manifeste vis-à-vis des questions de langage dès qu'il s'engage dans l'activité littéraire en une langue seconde : la réflexion sur la problématique de la langue prend alors une place prépondérante. Cette « surconscience linguistique » pousse l'écrivain francophone, en raison de sa situation dans l'entre-deux linguistique et culturel, à penser en permanence son rapport à la langue d'écriture, une langue qui est rarement sa langue maternelle. Évasion, exotisme et engagement constituent un bon fil conducteur pour une réflexion sur le sentiment de la langue par-delà les enjeux thématiques, narratifs et descriptifs. Ce livre, écrit par des scientifiques africains et non africains, tous professeurs de langue et littérature françaises dans diverses universités en France, en Afrique et en Amérique, rassemble des textes qui portent une réflexion approfondie sur la littérature coloniale et postcoloniale écrite par des auteurs francophones de langue maternelle française ou non. Sur la longue période qui va du xixe au xxie siècle, il témoigne de la pluralité des acteurs/auteurs, de l'évolution des idées, de la diversité des thématiques, des motivations et des dynamiques à l'œuvre
    Note: French
    Language: Undetermined
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  • 8
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    [Erscheinungsort nicht ermittelbar] : UGA Éditions
    UID:
    gbv_1778646743
    Format: 1 Online-Ressource
    ISBN: 9782843103483
    Content: L'ouvrage porte sur les représentations de l'Orient - de l'Europe orientale à l'Inde et à la Chine en passant par le Proche-Orient - dans de grandes revues généralistes françaises et francophones des années 1830 aux années 1960. Il adopte une perspective chronologique mettant en valeur les reconfigurations des imaginaires et l'orientation générale d'une évolution, non sans retours nostalgiques, qui mène du paradigme orientaliste à une perception plus étatique et nationale de l'Orient en situation coloniale. L'enquête porte sur des revues emblématiques (Revue des deux mondes, Mercure de France, Europe, Cahiers du Sud, Esprit, Nouvelle Revue française) comme sur de moins étudiées (Revue indépendante, Magasin pittoresque, Tour du monde, Un Effort) et permet d'appréhender une collectivité polyphonique, véritable creuset intellectuel et littéraire sur la longue durée, au sein duquel les lettrés orientaux prennent la parole à partir des années 1920
    Note: French
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
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    [Erscheinungsort nicht ermittelbar] : Presses universitaires de Rennes
    UID:
    gbv_1778623042
    Format: 1 Online-Ressource
    ISBN: 9782753560529
    Content: Se souvenir de la guerre permet-il d'en sortir ? La mémoire collective est sélective et toutes les guerres ne laissent pas les mêmes traces. Le Centre-Val de Loire, formé à partir des provinces du Berry, de l'Orléanais et de la Touraine, entretient avec les mémoires des guerres une relation certes singulière, née de sa situation au cœur du domaine royal, mais aussi archétypale. De la Délivrance d'Orléans par Jeanne d'Arc en 1429 aux occupations de 1814-1815, 1870-1871 et 1940-1944, les traces locales de sa mémoire participent à la construction de son identité régionale, tout en ayant des résonances nationales. Les acteurs régionaux du « devoir de mémoire » y ont combattu pour exhumer des oubliettes des souvenirs longtemps occultés, telle l'existence des camps d'internement du Loiret. Pour autant, quels « lieux de mémoire » émergent dans la région ? Les monuments aux morts de la Grande Guerre semblent dominer au point que l'on peut s'interroger sur l'effacement de la mémoire de 1870 ou de celle des crimes de guerres de l'été 1944. De même, au côté de Jeanne d'Arc, instrumentalisée à chaque conflit, il faut attendre 2015 pour que Jean Zay rejoigne au Panthéon le préfet de Chartres, Jean Moulin. Et qu'en est-il de la fête johannique du 8 mai à partir de la Victoire de 1945 ? Étudier les usages des mémoires des guerres sur la longue durée, de la guerre de Cent ans à l'Occupation, en passant par les guerres de Religion, éclaire ainsi les crises d'identité qui empoignent la nation française de manière récurrente. Les regards croisés, enfin, de l'anthropologue sur la mémoire des occupants, et du littéraire sur la mémoire immédiate de Charles Péguy, contribuent à une histoire comparée des pratiques mémorielles. Si la Seconde Guerre mondiale a fait écran en recouvrant la mémoire des occupations précédentes, c'est toute la strate mémorielle accumulée de conflit en conflit que cet ouvrage entend déconstruire
    Note: French
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
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    Chicoutimi :J.-M. Tremblay,
    UID:
    edocfu_9958119603502883
    Format: 1 online resource (749 pages)
    ISBN: 1-4123-6680-1
    Content: Mon ami, M. Reinwald, me demande une préface pour le nouveau livre de M. Darwin dont j'ai vu naître la première édition de la traduction française. M. Darwin me fait l'honneur de citer, à la première page de son œuvre, une phrase prononcée dans un discours que j'avais adressé, en avril 1869, à l'Institut national genevois. Je ne crois pouvoir répondre mieux à la demande de mon éditeur et ami, qu'en mettant ici, et à la place d'une préface, la plus grande partie de ce discours qui a reçu une approbation si flatteuse de la part d'un maître tel que M. Darwin : Dans toutes les sciences naturelles, nous pouvons signaler une double tendance des efforts faits pour les pousser plus loin et pour leur faire porter les fruits que la société est en droit d'attendre d'elles. D'un côté, la recherche minutieuse, secondée par l'installation d'expériences aussi dégagées que possible d'erreurs et de perturbations ; de l'autre côté, le rattachement des résultats obtenus à certains principes généraux dont la portée devient d'autant plus grande qu'ils engagent à de nouvelles recherches dans des branches de la science en apparence entièrement étrangères à celle dont ils découlent en premier lieu. Enfin, au fond de ce mouvement qui domine dans les sciences et par conséquent aussi dans la société (car on ne peut plus nier aujourd'hui que ce soit les sciences qui marchent à la tête de l'humanité entière), au fond de ce mouvement, dis-je, s'aperçoit ce besoin d'affranchissement de la pensée, ce combat incessant contre l'autorité et la croyance transmise, héritée et autoritaire, qui, sous mille formes diverses, agite le monde et tient les esprits en éveil. Aussi voyez-vous ce courant de liberté, d'affranchissement et d'indépendance au fond de toutes les questions qui surgissent les unes à côté des autres dans le monde politique, religieux, social, littéraire et scientifique ; - ici, vous le voyez paraître comme tendance au self-government, là comme critique des textes dits sacrés ; les uns cherchent à établir, pour les conditions d'existence de la société et des diverses classes qui la composent, des lois semblables à celles qui gouvernent le monde physique, tandis que les autres soumettent à l'épreuve des faits et des expériences les opinions et les assertions de leurs devanciers, pour les trouver, le plus souvent, contraires à ce qu'enseignent les recherches nouvelles. Partout se forment deux camps, l'un de résistance, l'autre d'attaque ; partout nous assistons à des luttes opiniâtres, mais dans lesquelles triomphera sans doute la raison humaine, dégagée de préjugés et d'erreurs implantées dans le cerveau par héritage et par l'enseignement pendant l'enfance. Ces luttes, toujours profitables à l'humanité, mettent en plein jour les liaisons qui existent entre les différentes branches des connaissances humaines ; aucune ne saurait plus prétendre à un domaine absolu, et souvent les armes offensives et défensives doivent êtres cherchés dans un arsenal établi en apparence bien loin du camp dans lequel on s'est enrôlé primitivement. En même temps, la somme de nos connaissances acquises s'accroît avec une telle rapidité, que l'organisation humaine la plus amplement douée ne suffit plus pour embrasser au complet, même une branche isolée. Aussi me permettrez-vous de restreindre mon sujet et de rechercher seulement, dans le petit domaine dont je me suis plus spécialement occupé, les manifestations de cette tendance générale que je viens de signaler. Comment se manifeste dans l'étude des sciences biologiques s'occupant des êtres organisés et ayant vie, cet esprit d'indépendance, cette tendance à briser les liens qui empêchaient jusqu'ici le libre développement de ces sciences ? D'une manière bien simple, messieurs. On ne croit plus à une force vitale particulière, dominant tous les autres phénomènes organiques et attirant dans son domaine inabordable tout ce qui ne cadre pas à première vue avec les faits connus dans les corps inorganiques ; on ne part plus, comme d'un axiome élevé au-dessus de toute démonstration, de l'idée d'un principe immatériel de la vie qui n'est combiné avec le corps que temporairement et qui continue son existence même après la destruction de cet organisme par lequel seul il se manifeste ; - non, on laisse absolument de côté ces questions et ces prétendus principes tirés d'un autre ordre d'idées, et on procède à l'analyse du corps organisé et de ses fonctions comme on procéderait à celle d'une machine très compliquée, mais dans laquelle il n'y a aucune force occulte, aucun effet sans cause démontrable ; - on part, en un mot, du principe que force et matière ne font qu'un, que tout dans les corps organiques, n'est que transformations et transpositions incessantes, compensation perpétuelle. Et en appliquant ce principe à l'étude des corps organisés, en s'affranchissant, en un mot, de toute idée préconçue et implantée, on arrive non seulement à des résultats et à des conclusions qui doivent rejaillir fortement sur d'autres domaines, on est même conduit à la conception d'expériences et d'observations qui auraient été impossibles, inimaginables dans une époque antérieure où toutes les pensées étaient dominées par l'idée d'une force vitale particulière. Dans ces temps-là, un mouvement était le résultat d'une volonté dictée par cette force vitale ; aujourd'hui il est devenu la conséquence nécessaire d'une irritation du système nerveux, et, pour le produire, l'organisme ne dépense pas de la force vitale, mais une quantité parfaitement déterminée et mesurable de chaleur, engendrée par la combustion d'une quantité aussi déterminée, de combustible que nous introduisons sous forme d'aliment. Le muscle, qui se contracte, n'est aujourd'hui qu'une machine, dont les effets de force sont déterminés aussi rigoureusement que ceux d'un câble de grue, et cette machine agit aussi longtemps qu'elle n'est pas dérangée, avec autant de précision qu'un câble inanimé. Aujourd'hui, nous détachons un muscle d'une grenouille vivante, nous le mettons dans les conditions nécessaires pour sa conservation, en empêchant sa dessiccation et sa décomposition, nous lui donnons, comme du charbon à une machine, de temps en temps le sang nécessaire pour remplacer la matière brûlée par l'oxygène de l'air, - et ce muscle isolé, sous cloche, séparé de l'organisme, non depuis des heures et des jours, mais même depuis des semaines, ce muscle travaille sur chaque irrigation que nous lui transmettons par l'électricité aussi exactement qu'une spirale de montre dès qu'il est monté ! Aujourd'hui, nous décapitons un animal, - nous le laissons mourir complètement, - mais, après cette mort, nous injectons dans la tête du sang d'un autre animal de la même espèce battu et chauffé au degré nécessaire, - et cette tête revit, rouvre ses yeux, et ses mouvements nous prouvent que son cerveau, organe de la pensée, fonctionne de nouveau et de la même manière comme avant sa décapitation. Je ne veux pas m'étendre ici sur les conséquences que l'on peut tirer de ces expériences. La physique inorganique nous prouve que chaleur et mouvement ne sont qu'une seule et même force, - que la chaleur peut être transformée en mouvement et vice versa ; - la physique organique, car c'est ainsi qu'on peut appeler aujourd'hui cette branche de la biologie, nous démontre que les mêmes lois régissent l'organisme ; - nous mesurons le mouvement de la pensée, nous déterminons la vitesse, peu considérable du reste, avec laquelle elle se transmet, et nous apprécions la chaleur dégagée dans le cerveau par ce mouvement. Mais, je le répète, nous n'aurions pu arriver à ces expériences et à leurs résultats si frappants, si observateurs et expérimentateurs n'avaient travaillé, avant tout, à l'affranchissement de leur propre pensée, s'ils avaient rejeté d'avance, avant de les tenter, toute idée transmise par les autorités, pour s'en tenir aux faits seulement et aux lois qui en découlent.
    Content: Lorsque Lavoisier prit la première fois la balance en main pour constater que le produit de la combustion était plus pesant que la substance brûlée, avant cette opération, et que la combustion était, par conséquent, une combinaison et non une destruction, il partait nécessairement du principe de l'indestructibilité de la matière et détruisait en même temps ce phlogiston, cette force occulte et indémontrable que l'on avait invoquée pour expliquer une foule de phénomènes du monde inorganique, absolument comme on invoque encore aujourd'hui cette force vitale dont les retraites obscures sont forcées et éclairées tour à tour par le flambeau de l'investigation. Si nous constatons ici, dans le domaine de la physiologie, l'heureux effet de l'affranchissement de la méthode investigatrice, nous en pouvoir voir encore une manifestation brillante dans le domaine de la zoologie et de la botanique proprement dites. Je veux parler de la direction nouvelle imprimée à ces sciences ainsi qu'à l'anthropologie, par Darwin. Que veut, en effet, cette direction nouvelle qui se base, comme toute innovation, sur des précédents, mais, il faut l'avouer aussi, sur des précédents en grande partie oubliés et négligés ? Avant tout, elle veut combattre des opinions transmises, autoritaires, dictées par un tout autre ordre d'idées, et acceptées, jusqu'ici, comme on accepte mille choses, sans en examiner le fond. « Espèces sont, avait dit Linné, les types créés dès le commencement », et on avait accepté, tant bien que mal, cette définition qui suppose un créateur, un nombre considérable de types indépendants les uns des autres, et un renouvellement successif de l'ameublement organique de la terre, si j'ose m'exprimer ainsi, d'après le plan fixé d'avance dans les différentes époques de son histoire. - Cet axiome admis, il n'y avait plus, en réalité, à examiner les rapports des différents organismes entre eux, ni avec leurs prédécesseurs ; - chaque espèce étant une création indépendante en elle-même, il était, au fond, bien indifférent si le loup ressemblait au chien ou à la baleine ! Or, si plusieurs prédécesseurs de Darwin avaient osé s'insurger partiellement contre tel ou tel point de cet axiome, leurs voix étaient restées sans écho ; - ces insurrections avortées n'avaient contribué, comme en politique, qu'à mieux, asseoir le gouvernement existant et à faire croire à son infaillibilité. Mais aujourd'hui, grâce à Darwin, une révolution complète a été opérée, et les partisans du gouvernement déchu se trouvent à peu près dans la même situation que les chefs de mainte révolution ; - ils ne peuvent en aucune façon revenir aux anciens errements, mais ils ne savent que mettre à la place. Personne, en Europe au moins, n'ose plus soutenir la création indépendante, et de toutes pièces, des espèces ; - mais on hésite, lorsqu'il s'agit de suivre une voie nouvelle dont on ne voit pas encore l'issue. « Il faut accepter cette théorie, a dit un homme de grand sens, uniquement parce que nous n'avons rien de meilleur. Que pouvez-vous mettre à sa place ? » Je l'ai dit, - la nouvelle direction imprimée aux sciences zoologiques par Darwin n'est pas tant remarquable en elle-même que comme manifestation de cet esprit libre qui tâche de s'affranchir de liens imposés et qui veut voler de son propre essor. Elle veut rattacher les innombrables formes dans lesquelles s'est manifestée la vie organique à cette circulation générale qui anime le monde entier ; - pour traduire sa tendance par un mot emprunté à la physique, elle veut considérer les organismes comme des manifestations, enchaînées entre elles, d'une seule et même force, et non pas comme des forces indépendantes, depuis Lavoisier, sur le principe de la matière impérissable, les étonnantes découvertes de Mayer et de ses successeurs ont été engendrées par la conception de la force impérissable. Dans toutes les modifications de la forme, la quantité de force dépensée reste toujours la même ; la force est mutable en sa qualité, mais non en sa quantité ; elle est indestructible comme la matière ; - à chaque molécule, à chaque quantité appréciable de la matière est liée, d'une manière impérissable et éternelle, une quantité correspondante de force. Les manifestations extérieures de la force peuvent revêtir autant de formes différentes que la matière, - mais la quantité dépensée dans une opération ou mutation quelconque doit se retrouver dans une autre opération précédente ou suivante, et doit rester identiquement la même dans toute la série des phénomènes qui se sont passés antérieurement ou qui doivent suivre dans le cours du temps. N'oublions pas, messieurs, que ce principe, connu par Mayer, il n'y a pas encore trente ans, nous a valu la détermination de l'équivalent en force de la chaleur, l'identification de la chaleur et du mouvement, enfin toutes ces découvertes et applications magnifiques qui se succèdent depuis quelques années avec une rapidité si étonnante. Ne faut-il pas croire que l'application de ce même principe aux sciences organiques et descriptives s'y montrera tout aussi féconde qu'elle s'est déjà montrée dans les sciences physiques ? Que voulons-nous en effet ? Démontrer que les formes si innombrables de la nature organisée ne sont que des mutations d'un fond impérissable d'une quantité déterminée de matière et de force ; - démontrer que chaque forme organique est le résultat nécessaire de toutes les manifestations organiques qui l'ont précédée, et la base nécessaire de toutes celles qui vont la suivre ; - démontrer, par conséquent, que toutes les formes actuelles sont liées ensemble par les racines depuis lesquelles elle se sont élevées dans l'histoire de la terre, et dans les différentes périodes d'évolution que notre planète a parcourues ; démontrer, enfin, que les forces qui se manifestent dans l'apparition de ces formes sont toujours restées les mêmes, et qu'il n'y a pas de place, ni dans le monde inorganique, ni dans le monde organique, pour une force tierce indépendante de la matière, et pouvant façonner celle-ci suivant son gré ou son caprice. Tel est, ce me semble, le véritable noyau de ce qu'on est convenu d'appeler le Darwinisme ; son essence intime ne peut se définir autrement, suivant mon avis. Il n'importe que les uns suivent cette direction, pour ainsi dire instinctivement, sans se rendre compte des derniers résultats auxquels elle doit nécessairement conduire, tandis que les autres voient clairement le but vers lequel ils tendent ; - l'important est que cette direction se trouve, comme on dit, dans l'air, qu'elle s'imprime par le milieu spirituel dans lequel vit l'homme scientifique à tous les travaux, et qu'elle s'assoie même à côté de l'adversaire pour corriger ses épreuves avant qu'elles ne passent à la publicité. L'héritage et la transmission des caractères est dans le monde organique, ce qui, dans le monde inorganique, est la continuation de la force. Chaque être est donc le résultat nécessaire de tous les ancêtres qui l'ont précédé, et, pour comprendre son organisation et la combinaison variée de ses organes, il faut tenir compte de toutes les modifications, de toutes les formes passées qui, par héritage, ont apporté leur contingent dans la nouvelle combinaison existante. Et de même que la force primitive se montre dans le monde physique et suivant les conditions extérieures, tantôt comme mouvement, tantôt comme chaleur, lumière, électricité ou magnétisme, de même ces conditions extérieures influent sur le résultat de l'héritage et amènent des variations et des transformations qui se transmettent à leur tour aux formes consécutives. Une tâche immense incombe donc aujourd'hui aux sciences naturelles.
    Content: Dans les temps passés, l'étude des formes extérieures suffisait aux buts restreints de la science ; plus tard il fallut ajouter l'étude de l'organisation intérieure autant dans les détails microscopiques que dans les arrangements saisissables à l'œil nu ; un pas de plus conduisait nécessairement, pour comprendre les analogies, les rapports et les différences dans la création actuelle (qu'on me passe le mot) vers l'embryogénie comparée, savoir la comparaison des différentes manières dont se construit et s'accomplit l'organisme depuis son germe jusqu'à sa fin ; il fallut avoir recours à la paléontologie, à l'étude des êtres fossiles qui ont précédé les formes actuelles, et cela dans le but de comprendre la parenté plus ou moins éloignée qui relie ces êtres entre eux. Aujourd'hui, il faut ajouter à tous ces éléments, éclairés d'un nouveau jour, l'étude des limites possibles des variations que peut présenter un type ; l'influence, éminemment variable des milieux ambiants sur les différents types, et construire ainsi pièce par pièce les organismes définitifs, mais variables, que nous avons devant les yeux. Eh bien, messieurs, peut-on raisonnablement croire que l'homme seul ne soit pas soumis à ces grandes lois de la nature, - que lui seul parmi les êtres organisés, ait une origine fondamentalement différente de la leur, - que seul il n'ait ni formes parentes, ni prédécesseurs dans l'histoire de la terre, et que son existence ne se rattache à aucune autre ? Vraiment, posée en ces termes, la question me paraît résolue d'avance ! Mais la conséquence qui découle nécessairement de ces prémisses, c'est qu'à l'anthropologie est dévolue la même tâche qu'à toutes les autres branches de l'histoire naturelle, qu'elle ne doit pas se contenter d'étudier l'homme en lui-même, et sous les différentes formes qu'il présente à la surface de la terre, mais qu'elle doit sonder ses origines, scruter son passé lointain, recueillir avec soin toutes les données que peuvent fournir ses fonctions, son organisation, son développement individuel, son histoire, dans le sens habituel du mot, mais en se rapportant à un passé bien antérieur, et qu'elle doit remonter ainsi, Comme la science le fait pour toutes les autres formes organiques, l'arbre généalogique jusque vers les branches congénères, portées par les mêmes racines, mais développées d'une manière différente. Les découvertes récentes ont ouvert un horizon immense aux études relatives à l'homme. Dans tous les pays nous remarquons une ardeur presque fiévreuse pour remonter aux origines de l'homme cachées dans les couches de la terre ; de tous les côtés, on apporte les preuves d'une antiquité bien reculée du type homme, que les imaginations les plus exaltées n'auraient jamais pu supposer jadis. Chaque jour cette Europe tant fouille par les générations passées ouvre son sein pour nous montrer des trésors nouveaux, ou pour nous donner, par des faits inaperçus jusqu'à présent, la clef d'une foule d'énigmes que nous ne savions résoudre. Nous assistons à cette époque où l'homme sauvage, montrant des infériorités très marquées dans son organisation corporelle, chassait dans les plaines du continent européen et de l'Angleterre le mammouth et le rhinocéros, le renne et le cheval sauvage ; nous suivons cet homme dans sa civilisation ascendante où il devient nomade, pâtre, agriculteur, industriel, commerçant, trafiqueur et fondeur de métaux ; là où l'histoire et la tradition nous font défaut, nous lisons les faits et gestes de cette antiquité préhistorique dans les pierres et les bois ! Et, tandis que les « curieux de la nature », comme s'appelaient, dans une académie célèbre les savants scrutateurs, poursuivent ainsi, de couche en couche, les gestes de l'activité humaine ; d'autres, non moins curieux, s'attachent à son organisation en reprenant un à un tous les caractères jusque dans leurs petits détails, en étudiant leur développement dans le cours de la vie depuis le premier germe jusqu'à la fin, ou bien s'adressant aux races, à leurs particularités, pour y trouver les preuves d'une infériorité ou supériorité relatives, dont les premières marquent les jalons de la route parcourue par le type homme lui-même, tandis que les autres indiquent la voie que ce type va suivre en s'élevant et en se modifiant. Les fonctions de l'organe de la pensée étant intimement liées à son organisation et dépendant de celle-ci, l'étude des manifestations de l'esprit et de la plus importante de ces manifestations, de la langue articulée, n'occupe pas une petite place dans les objets que l'anthropologie doit embrasser. Il faut avouer franchement, messieurs, que cette étude historique, comparative et génésique du type homme est encore dans l'enfance, et que tout ce qui a été fait jusqu'à présent n'est rien en comparaison de ce qui reste à faire. Est-il étonnant qu'il en soit ainsi, le principe dont découlent ces travaux n'ayant été introduit dans la science que depuis quelques années à peine ? Je n'ai rien à ajouter. M. Darwin prend l'homme tel qu'il se présente aujourd'hui, il examine ses qualités corporelles, morales et intellectuelles, et recherche les causes qui doivent avoir concouru à la formation de ses qualités si diverses et si com-pliquées. Il étudie les effets qu'ont produits ces mêmes causes en agissant sur d'autres organismes et, trouvant des effets analogues ont été en jeu. La conclusion finale de ces recherches, conduites avec une sagacité rare et égalée seulement par une érudition hors ligne, est que l'homme, tel que nous le voyons aujourd'hui, est le résultat d'une série de transformations accomplies pendant les dernières époques géologiques. Nul doute que ces conclusions trouveront beaucoup de contradicteurs. Ce n'est pas un mal, la vérité naît du choc des esprits.Carl Vogt.
    Content: Depuis la publication de la première édition de cet ouvrage en 1871, j'ai pu y faire des corrections importantes. Après l'épreuve du feu, par laquelle ce livre a passé, je me suis appliqué à profiter des critiques qui me semblaient avoir quelque fondement. Un grand nombre de correspondants m'ont également communiqué une foule si étonnante d'observations et de faits nouveaux, que je ne pouvais en signaler que les plus importants. La liste de ces nouvelles observations et des corrections les plus importantes qui sont entrées dans la présente édition se trouve ci-après. De nouveaux dessins faits d'après nature par M. T. W. Wood ont également remplacé quatre figures de la première édition et quelques nouvelles gravures y ont été ajoutées. J'appelle l'attention du lecteur sur les observations qui m'ont été communiquées par M. le professeur Huxley. Ces observations se trouvent en Supplément à la fin de la première partie (page 274), et traitent des différences du cerveau humain, comparé aux cerveaux des singes supérieurs. Ces observations ont d'autant plus d'à-propos que depuis quelques années diverses publications populaires ont grandement exagéré l'importance de cette question. A cette occasion, je dois faire observer que mes critiques prétendent assez souvent que j'attribuais exclusivement à la sélection naturelle tous les changements de structure corporelle et de puissance mentale, qu'on appelle communément changements spontanés ; j'ai cependant déjà constaté, dès la première édition de l'Origine des Espèces, qu'on doit tenir grand compte de l'usage ou du non-usage héréditaires, aussi bien des parties du corps que des facultés mentales. Une autre part dans ces changements a été attribuée par moi aux modifications dans la manière de vivre. Encore faut-il admettre quelques cas de réversion occasionnelle de structure, et tenir compte de ce que j'ai appelé « Croissance corrélative » voulant indiquer par là que différentes parties de l'organisation sont, d'une manière encore inexpliquée, dans une telle connexion, que si l'une de ces parties varie, l'autre varie encore davantage, et si ces changements ont été accumulés par l'hérédité, d'autres parties peuvent être modifiées également. D'autres de mes critiques insinuent que, ne pouvant expliquer certains changements dans l'homme par la sélection naturelle, j'inventai la sélection sexuelle. Pourtant, dans la première édition de l'Origine des Espèces, j'avais déjà donné une esquisse claire de ce principe, en remarquant qu'il s'appliquait également à l'homme. La sélection sexuelle a été traitée avec plus d'étendue dans le présent ouvrage, par la raison que l'occasion s'en présentait pour la première fois. J'ai été frappé de la ressemblance de la plupart des critiques à moitié favorables, de la sélection sexuelle, avec celles qu'avait rencontrées la sélection naturelle, prétendant, par exemple, que ces principes pouvaient bien expliquer quelques faits isolés, mais ne pouvaient certainement pas être employés avec l'extension que je leur ai donnée. Ma conviction sur le pouvoir de la sélection sexuelle n'a cependant pas été ébranlée, quoiqu'il soit probable, et même certain qu'avec le temps un certain nombre de mes conclusions pourront être trouvées erronées, chose tout à fait explicable, puisqu'il s'agit d'un sujet traité pour la première fois. Lorsque les naturalistes se seront familiarisés avec l'idée de la sélection sexuelle, je crois qu'elle sera acceptée plus largement, comme elle a d'ailleurs été admise déjà par plusieurs des juges les plus autorisés.Ch. DarwinSeptembre 1874.
    Note: Préface de Ch. Darwin à la deuxième édition anglaise, 1874.--Préface de Carl Vogt pour la première édition, 1869.--Introduction de l'auteur------Première partie.--La descendance de l'Homme------Chapitre I. Preuves à l'appui de l'hypothèse que l'homme descend d'une forme inférieure----Chapitre II. Sur le développement de l'homme de quelque type inférieur----Chapitre III. Comparaison des facultés mentales de l'homme avec celles des animaux inférieurs----Chapitre IV. Comparaison des facultés mentales de l'homme avec celles des animaux inférieurs (suite)----Chapitre V. Sur le développement des facultés intellectuelles et morales pendant les temps primitifs et les temps civilisés----Chapitre VI. Affinités et généalogie de l'homme----Chapitre VII. Sur les races humaines------Deuxième partie.--La sélection sexuelle------Chapitre VIII - Principes de la sélection sexuelle--Chapitre IX. Les caractères sexuels secondaires dans les classes inférieures du règne animal----Chapitre X. Caractères sexuels secondaires chez les insectes----Chapitre XI. Insectes, suite - Ordre des lépidoptères (papillons et phalènes)----Chapitre XII. Caractères sexuels secondaires des poissons, des amphibies et des reptiles----Chapitre XIII. Caractères sexuels secondaires des oiseaux----Chapitre XIV. Oiseaux (suite)----Chapitre XV. Oiseaux (suite)----Chapitre XVI. Oiseaux (fin)----Chapitre XVII. Caractères sexuels secondaires chez les mammifères----Chapitre XVIII. Caractères sexuels secondaires chez les mammifères (suite)----Chapitre XIX. Caractères sexuels secondaires chez l'homme----Chapitre XX. Caractères sexuels secondaires chez l'homme (suite)----Chapitre XXI. Conclusion principale : l'homme descend de quelque type inférieur--Note supplémentaire.
    Language: French
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